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Les gars, comme l'a dit Niko = 1 jour IRL ==> I mois dans le jeu.
Donc 1H IRL = environ 1 jour dans le jeu.
France
Alors que les sondages le donne perdant, Nicolas Sarkozy commence à mener une politique de gauche.
Avec objectifs de rattrapages de votes certes, il a néanmoins fait passer une loi au Parlement :
Chaque producteur doit avoir l'obligation d'utiliser le moins de pétrole possible pour la réalisation de leur produit. Des calculs serront réalisés pour préciser le quota d'utilisation général, et par extention , l'importation de pétrole, s'en vera réduite. C'est ainsi le marché de l'automobile qui est visé : un quota de voiture à consommation pétrolière pouvant être vendues en France vient d'être fixé à hauteur de 60%. De cette façon, l'Etat ouvre le marché automobile aux véhicules électriques et à consommation propre (bio carburant), mais là aussi en fixant des quotas d'importations de véhicules à hauteur de 10%.
De plus, l'Etat oblige les communes à favoriser les transports en communs ou le convoiturage pour réduire l'emprunte écologique et le coùt pétrolier.
Dernière modification par Ruan (28-05-2012 15:43:36)
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niko333 a écrit:
Le pays duquel la Slovénie importe le plus de marchandises sont les Etats-Unis ... Donc en gros, tu es mon plus gros fournisseur (maintenant faut voir le type de marchandises )
Ouep c'est pour ça en faite ! donc si tu veut négocié.
ps : je négocie un truc pour 2022 avec Lucas ^^
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République populaire de Chine
Capitale: Pékin
Président: Hu Jintao
Population: 1,3 milliard (2003)
Superficie: 9 677 009 KM²
Principales Villes: Pékin - Shanghay - Hong-Kong
Langues officielles: Chinois
Groupe majoritaire: Langues chinoises (93,5 %)
Groupes minoritaires: Environ 200 langues, dont 24 langues chinoises et 55 langues non chinoises
Système politique: République populaire à parti unique (communiste)
Principales provinces: Shanxi(342 540 200 d'habitants) - Henan(96 165 200 d'habitants) - Shandong(94 326 200) - Guangdong(89 786 000)
Dernière modification par Sniper. (28-05-2012 17:13:25)
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Angleterre :
Le référendum a donné vainqueur une démocratie dans le même format que la France c'est à dire avec un gouvernement établie par un président.
Malgré quelques critiques des autres pays, l'Angleterre pense que ce nouveau format politique pourras redemarrer l'économie anglaise et le isser dans les TOP 5 des puissances mondiale.
De ce fait, le président sera élu suite à un vote. A la surprise générale, l'ex 1er ministre Gordon Brown sera présent accompagné d'un autre ex premier ministe Tony Blair.
Ces 2 noms sortent favoris pour la prise en main du pays.
A noter que le président résiderai dans un tout nouveau palais pour laisser le monument Buckingham Palace à sa place.
Le premier ministre sera désigné par le président et siegera au siège du Parlement.
Rendez vous donc prochainement
Dernière modification par lensoisdu01 (28-05-2012 15:52:19)
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Etats-Unis
Barack Obama : Je refuse de mettre de l'argent pour les droit de diffusion pour la coupe du monde 2022.
Pour les usines de traitement et la baisse de 1,25% du prix du pétrole je pense que je serais d'accord, reste à confirmé ce soir à la maison blanche.
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Slovénie-USA
Les deux dirigeants peuvent désormais communique par messagerie instantanée ... "C'est trop de la balle wesh" aurait déclaré Danilo en voyant Barrack paraître en ligne et pouvoir lui parler par un système de chat éléctronique. Tout ce système serait une invention américaine, de quoi alimenter encore le budget des Etats-Unis.
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Chine - Hu Jintao
La Chine aimerai rassemblé les plus grandes puissances autour d'une table pour parler de la situation mondiale en ce 1 janvier 2012.
Le président Hu Jintao, demande aux Etats-Unis, à la France, à la Russie, l'Angleterre et à l'Allemagne si ces pays sont d'accord pour un congrès international, la Chine propose de créer un G6
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Si l'offre est fructueuse ...
Le Qatar perdrait un peu de son chiffre d'affaires avec le pétrole mais améliorait les conditions de vie Qatar et pourraient rendre les terres seches du Qatar un peu plus vertes ce qui serait une première dans le pays pouvant ainsi permettre le développement de l'agriculture qui en avait bien besoin.
