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Dydou33 a écrit:
nath74 a écrit:
Hkx. a écrit:
T'as quel age si ce n'est pas trop indiscret ?
Actuellement j'ai treize ans, mais j'aurais mes quatorze ans en décembre. Je vais rentrer en seconde là.
Tu as donc sauter une classe?
Ouaip, c'est ça. J'ai sauté le CE2.
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Et ben putain, GG !
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nath74 a écrit:
Dydou33 a écrit:
nath74 a écrit:
Actuellement j'ai treize ans, mais j'aurais mes quatorze ans en décembre. Je vais rentrer en seconde là.Tu as donc sauter une classe?
Ouaip, c'est ça. J'ai sauté le CE2.
En tout cas tu as un très bon niveau de francais.
J'pensais vraiment pas que tu avais seulement 13 ans.
En tout cas continu comme cela.
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Dimanche 11 décembre 2011 - La chaleur noire fait fondre la neige du désespoir.
Il était 5h18 du matin et je n'avais dormi que deux heures, putain ! J'avais rendez-vous avec mon frère vers 10h dans un bar où nous nous retrouvions fréquemment. Ce bar était parfait puisqu'il permettait de garder une certaine intimité, ce qui est des plus sympathiques lorsque toute la ville vous connait. Je tenta de me rendormir, mais il n'y avait rien à faire. Je me leva, tentant de faire le moins de bruit de possible. Oui, car ma petite amie avait emménagé chez moi et contrairement à moi, elle n'avait que peu de problèmes à dormir. Je sortis de la chambre, prenant quelques vêtements propres, une écharpe, des gants, ainsi que ma veste. Oui, une écharpe et des gants, car il faisait alors très froid sur Newcastle, la neige venant même s'ajouter au froid. Je referma la porte de la chambre, et je rentra dans la salle de bain. Je prit une douche, très chaude, comme d'habitude. Je passa au bureau situé à côté de ma chambre, prit quelques notes, quelques feuilles et des stylos. Je m'habilla rapidement puis j'écrivis un petit mot pour indiquer que je sortais. Avant de partir, je prépara le petit-déjeuner de ma compagne, des tartines surtout. Le petit-déjeuner à l'anglaise la répugnait, ce que je pouvais comprendre. Il faisait déjà un temps de chien dehors, il y avait du vent, de la neige, et très froid. Mais il fallait vraiment que je me change la tête, je pris mes clefs et je sortis.
Je suis allé me balader sur les rives du Tyne où je dois bien avouer que j'étais bien seul. Il faut dire que peu de personnes sortent à 6h du matin, le dimanche avec un temps pareil. Il faisait froid et je ne se sentais même plus certaines parties de mon corps, c'est dire. Au bout d'un moment, je ne sentais même, plus rien, j'étais là, immobile, inerte. Je repensais à beaucoup de choses, à ces deux premières défaites par exemple. Les défaites font toujours mal, qu'elles soient méritées (Tottenham), ou qu'elles ne le soient pas (Stoke), surtout quand on n'en a pas connu auparavant. Je repensais aussi à ces victoires acquis presque trop facilement (Bolton, Wolves, Middlesbrough), ce genre de match où on pourrait croire que tous les croyants de toutes religions ont priées pour votre victoire : but contre son camp, but d'Obertan, etc.. Ou encore ce genre de match qui vous rappelle que le football n'est pas une science exacte, que les statistiques ne veulent parfois rien dire et que l'envie peut triompher sur le rationnel (Norwitch). Qui aurait pu dire à 1-1 et à 10 contre 11 que nous nous imposerions face à eux ? Nous avons inscrit le but du 2-1, puis, plus fort encore, le but du 3-2 presque à la fin du temps réglementaire. Je pensais, je pensais, mais je tremblais également. Tellement j'avais froid, j'aurais pu m'écrouler sur place, je pense. Je pris la décision avant que la dernière partie de mon cerveau ne se glace, de rejoindre le bar auquel j'avais invité mon petit frère, Sylvain.
Je rentra dans le bar, un homme me reçut, je ne l'avais jamais vu ici. Il semblait bon vivant, et était plutôt grassouillet. Il possédait une barbe, mais n'avait en revanche presque aucun cheveux. Il était en revanche propre sur lui, étrange par rapport au personnage qu'il semblait dégager. Il possédait fort certainement une femme, un patron ou même des enfants qui s'attachaient à sa bonne apparence. Il était vêtue de noir et blanc, pour raison de cohérence avec les couleurs du bar où il travaillait. Ses chaussures étaient assez vieilles et usées en revanche, soit il ne possédait pas les moyens d'en changer, soit il y tenait particulièrement. Mais je m'égare, je ne suis même pas certain de la moitié de ce que je viens de vous dire tant j'étais glacé. Je lui dis que j'avais appelé pour prendre une table au premier étage, il me demanda mon nom, je lui transmis : « Cherchez au nom : Woods. » Il chercha et trouva rapidement, il eut un air très surpris. Je lui transmis à voie basse : « Veuillez rester discret, s'il vous plaît. » Il acquiesça par un geste de la tête. Il m’amena à une table, assez peu visible des autres tables, et je peux avouer que j'en étais des plus heureux. Je commanda un café et je sortis mes notes. Mon café me fut amené rapidement.
Il était 7h54, j'avais plus de deux heures pour bosser. Je relus toutes mes fiches, tout buvant mon café qui était très chaud. Il était des plus noirs, des plus amères, comme je les aime. Il était délicieux, me permis de me réchauffer et de me réveiller. Nous allions affronter Fulham, et j'avais peur à vrai dire de subir une deuxième défaite consécutive après celle face à Stoke. Mes joueurs étaient en petite forme car il faut avouer qu'avec ce froid, tout le monde étaient plus ou moins malades. Mais plus que ce match, c'était cette période hivernal qui me faisait peur. Le pire était probablement ce match face à Manchester United, le 31 décembre. Ils l'avaient programmé la veille du nouvel an quoi ! C'était incroyable, comment allais-je réussir à mobiliser mes joueurs ? Il s'agissait pourtant du match le plus important de la première partie de saison puisque Manchester était alors la seule équipe actuellement devant nous au classement. Je réfléchis, consulta, travailla, et bu plusieurs cafés, quatre ou cinq. Le temps passa plus vite que la neige ne tomba. Il était déjà 10h17, Sylvain était en retard, quel abruti !
Il arriva à 10h32, plus d'une demi-heure de retard, ce petit était incorrigible. Nous avions un an d'écart, et j'étais l’aînée. Il arriva mal rasé, mal coiffé, habillé à la va-vite. Il semblait également avoir extrêmement froid, ce qui n'était pas surprenant.
« Salut Sylv', qu'est-ce que t'as foutu ?
- Salut Jack. Désolé, mais c'est encore cet enfoiré de réveil.
- Si tu te trouvais une copine, elle pouvait te réveiller le matin. (rires)
- J'en avais une y a pas si longtemps, hein.
- Je sais bien, c'était pour rire. Tu as vu la défaite des Reds face à Everton, dégoûté..
- Ouais c'est pareil pour moi. Tu avais fait le déplacement, non ?
- Oui, bien sûr. Dommage que tu n'ai pas pu. Enfin, quel chance pour toi.
- Effectivement, après coup, heureusement que je n'ai pas vu ça sur place. Mais j'ai surtout vu ce que tu as dis aux médias : Gerrard ballon d'or.. (rires) Tu as dis à toute la presse notre rêve là.
- C'est claire qu'on est vraiment des fous furieux de Gerrard. Il faut dire que c'est vraiment "Monsieur Liverpool".
- Ils ont dû te prendre pour un fou sur le coup les journalistes, non ?
- C'est claire, leur visage ne suffisait plus à contenir leurs yeux écarquillés. »
Et bien voilà. Il venait d'arriver et on parlait déjà de football. Et encore, si nous parlions de football cela irait. Mais nous parlions encore une fois de Gerrard et de Liverpool, nous étions vraiment incorrigibles. Surtout que bon, il faut le dire, avec un temps pareil, n'importe qui aurait au moins donné quelques phrases sur la neige, le vent, le froid ou tout autres de ces désagréments du jour. Mais ce temps ne me dérangeait point pour ma part, j'adore les temps un peu coriace, le froid, etc.. Je n'étais pas un grand fan comme certains de longues vacances au soleil, même si cela ne me déplaisait guère non plus. Mais je voyais comme de la poésie dans ce temps bien qu'atroce. Je trouvais le soleil souvent plat, terne, sans émotion.
Le serveur passa à côté de nous, Sylvain l'appela. Nous avions besoin de nous réchauffer, enfin surtout lui car après cinq cafés, je n'avais plus spécialement froid.
« Je vous prendrais deux oeufs au plat, une tomate cuite, deux saucisses grillés et une portion de bacon frit, s'il vous plaît, demanda Sylvain.
- Moi, un café s'il vous plaît, dis-je
Le serveur vit mes quatre tasses vides.
- Je peux vous débarrasser ? Demanda-t-il en montrant les tasses.
- Oui, oui, bien sûr, répondis-je.
Le serveur partit.
- T'es un vrai goinfre Sylv', quand t'énonces ce que tu prends on dirait une liste de course en prévision d'une hibernation. (rires)
- D'ailleurs je voulais te demander, c'était quoi ces tasses ?
- Du café.
- Non..! Tu n'as quand même pas bu quatre cafés en trente minutes ?
- Non, non. Je suis là depuis deux heures, je me suis réveillé à six moins vingt. Je suis allé un peu me balader vers le Tyne, tout ça. C'était sympa'.
- Sympa' !? Jack, you're crazy ! Il fait moins de moins dix degrés dehors putain, vu la veste que t'as, ça m'étonne que t'es pas crevé.
- Je suis ton grand frère, hein. J'ai pas de conseils à recevoir de toi.
- Ok, ok.. Changeons de sujet. On parlait de Gerrard, t'as le nouveau Gerrard dans ton équipe là, le petit Verratti.