Malgré celà, le Qatar chercherait toujours des travailleurs pour les mines ou l'agriculture, ayant dés à present commencer à chercher des Chinois voulant immigrer au Qatar et ayant un meilleur salaire et une meilleure condition de vie qu'en Chine ou le salaire n'a toujours pas été augmenter et a été demander depuis de longues années.
Dernière modification par lucas.prod. (28-05-2012 15:54:54)
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Comme promis, le récit d'un habitant.
~ Journal de bord de Nakis Agapos
Janvier 2012 - Athènes
Tout autour de moi, c'est un véritable carnage. Le sol est jonché de débris divers. Des éclats de verre volent, perforant le ciel brumeux de leur infinie petitesse, pareille à la vie alentoure qui semble dépérir à vue d'oeil, se fragmenter petit à petit pour finalement voler en éclat, pour finalement se déchirer violemment, noyant nos derniers espoirs chimériques dans les flammes ardentes du brasier que les émeutiers ont allumé, il y a cela trois heures.
Je suis Nakis Agapos et c'est la première fois que j'assiste à pareille violence.
Je ne sais pas trop pourquoi je tiens ce journal. Sans doute parce que j'ai un besoin, ce besoin vital qui m'a toujours animé et sans lequel j'aurais sombré dans la démence sans préavis ; ce besoin me tiraillant au plus profond de moi, sans lequel j'aurais sombré dans le désespoir le plus brut : ce besoin de m'exprimer. J'imagine aussi que c'est parce que j'aime écrire, que j'ai toujours eu la chance d'avoir de quoi lire et que c'est ce qui m'a permis de trouver un échappatoire à ce monde rongé, mis à mal mais pas encore détruit par la folie humaine. J'ai écrit des livres aussi. Et quelques essais politiques. Je garde l'espoir de devenir un écrivain connu un jour ou l'autre. Le succès n'est pas au rendez-vous, mais je suis encore jeune, et je parviens tant bien que mal à subsister.
Ce n'est pas la première fois que je prenais part à une manifestation. Du haut de mes vingt-cinq ans, je peux même dire que, malgré l'opposition marquée de mon père à cela, j'en ai fait suffisament pour me considérer comme un militant.
Je ne suis affilié à aucun parti politique spécial, enfin... pas vraiment. Du moins je ne me revendique absolument pas de quel parti politique que ce soit. J'ai juste rejoint Synaspismós parce que tous mes amis en avaient fait de même et que je ne voulais pas être à l'écart. Mon père aurait adoré que j'entre au PASOK, et pour cause : il était l'un des conseillers de Georgios Papandréou. Tout au long de mon adolescence, il a tenté de m'empêcher de penser par moi-même, voulant m'imposer SON idéologie, à savoir le "socialisme". J'insiste sur les guillemets. Les partis socialistes n'ont jamais eu quoi que ce soit de socialiste. Mes parents étaient des bourgeois, point.
Mais je m'égare. Je m'égare. Toujours est-il qu'il y a deux semaines, lorsque j'ai appris qu'un nouveau plan d'austérité allait être voté et sans aucun doute adopté, j'ai été pris par une colère noire. Pourquoi devait-on toujours martyriser le peuple, le pomper jusqu'au dernier centime, et le laisser mourir, là, vide, sans guère s'en soucier ? La grève générale qui avait paralysé le pays durant une petite semaine n'avait pas fait bouger d'un cil les parlementaires. Le peuple a parlé, n'a pas été entendu. Bienvenue en démocratie.
Une manifestation était organisée aujourd'hui, jour du vote, sur la Place Syntagma, juste devant le Parlement Hellénique. Peut-être mués par je ne sais quel vain rêve, les quelque cent mille personnes qui avaient décidé de répondre à l'appel hurlaient comme un seul homme, protestant contre la politique menée par la coalition de cet escroc de Papadimos, cet homme qui, comme les autres, avait décidé de nous tuer à petit feu. Ils se brisaient la voix à coups de slogans dévastateurs, de justes revendications, animés par cette fougue, cette fougue qui habite tout être humain espérant, désirant que justice soit enfin rendue.