- Le nouveau Gerrard, je dirais pas. Il a beaucoup de talent, oui. Mais c'est plus un meneur de jeu en retrait, style Pirlo. Moi je le fais jouer un poil plus haut mais c'est vraiment parce que j'ai Tioté et Cabaye, à long terme, je pense le redescendre un peu qu'il voit le jeu et qu'il soit la première relance de l'équipe.
- Ok coach ! (rires)
- Je sais pas si t'as vu mais il a été élu meilleur espoir du mois là.
- Ouais et j'ai même vu que Kadar, ton petit défenseur là a terminé troisième.
- C'est pas mal tout ça, ouais. Mais je n'aime pas trop vanté les jeunes. Même s'ils ont du talent, faut leur apprendre la valeur du travail. Regarde un gars comme Benzema, si y avait pas eu un entraîneur comme Mourinho au Réal pour lui expliquer des valeurs dont celle du travail, il en serait au même stade que Ben Arfa.
- Benzema est plus fort que Ben Arfa, non ?
- Je pense qu'à la base, étant petit, Ben Arfa surclassait Benzema, d'ailleurs ceux qui ont travaillé dans les catogéries de jeunes à l'OL, le disent. Mais Benzema a eu un meilleur environnement et de meilleurs conseillers. Et aujourd'hui, Benzema est deux classes au dessus de Ben Arfa, surtout dans le domaine du comportement. »
On nous amena ce qu'on avait commandé, on mangea tranquillement. Sylvain avait déjà mangé les trois quarts de ce qu'il avait prit que j'avais tout juste aperçu que l'on m'avait servi mon café. Il fut interrompu dans sa dégustation en voyant que j'avais amené des papiers et des notes de match, et que de surcroît j'avais travaillé.
« Au non, ça va trop loin là Jack. T'as un jour de congé et tout, et tu viens bosser à huit heures dans un bar, t'es malade !
- Mais j'ai pris des notes c'est rien.
- Qu'est-ce que t'as noté, là ? Comment tu résumerais le mois que je viens de passer ton équipe ?
- Globalement c'est plutôt un mois satisfaisant, je ne peux pas dire qu'il soit exceptionnel, mais il ne faut pas oublier que nous sommes la modeste bien que bonne équipe de Newcastle. Deux défaites ont été enregistré mais je ne peux pas en vouloir aux joueurs car à l'exception de ces deux petites erreurs de parcours qui sont les deux seuls à noter depuis le début du championnat, nous avons encore une fois, inscrit énormément de buts. De plus, j'ai vu lors du match face à Norwitch, mes joueurs parfaitement réagir, ce qui est une des principales choses que j'attends d'eux. Sur le plan des statistiques c'est également très bons car nos stats sur le pourcentage de passes réussis s'améliorent, ce qui est était un petit regret personnel quand je voyais des passes assez faciles ou tout au moins déterminantes être ratés. Voilà un peu près c'est que j'ai noté, je ne vais pas te saouler avec ça. »
Nous continuâmes à parler de football, assez longtemps, parlant également de choses quelques plus futiles. Le mois qui arrivait n'annonçait dur, très compliqué avec notamment ces matchs pendant les fêtes qui me font quelques peu peur quant à la motivation et à l'envie proposé par mes joueurs. Nous n'étions désormais plus premier, mais ces quelques cafés, et cette agréable discussion m'avait ramené à un bilan positif du mois où le froid m'avait quelques peu glacé dans le désespoir sportif. Oui, car finalement en hiver, lorsque la neige retombe, nous n'avons plus d'yeux que pour les grandes et magnifiques étendues de glace.
Dernière modification par nath74 (24-04-2015 01:21:10)
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Je lis de temps en temps. C'est vraiment pas mal mais des fois les pavés me font peur surtout le soir.. ^^
Sinon, une question qui n'as rien à voir avec ta story, FM 2012 coute combien en magasin ?
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Kraferk a écrit:
Je lis de temps en temps. C'est vraiment pas mal mais des fois les pavés me font peur surtout le soir.. ^^
Sinon, une question qui n'as rien à voir avec ta story, FM 2012 coute combien en magasin ?
40€, y semble. Ouais désolé pour les pavés, mais quand j'ai une inspiration sur un truc, je me lâche. ^^
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Heureusement que je suis là, sinon t'aurais pas eu d'inspiration.
Niveau classement, t'as autant de points que MU avec un match en plus, chaud.
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Très bonne saison pour l'instant. Continue comme ça.
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Continue tu gére vraiment niveau story.Niveau championnats vu que tu viste l'Europa ligue et a 1 match en retard tu leader c'est vraiment bon pour toi.
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Samedi 31 décembre 2011 - On passe aux choses sérieuses.
« Bon les gars, avant de rentrer sur le terrain, voici la dernière mise au point tactique, dis-je.