La foule se soulevait encore, faisant vaillament face à leurs oppresseurs, matérialisés ici par les centaines de policiers qui faisaient barrage devant le Parlement, au cas où ce peuple irresponsable déciderait de pénétrer dans cette enceinte sacrée, symbole de l'autorité à laquelle nous sommes soumis, pour s'expliquer avec ceux censés le représenter. Je revois l'image de cette femme, son fils de quatre ans dans les bras, tout à l'avant du cortège. Elle était si passionnée... je pouvais l'entendre clamer, moi, pourtant bien derrière elle "Elefthería í thánatos ! Elefthería í thánatos ! Elefthería í thánatos !", autrement dit "La liberté ou la mort", soit la devise nationale de la Grèce. Je voyais l'enfant qu'elle portait, s'envoler tout au-dessus de la foule. Il tenait une pancarte "Pensez à mon avenir".
Oui, je peux deviner le regard du policier en face d'elle. Bien que derrière un imposant casque, je devine, oui, je devine ses yeux respirant la haine et la fureur, voyant cette jeune femme agiter devant lui un symbole républicain. La Grèce aujourd'hui n'est même pas capable d'appliquer ses propres principes. Et alors qu'elle tonnait une dernière fois "La liberté ou la mort", son enfant toujours au bout de ses bras, cet agent-là a du penser "La mort". Et a profité du moment où elle s'est retournée pour la frapper à la nuque avec sa matraque.
C'eut l'effet d'une bombe. Le chaos se mit à régner au centre d'Athènes. Tous, nous nous munissâmes de pierres, de barres de fer, de tout ce que nous pouvions trouver et qui pouvait servir de projectile, animés désormais par un désir insatiable de vengeance. La jeune femme gisait à terre, et c'est comme si nous tous avions été frappés par la main de la justice, pas la vraie justice, mais celle qui sert les oppresseurs et la classe dominante. De violents affrontements eurent lieu ; je vis tant de manifestants matraqués à leur tour, tant de pierres voler au-dessus de ma tête, l'une, lancée avec tant de puissance, atteignant même et brisant, comme nous fûmes brisés, une des fenêtres du Parlement.
L'un des agents me prit à parti, m'insultant ouvertement, brandissant sa matraque, la faisant tournoyer devant moi, me menaçant, comme si cela aurait suffi à me faire taire. Lorsque je le vis la brandir, je choisis de prendre ma punition sans broncher, ayant juste le temps de lui glisser "Il est trop facile de s'en prendre aux plus faibles". J'entendis un coup sec, puis plus rien.
Lorsque je me suis réveillé, c'est-à-dire il y a une petite quinzaine de minutes, la place n'était pas encore déserte. Des dizaines de manifestants, comme moi, gisaient au sol. Je me tâtai le nez. J'avais eu de la chance. Sans doute une simple fracture. J'avais perdu du sang, mais qu'importe ; certains semblaient beaucoup plus mal en point que moi. Sans doute le chef de la police Athénienne, ayant trop de personnes à loger dans ses geôles, avait décidé de stopper les interpellations pour nous laisser crever là. Les hôpitaux seraient sans doute pleins cette nuit, et mon cas n'était pas une urgence ; je me résolus donc à supporter cette blessure trois ou quatre jours.
Tout autour de moi, c'est un véritable carnage. Le sol est jonché de débris divers. Des éclats de verre volent, perforant le ciel brumeux de leur infinie petitesse, pareille à la vie alentoure qui semble dépérir à vue d'oeil, se fragmenter petit à petit pour finalement voler en éclat, pour finalement se déchirer violemment, noyant nos derniers espoirs chimériques dans les flammes ardentes du brasier que les émeutiers ont allumé, il y a cela trois heures.
Dernière modification par Hargeen (28-05-2012 16:26:22)
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Angleterre :
Suite a la récente parution des chiffres d'importation et exportation slovène , l'Angleterre souhaiterai apparaître plus haut. Pour cela il souhaiterai négocier un contrat avec la Slovénie.
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Hargeen a écrit:
Comme promis, le récit d'un habitant.
~ Journal de bord de Nakis Agapos
Janvier 2012 - Athènes
Tout autour de moi, c'est un véritable carnage. Le sol est jonché de débris divers. Des éclats de verre volent, perforant le ciel brumeux de leur infinie petitesse, pareille à la vie alentoure qui semble dépérir à vue d'oeil, se fragmenter petit à petit pour finalement voler en éclat, pour finalement se déchirer violemment, noyant nos derniers espoirs chimériques dans les flammes ardentes du brasier que les émeutiers ont allumé, il y a cela trois heures.
Je suis Nakis Agapos et c'est la première fois que j'assiste à pareille violence.