On commence d'abord par leur secteur offensif. Berbatov va jouer légèrement en retrait pour contrôler les ballons puis les distribuer après l'avoir bien gardé. Rooney aura pour consigne de poser problème par ses déplacements. Coloccini, tu restes plus en retrait pour aller stopper Rooney s'il venait à passer notre défense. Tioté, tu vas redescendre un peu, on a assez au milieu pour les contrer, tu serviras plus derrière. Redescends beaucoup, Kadar prend moi Rooney, joue dur sur lui, vas-y à fond. Si on contrôle Rooney, Berbatov ne sera plus quel cercle tracer avec ces grands compas, on récupérera les ballons, et il ne nous inquiéteront plus. Pour les ailes, ils ont Nani et Fabio, Ferguson a anticipé le fait que Nene joue plus ailier et Ba plus comme un attaquant qui revient dans l'axe. On va les surprendre, Santon tu reste bas, tu bloques bien Nani, c'est lui ta seule cible, Smalling ne montera pas. Du côté d'Evra de Fabio, ça montra relativement peu, Simpson n'hésite pas à monter pour apporter du surnombre, Nene, essaie de revenir dans l'axe pour éviter leur duo Fabio-Evra. Pour leur milieu de terrain, la seule chose à retenir est qu'il faut couper la relation technique qu'il y a entre Giggs et Carrick, ils vont la temporiser pour mieux la donner à Berbatov, au milieu on s'occupe de ça. Pour ce qui est de notre milieu, Cabaye tu la files à Verratti. Toi Marco, tu t'occupes de donner des ballons qui contourne cette défense extrêmement lente, l'autre solution est de donner aux ailiers, à toi de juger en fonction de la situation. Pour finir, leur défense est très lente et très friable à droite, ne l'oubliez pas ! Passez par le côté droit, Cissé tente de prendre de vitesse leur défense, tu en as les capacités. Tout ça, on l'a étudié les gars, on a vu des vidéos, des séquences, on a beaucoup travaillé là-dessus. Je compte sur vous pour appliquer le plan à la lettre. Bon match. »
Je sortis du vestiaire après m'être bien assuré d'être suffisamment habillé pour survivre au froid glacial qui régnait dehors. Je m'assis sur mon siège, puis je tenta de me couvrir du froid, il ne restait alors plus qu'à attendre l'entrée des joueurs. Leur entrée ne tarda pas. Les joueurs effectuèrent leurs poignées de main traditionnelles, les capitaines se rejoignirent au milieu de terrain pour le toss. Coloccini remporte le toss et choisi le ballon. Je serre la main de l'entraîneur adverse, Sir Alex Ferguson, lui souhaitant également bonne chance pour le match qui s'apprêtait à débuter. Je rejoignis mon banc. Le coup d'envoi fut donné exactement à l'heure prévu : 12h45, par Papiss Cissé et Verratti. La première alerte intervint à la 2ème minute de le jeu lorsqu'après une bonne passe de Cabaye à destination de Papiss Cissé, ce dernier s'engouffra dans le côté droit de la défense mancunienne avant d'envoyer son tir dans les tribunes. Je savais que leur point faible était le côté droit de leur défense, et mon attaque avait déjà su exploiter cette faille. Dès la 4ème minute, l'inespérée se produisit, Rooney était au sol après un contact avec Kadar. Le kiné fut appelé, il remit sur pied Rooney. Certes, il put reprendre le jeu, mais il était désormais bien loin de pouvoir utiliser toutes ses capacités. Après plusieurs minutes de jeu, il était évident que nous contrôlions parfaitement le jeu, mon plan semblait fonctionner. Le premier danger de la partie fut amené par Berbatov à la 9ème minute de jeu, Krul ne put que détourner sa magnifique frappe lointaine en corner. Au bout d'un quart de jeu, nous nous sommes mis à appuyer d'avantage sur la défense de Manchester, la relation Verratti - Nene était excellente, les consignes que j'avais donné était respecté. Le jeu va ensuite se stabiliser au milieu de terrain, les équipes revenant à une domination plus équitable.
A la 25ème minute de jeu, Cabaye récupéra le ballon après un ballon perdu par Manchester. Il transmit à Ba qui remit en retrait sur Verratti, Verratti trouva ensuite Nene qui après un magnifique crochet plaça sa frappe dans le petit filet, imparable, 1-0 ! J'exulta, le plan fonctionnait à merveille, et dans cette action, on voyait justement toute la tactique que nous avions mis en place. Deux minutes plus tard, Kadar nous sauve du pire, alors que Berbatov partait dans la profondeur suite à une magnifique passe de Giggs, il intervient de la tête. C'est alors qu'à la 33ème minute de jeu se passe l'impensable. Cabaye transmet le ballon à Verratti à environ 30 mètres du but, celui-ci pas attaqué, pénètre dans la défense mancunienne et déclenche une frappe dans un angle fermé à droite de De Gea. Le gardien espagnol ne s'y attendait pas : 2-0 ! Le break, la Toon Army exulta, le stade était en feu, le piège était entrain de se refermer sur Manchester. La fin de cette première période ne sera que la continuité de notre domination sans partage. Je revins au vestiaire sur les coups de sifflet de l'arbitre, la mine réjoui. 2-0 à la mi-temps, ce score était inespérée, et la mi-temps de mes joueurs fut exceptionnel. Les joueurs rentrèrent au vestiaires tout comme mon staff, je m'adressa presque immédiatement à eux : « Les gars, je dis rarement ça mais : c'est parfait. Vous avez parfaitement respecté mes consignes, et le résultat est au dessus de toutes mes espérances. Vous avez parfaitement réussi à contrôler leur attaque, même si le coup qu'à reçu Rooney nous a fort aidé. Nous avons géré au milieu de terrain, et leur défense a été en constante difficulté. Je n'ai vraiment rien à rajouter. Restez comme ça en deuxième période, mais attention à l'excès de confiance, ce n'est pas terminé. » Je passa la suite de cette mi-temps à revoir des stats et à discuter avec mon adjoint mais tout semblait claire : il fallait continuer ainsi.