Je ne sais pas trop pourquoi je tiens ce journal. Sans doute parce que j'ai un besoin, ce besoin vital qui m'a toujours animé et sans lequel j'aurais sombré dans la démence sans préavis ; ce besoin me tiraillant au plus profond de moi, sans lequel j'aurais sombré dans le désespoir le plus brut : ce besoin de m'exprimer. J'imagine aussi que c'est parce que j'aime écrire, que j'ai toujours eu la chance d'avoir de quoi lire et que c'est ce qui m'a permis de trouver un échappatoire à ce monde rongé, mis à mal mais pas encore détruit par la folie humaine. J'ai écrit des livres aussi. Et quelques essais politiques. Je garde l'espoir de devenir un écrivain connu un jour ou l'autre. Le succès n'est pas au rendez-vous, mais je suis encore jeune, et je parviens tant bien que mal à subsister.
Ce n'est pas la première fois que je prenais part à une manifestation. Du haut de mes vingt-cinq ans, je peux même dire que, malgré l'opposition marquée de mon père à cela, j'en ai fait suffisament pour me considérer comme un militant.
Je ne suis affilié à aucun parti politique spécial, enfin... pas vraiment. Du moins je ne me revendique absolument pas de quel parti politique que ce soit. J'ai juste rejoint Synaspismós parce que tous mes amis en avaient fait de même et que je ne voulais pas être à l'écart. Mon père aurait adoré que j'entre au PASOK, et pour cause : il était l'un des conseillers de Georgios Papandréou. Tout au long de mon adolescence, il a tenté de m'empêcher de penser par moi-même, voulant m'imposer SON idéologie, à savoir le "socialisme". J'insiste sur les guillemets. Les partis socialistes n'ont jamais eu quoi que ce soit de socialiste. Mes parents étaient des bourgeois, point.
Mais je m'égare. Je m'égare. Toujours est-il qu'il y a deux semaines, lorsque j'ai appris qu'un nouveau plan d'austérité allait être voté et sans aucun doute adopté, j'ai été pris par une colère noire. Pourquoi devait-on toujours martyriser le peuple, le pomper jusqu'au dernier centime, et le laisser mourir, là, vide, sans guère s'en soucier ? La grève générale qui avait paralysé le pays durant une petite semaine n'avait pas fait bouger d'un cil les parlementaires. Le peuple a parlé, n'a pas été entendu. Bienvenue en démocratie.
Une manifestation était organisée aujourd'hui, jour du vote, sur la Place Syntagma, juste devant le Parlement Hellénique. Peut-être mués par je ne sais quel vain rêve, les quelque cent mille personnes qui avaient décidé de répondre à l'appel hurlaient comme un seul homme, protestant contre la politique menée par la coalition de cet escroc de Papadimos, cet homme qui, comme les autres, avait décidé de nous tuer à petit feu. Ils se brisaient la voix à coups de slogans dévastateurs, de justes revendications, animés par cette fougue, cette fougue qui habite tout être humain espérant, désirant que justice soit enfin rendue.
La foule se soulevait encore, faisant vaillament face à leurs oppresseurs, matérialisés ici par les centaines de policiers qui faisaient barrage devant le Parlement, au cas où ce peuple irresponsable déciderait de pénétrer dans cette enceinte sacrée, symbole de l'autorité à laquelle nous sommes soumis, pour s'expliquer avec ceux censés le représenter. Je revois l'image de cette femme, son fils de quatre ans dans les bras, tout à l'avant du cortège. Elle était si passionnée... je pouvais l'entendre clamer, moi, pourtant bien derrière elle "Elefthería í thánatos ! Elefthería í thánatos ! Elefthería í thánatos !", autrement dit "La liberté ou la mort", soit la devise nationale de la Grèce. Je voyais l'enfant qu'elle portait, s'envoler tout au-dessus de la foule. Il tenait une pancarte "Pensez à mon avenir".
Oui, je peux deviner le regard haineux policier en face d'elle. Bien que derrière un imposant casque, je devine, oui, je devine ses yeux respirant la haine et la fureur, voyant cette jeune femme agiter devant lui un symbole républicain. La Grèce aujourd'hui n'est même pas capable d'appliquer ses propres principes. Et alors qu'elle tonnait une dernière fois "La liberté ou la mort", son enfant toujours au bout de ses bras, cet agent-là a du penser "La mort". Et a profité du moment où elle s'est retournée pour la frapper à la nuque avec sa matraque.