Mais que fut ma surprise lorsqu'en revenant sur le terrain, je vus Evans et Park remplacés Fabio et Nani, MU passait en 5-3-2, Ferguson avait-il déjà renoncer à ce match ? Voulait-il juste ne pas encaisser d'autres buts et préserver son équipe pour le match qui avait lieu dans deux jours ? L'équipe était devenu presque innofensive, c'était désolant, elle ne nous mettra plus en danger. Je lança à mon banc : « Hatem (BA), Dan (Gosling), et Mike (Williamson) à l'échauffement. » Pour voir cette deuxième période démarré enfin, il aura fallut attendre l'heure de jeu. Papiss Cissé venant obligé De Gea à une magnifique parade. Cinq minutes plus tard, il venait même marqué son petit but : 3-0 ! Incroyable.. Mais ma joie fut de courte durée lorsque je vus le drapeau de l'arbitre de touche levé. A la 67ème minute de jeu, Verratti décala Simpson sur la droite de la surface de réparation, Simpson, le centre.. Nene à la reception et le but : 3-0 ! Cette fois il était valable, la folie s'emparait des supporters et de moi-même, le match était définitivement plié, c'était incroyable. J'effectua mes deux changements, HBA vint remplacé Dembe Ba et Williamson, Kadar. Kadar était fatigué et vu le score, je préférais le sortir. Jones remplaça Ferdinand pour le dernier changement de Ferguson. Le match ne sera plus marqué par aucun fait important si ce n'est un corner dangereux de Verratti. Nous remportions le match face au leader et le match à gagner. Ma joie était indescriptible. Au retour des vestiaires, je n'avais pas envie de faire de longs discours, je transmis juste aux joueurs mes félicitations. Je leur dis également que nous n'épiloguerions pas sur le match aujourd'hui, et que nous avions tous bien mieux à faire en cette journée. C'était énorme, nous venions alors de passer dans une autre dimension.
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Bonne lecture, l'épisode suivant sera posté dans la journée.
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je suis ... Tu joue avec quel jeu ??
Dernière modification par Masamune-Kadoya (25-07-2012 05:24:23)
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Franchement , bien joué l'idée de raconter un seul match , tout bien écrit tout propre , nickel .
Avec la tactique que tu avais préparé , pas étonnant que tu gagne contre MU !
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J'adore, franchement, rien à dire. En y pensant, ça doit être rasoir à la longue d'écrire des épisodes comme ça non ?
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Masamune-Kadoya a écrit:
je suis ... Tu joue avec quel jeu ??
Je joue avec Football Manager 2012.
lebigbossdu74 a écrit:
J'adore, franchement, rien à dire. En y pensant, ça doit être rasoir à la longue d'écrire des épisodes comme ça non ?
Oui, et non. Oui, dans le sens où forcément ça me prend plus de temps qu'une story classique. Donc je me dis que je pourrais avoir peut être autant de résultats pour moins d'effort. Non, parce que c'est vraiment mon kiff' d'écrire ça. Des fois je me lance, et je suis pas très chaud, donc je laisse tomber. Faut vraiment pas que ça soit une corvée d'écrire, moi je prend du plaisir là-dedans.
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OK merci ...
EDIT : C'est mon compte sur S2, sur le S1 c'est Masamune-Kadoya
Dernière modification par Ray_Pro (25-07-2012 17:27:49)
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Lundi 9 janvier 2012 - Malgré une illumination, le ciel s'obscurcit quelque peu.
Je rentra dans la salle, elle était luxueuse et plutôt grande. Était présent au milieu de la pièce un grand canapé installé devant un grand meuble en bois contenant un nombre incalculables de livres. Il y avait aussi installé dans un coin de la pièce deux fauteuils blancs, dans l'un deux se trouvait mon interlocuteur : un journaliste nommé Benjamin Ripert. Une rencontre avec lui avait été organisé par le club dans le cadre d'une interview pour le journal du club. C'était une interview assez global pour parler du mois de décembre, du début du mois de janvier, du mercato hivernal voir même plus généralement de la politique du club. L'homme qui m'avait amené à la pièce me laissa avec le journaliste, je m'installa dans le fauteuil en face de lui.
Il semblait serein, plutôt sûr de lui et de son fait, il me salua, puis je fis de même. Il sortit une feuille qu'il installa juste devant lui, et posa un dictaphone au milieu de la table. Il s'adressa à moi : « Donc nous sommes ici pour l'interview dans le cadre du Newcastle Mag, ceci pour transmettre aux lecteurs la politique sportif, la politique de recrutement du club ainsi que des questions plus général. L'interview durera au maximum trente minutes, comme cela a été convenu. » Je lui répondis : « Ok, ça marche. On commence l'interview quand vous voulez, pas de problème. » Cette interview me semblait des plus normal, autant si cela avait été pour quelques sites ou journals qui tentent de vous faire dire le mot de trop, la phrase de trop, mais le mag du club c'était pour les supporters, et les plus fidèles l'achetaient pour la plupart. C'est pourquoi s'il y avait une presse où il fallait être sincère, des plus honnêtes et le moins hypocrite, c'était bien celle-ci.
Benjamin, le journaliste, me posa la toute première question de l'interview : « Comment décririez-vous vos six premiers mois au club de Newcastle ? » C'était une question assez attendu. Il tendit vers moi le dictaphone, puis je répondis à sa première question : « Ce furent six premiers mois formidable au poste d'entraîneur de Newcastle, plein de victoires, de joie, d'émotion. Les résultats ont dépassés mes plus hautes attentes, je dois bien l'avouer. Je ne m'attendais absolument pas à de telles résultats en si peu de temps, je suis également très fier du comportement des joueurs que nous avons recruté. Mais attention à ne pas nous reposer sur nos lauriers, nous ne sommes qu'à la mi-temps d'un match de 38 journées. Nous menons au score certes, mais nous aurons certainement beaucoup plus de difficulté en 2ème mi-temps. Essayer de tenir le score ne suffira pas pour remporter la partie. »
S'en suivit, une question qui avait un sujet tout autre : « Il y a environ une semaine, le club a obtenu un accord définitif pour la signature le premier juillet 2012, du grand espoir Yaya Sanogo. Que représente cette arrivée pour vous ? » Nous avions signé le jeune Sanago pour la saison prochaine gratuitement, ce n'était pas un renfort de poids mais pour zéro euro ce prometteur avant-centre valait le détour. J'étais également en négociation pour signer K. Boubacar, Coutinho, Pasquato, Drenthe et Adler. Même si je devais reconnaître que les négociations pour les deux derniers étaient des plus difficiles, faire le difficile quand on pourrait signer dans un club qui jouait alors le haut du championnat anglais, quel tristesse.. Enfin bref, la question n'était celle-ci, je lui transmis ma pensée : « Le recrutement de Yaya Sanogo est une très bonne occasion pour nous. Il le potentiel pour devenir un très bon avant-centre et nous avions la possibilité de le faire signer pour aucune indemnité. Pour sa part, il profitera ainsi de la qualité de nos infrastructures, du fait de pouvoir côtoyer des joueurs de niveau international et surtout de découvrir le championnat anglais qu'il m'a dit, très apprécié. »
Pour ce qui de la question qui suivit, elle resta dans le même domaine : « Le mercato hivernal a débuté récemment, avez-vous du budget pour ce mercato, et comment comptez-vous l'utiliser ? » Etant donné mes excellents résultats, les dirigeants me proposèrent de changer mes ambitions de début de saison mais je ne le fis pas. Malgré ce maintient d'objectif, on me donna 4.85M d'€ pour le recrutement. Mais je choisis de retirer ce budget transfert pour augmenter la masse salariale maximum afin de pouvoir disposer des meilleurs joueurs que l'on pouvait recruter gratuit dès maintenant pour l'été prochain, tel que je l'avais fait pour Sanogo. « Ce sont des temps difficiles pour les marchés de transfert, mais je dois dire que je n'en suis pas le plus malheureux, répondis-je Je regrette le temps où les joueurs restaient longtemps dans leur club, aujourd'hui il n'y a plus d'idée d’appartenance à un club. Les joueurs changent de club comme de caleçon, ils choisissent leur club comme dans un catalogue, comme si on choisissait entre un canapé noir et blanc. Mais il faut avoir l'amour du maillot, l'envie de mouiller le maillot, regardez la référence du football : Barcelone. Barcelone, depuis que les gars sont gamins, ils jouent ensemble, vivent ensemble, ont la même philosophie de jeu, ils ont l'amour du maillot et vous voyez d'ailleurs qu'ils font souvent leur carrière au Barça, ou reviennent au Barça après en être parti. Je dirais que c'est presque le monde actuel, c'est l'idée d'une certaine perte de l'identité national. Mais c'est un autre débat, je suis entraîneur de football pas politicien. Pour ce qui est du mercato hivernal, nous verrons s'il y a des bonnes affaires à effectuer, mais je suis satisfait de mon effectif, je pense qu'il faut laisser le temps aux joueurs de se connaître et ne pas trop bouleverser un effectif qui marche en milieu de saison. »