C'eut l'effet d'une bombe. Le chaos se mit à régner au centre d'Athènes. Tous, nous nous munissâmes de pierres, de barres de fer, de tout ce que nous pouvions trouver et qui pouvait servir de projectile, animés désormais par un désir insatiable de vengeance. La jeune femme gisait à terre, et c'est comme si nous tous avions été frappés par la main de la justice, pas la vraie justice, mais celle qui sert les oppresseurs et la classe dominante. De violents affrontements eurent lieu ; je vis tant de manifestants matraqués à leur tour, tant de pierres voler au-dessus de ma tête, l'une, lancée avec tant de puissance, atteignant même et brisant, comme nous fûmes brisés, une des fenêtres du Parlement.
L'un des agents me prit à parti, m'insultant ouvertement, brandissant sa matraque, la faisant tournoyer devant moi, me menaçant, comme si cela aurait suffi à me faire taire. Lorsque je le vis la brandir, je choisis de prendre ma punition sans broncher, ayant juste le temps de lui glisser "Il est trop facile de s'en prendre aux plus faibles". J'entendis un coup sec, puis plus rien.
Lorsque je me suis réveillé, c'est-à-dire il y a une petite quinzaine de minutes, la place n'était pas encore déserte. Des dizaines de manifestants, comme moi, gisaient au sol. Je me tâtai le nez. J'avais eu de la chance. Sans doute une simple fracture. J'avais perdu du sang, mais qu'importe ; certains semblaient beaucoup plus mal en point que moi. Sans doute le chef de la police Athénienne, ayant trop de personnes à loger dans ses geôles, avait décidé de stopper les interpellations pour nous laisser crever là. Les hôpitaux seraient sans doute pleins cette nuit, et mon cas n'était pas une urgence ; je me résolus donc à supporter cette blessure trois ou quatre jours.
Tout autour de moi, c'est un véritable carnage. Le sol est jonché de débris divers. Des éclats de verre volent, perforant le ciel brumeux de leur infinie petitesse, pareille à la vie alentoure qui semble dépérir à vue d'oeil, se fragmenter petit à petit pour finalement voler en éclat, pour finalement se déchirer violemment, noyant nos derniers espoirs chimériques dans les flammes ardentes du brasier que les émeutiers ont allumé, il y a cela trois heures.
vient au states
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Russie :
Poutine accepte avec un grand plaisir la proposition Chinoise. Il espère que les autres pays accepteront, eux-aussi, la proposition.
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Slovénie - 16 janvier 2012.
La Slovénie a reçu une demande pour le moins incomprise de la part des beafsteaks. Le premier ministre souhaiterait obtenir de plus amples renseignements quant à ce fameux contrat que l'Angleterre aimerait négocier avec la nation. Il attend une réponse des anglais.
Dernière modification par niko333 (28-05-2012 15:58:26)
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Etas-Unis
Je suis ravi d'être invité par le président chinois, je trouve cette idée super !
J'espère que tout le monde seront présent.
À bientôt.
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Le Qatar aurait voulu aider la Grèce.
La situation de la Grèce se complique et le Qatar aurait voulu faire un effort financier malgré que les deux pays n'aient aucun lien particulier.
Mais le souci, c'est que la dette de la Grèce représente le PIB du Qatar. Si la Grèce a besoin d'autres chose que d'argent, le Qatar se porterait volontaire pour les aider.
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Chine - Hu Jintao
Le président Chinois répond au Quatar sur le fait que le Quatar est à la recherche de main-d'oeuvre, le président Hu Jintao demande ce que la Chine gagnerai dans cet proposition.
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Angleterre
Je répond présent a l'invitation chinoise.
L'Angleterre demande aux slovène de venir sur FB.
Dernière modification par lensoisdu01 (28-05-2012 16:01:25)
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Grèce :
De violentes émeutes ont secoué Athènes ce soir, lors du vote sur le nouveau plan d'austérité, adopté à une large majorité par le Parlement Hellénique. On dénombrerait pour le moment une dizaine de victimes et une centaine de blessés. L'émeute aurait été déclenchée par des militants d'extrême gauche ayant fait usage de violence, selon une source policière.
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Antonin-. a écrit:
Le Qatar veut aider un pays qui va devenir communiste. Il nous sort blagues sur blagues le mec là.
Tu ne sais pas encore le parti politique que je voudrais avoir ...
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Antonin-. a écrit:
Le Qatar veut aider un pays qui va devenir communiste.
La Grèce n'est pas communiste. (pour le moment ^^)
Dernière modification par Hargeen (28-05-2012 16:01:55)
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