J'avais un peu trop parlé, et je m'étais encore perdu dans ce que je disais. Le plus dur finalement quand je parlais à la presse, c'était de me limiter car je serais capable de faire un monologue de plusieurs heures sans être dépourvu de sujet. On changea complètement de catégorie pour la question suivante : « Que pensez-vous des résultats durant le mois de décembre et le début du mois de janvier ? » Il était assez dur de répondre, je me repassa alors aux bilans dressés avec mon adjoint, à mes nuits blanches de réflexions, et cela m'aida quelque peu à répondre. « On pourrait dire que c'est la période la moins bonne depuis le début de la saison mais cela reste assez positif. Il y a cette excellente victoire face à Manchester United, qui a été un régal collectif et une excellente prestation. Sinon, nous avons encaissé notre troisième défaite de la saison, et nous avons perdu quatre points dont deux points à domicile. Le bilan sur le papier n'est pas excellent, puisque pour cinq matchs de championnat est de une défaite, deux nuls et deux victoires, ce qui est assez moyen. Sur le plan du classement cela n'est pas très grave, mais j'ai averti mes joueurs que nous pourrions pas nous permettre d'autres périodes telles que celle-ci. »
Il me posa deux questions sur le match de Manchester, sur mes émotions, la tactique, etc.. Il termina l'interview par une question des plus inattendues : « Combien de temps pensez-vous encore rester à Newcastle ? » Voici ce que je répondis : « J'ai parlé tout à l'heure de stabilité dans le football actuel. Je ne suis pas venu ici pour partir au bout d'une saison, à moins d'un énorme retournement de situation, j'espère être toujours l’entraîneur de Newcastle la saison prochaine. Pour ce qui est du long terme, nous verrons bien, mais je peux rassurer les supporters de Newcastle sur le fait que jusqu'à j'ai retiré ma veste portant l'emblème du club, je me donnerais coeur et âme pour lui. » Une fois terminé, Benjamin m'indiqua que le temps était terminé, il éteignit le dictaphone, reprit sa feuille, puis nous nous levâmes. Il me transmit ses salutations puis je quitta la pièce, l'esprit quelques peu amère, cette interview m'avait ramené à la réalité du championnat, nous avions encore perdu des points, et maintenant nous n'avions plus le droit à l'erreur car nos poursuivants revenaient malgré notre seconde place.
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Bien foutue cette mise en place tactique face à MU, bravo pour la victoire. C'est con d'avoir perdu contre Fulham, tu fais une excellente saison malgré tout.
Après le niveau est vraiment relevé en PL, ça va être compliqué de tenir jusqu'au bout, y a tellement de poursuivants en attente d'un petit faux pas...
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Je te reconnais bien dans ton recrutement, 0€ pour des joueurs qui en vaudront peut-être 20 ou 25 dans quelques temps, c'est encore et toujours bien joué.
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Newcastle.
En tout cas tu gères.
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Marshall_ a écrit:
Bien foutue cette mise en place tactique face à MU, bravo pour la victoire. C'est con d'avoir perdu contre Fulham, tu fais une excellente saison malgré tout.
Après le niveau est vraiment relevé en PL, ça va être compliqué de tenir jusqu'au bout, y a tellement de poursuivants en attente d'un petit faux pas...
C'est claire, et quand tu vois le banc et le recrutement des autres équipes, je me demande comment je suis deuxième.
Rien qu'à regarder City, au dernier mercato, y ont pris : Lucas, Dédé, Benzia (grand espoir de l'OL), Frei, Danny et Lichtsteiner sans vendre et y sont 10ème.
C'est dire le niveau.
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Dimanche 12 février 2012 - Une simple échelle ne suffit pas pour monter aux étoiles.
Quel bonheur, quel plaisir de marcher ainsi sur l'eau. Nous avions de quoi être fier. Nous étions alors en finale de la Coupe de la Ligue anglaise et deuxième de Premier League, avec six points d'avance sur le troisième, cela ne pouvait pas mieux se passer. Si la demi-finale aller de coupe de la ligue c'était très mal passé avec une défaite 1-0 à domicile, ce match retour de folie nous avait permis de nous qualifier pour la finale. Le championnat se passait également de la meilleure des manières, si ce n'est la remontée au score de Swansea alors que nous menions 2-0, le tableau était parfait. On pourrait parler du match nul en FA Cup comme un point négatif mais cette victoire en match à rejouer aura tout effacer. J'étais alors dans mon bureau avec mon adjoint, moi assis sur une chaine, lui en face. Nous étions tous deux avec un bout de sourire aux lèvres, ce genre d'expression que vous avez quand tout roule. La vie ce n'est pas le passage de la joie, à la tristesse, ou inversement, c'est surtout un état d'esprit du moment, une ambiance général, et c'est ça qui détermine vos envies, votre motivation, etc...
J'étais donc là, face à mon adjoint, avec cet état d'esprit du moment, assez enjoué. Oui je sais, c'est difficile à croire. Très souvent, lorsque j'étais avec mon adjoint, il y avait parfois de grands silences, c'était un moyen de montrer notre respect réciproque et de justement respecter notre profonde réflexion mutuelle. Généralement, c'est moi qui profane ce silence car même si j'aime la solitude, je suis aussi un grand passionné du dialogue, de la communication et un fan de la réplique. Mais là assez étonnement, il s'en est chargé. « Tu te rends compte Jack, c'est génial. Avec le recrutement de petits jeunes comme Sanogo, Bacabar, ou Coutinho, si ils arrivent à percer et qu'ils deviennent des joueurs importants d'ici quelques années. Et bien, quand nous on sera plus là, on pourra dire qui sont là grâce à nous. » Certe il avait raison, mais je n'étais pas vraiment d'accord avec sa remarque. Sa vision des choses n'était pas vraiment la bonne, cela me semblait être une bien meilleur façon de penser que d'espérer rester le plus longtemps possible au club et que ces joueurs réussissent avec nous à leurs commandes. « Ouais enfin, il vaut mieux penser à leur impact pendant qu'on est là. Parce que pour l'instant c'est cela qui compte tout de même. » Je lui répondis d'ailleurs ceci, même si à bien y réfléchir ma réflexion était quelque peu terre à terre.
Je vis son visage se grimacé, de manière assez significatif. Qu'est-ce qui avait bien pu lui traverser l'esprit ?
« Ça va John ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Non mais je repensais au petit Verratti. Il nous manquera pendant plusieurs semaines là, quel coup dur tout de même.
- Ouais c'est claire, c'est une pièce très importante dans le coeur du jeu. C'est notre leader technique.
- On va en baver sans lui, surtout la finale de la Coupe de la Ligue. On a quand même de la chance d'avoir Aston Villa en finale et pas un très gros club.
- Ouais mais bon, on a quand même dû virer United et Arsenal pour en arriver là. (rires)
- C'est certain. Newcastle n'a jamais remporté le trophée, comme ça serait énorme de le remporter. En plus, on serait certain de participer à l'Europa League !
- Oui enfin, ce n'est pas gagné. Sans Verratti, et avec Aston Villa qui va se défoncer, on a beau être favori sur le papier, c'est pas gagné.
- Arrête de faire le rabat-joie, Jack.
- Souviens toi que c'est déjà énorme d'être arrivé là, après la défaite 1-0 à la maison en demi, personne aurait parié sur notre présence en finale.
- Ouais, ouais, ... »
Il est vrai que cette perspective de victoire en finale m'excitait. Cela serait formidable pour le club, pour la ville, pour les joueurs, pour moi. Mais je la voyais plus en tant que trophée, qu'en vue de la qualification pour l'Europa. Avec ce classement, je commençais à avoir quelques ambitions un petit plus grande : la Ligue des Champions.
« On se rapproche de la Ligue des Champions là, John. Ce serait le rêve.
- Enfin tu sors de ton pessimisme. Bien sûr que c'est génial et si on continue à bosser ainsi, on y arrivera.
- Tu te rends compte, la Champion's League, merde.
- Faut voir aussi ce qu'on peut faire, parce qu'on passera dans une autre dimension.
- Effectivement, mais juste y arriver, ce serait déjà énorme.
- J'espère qu'on y arrivera. »
La Champion's League, la plus grande compétition de football au niveau des clubs. Nous avions posé quelques doigts dessus, mais pour ne pas les brûler il allait falloir tenir la distance. Pour réussir à passer dans une autre dimension, il allait falloir s'en donner les moyens. La Champion's League représente souvent les moments les plus intenses car tant sportivement que économiquement, c'est l'endroit le plus propice pour faire de grandes choses. Jouer la Champion's League aurait très certainement des conséquences sur le recrutement, sur nos moyens, sur notre budget, etc.. Nul doute, que sur tous les plans, la qualification était des plus souhaitables. Mais à vouloir trop parler d'ambition, on perd du temps pour le travail. A vouloir se remplir la tête de rêve, on ne vit jamais vraiment. Mais sans aucun doute, il nous faudrait encore bosser énormément et longtemps pour attendre cet énorme objectif.
Une simple échelle ne suffit pas pour monter aux étoiles.
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Bien joué pour la coupe de la ligue, y a moyen de gagner face à Villa, quand même.
Toujours aussi bien écrit et amené, énorme saison avec ce titre de champion qui reste envisageable. Enfin, Khouma et Coutinho à Newcastle, c'est dingue comme je suis en accord sur chacun de tes transferts, que de très bons choix.
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Marshall_ a écrit:
Bien joué pour la coupe de la ligue, y a moyen de gagner face à Villa, quand même.
Toujours aussi bien écrit et amené, énorme saison avec ce titre de champion qui reste envisageable. Enfin, Khouma et Coutinho à Newcastle, c'est dingue comme je suis en accord sur chacun de tes transferts, que de très bons choix.
Merci. Je pense pas que je serais champion mais être déjà en LdC, ce serait déjà énorme.
Dernière modification par nath74 (31-07-2012 22:24:56)
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Si certains passent et ont le courage de lire mes pavés, ce serait cool si vous postiez un petit commentaire.
Ça vous coûte pas grand chose, mais ça fait toujours plaisir et ça permet d'améliorer la story.
Dernière modification par nath74 (31-07-2012 23:34:54)
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