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Je pense je devrais me proposer profs d'aide aux devoirs conjugaux.
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Perso moi, étant en term STG, et ayant 18 de moyenne en maths (seul matière ou je suis gg ) je donne des cours via mon ancien prof du collège qui ma tout appris. Sa tourne à des 10e/heure pour les collègiens du public, et ceux du privée j'prend dans les 13, parce que leurs horaire de chien battu c'est short. ^^
Parfois ça me donne envie d'être prof, parfois quand j'vois les imbéciles ils comprennens rien à la factorisation, j'ai envie d'les taper. (Mais gg comme idée, quand le goss ramène une bonne note les parents sont cool sur mon chèque hebdomadaire )
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kébab : s'toi le pigeon, t'sais pas s'quon se dit par mp.
et surtout j'ai jamais dit qu'il me fasse mon devoir, suis un peu baltriingue !
Dernière modification par beauvais60 (28-12-2011 02:04:29)
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Wellknown a écrit:
Hoooppsss, c'est que je deviendrais presque anarchiste sur les bords ...
La ferme, n'insultes pas Bakounine et Malatesta.
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Hakan. a écrit:
Perso moi, étant en term STG, et ayant 18 de moyenne en maths (seul matière ou je suis gg ) je donne des cours via mon ancien prof du collège qui ma tout appris. Sa tourne à des 10e/heure pour les collègiens du public, et ceux du privée j'prend dans les 13, parce que leurs horaire de chien battu c'est short. ^^
Parfois ça me donne envie d'être prof, parfois quand j'vois les imbéciles ils comprennens rien à la factorisation, j'ai envie d'les taper. (Mais gg comme idée, quand le goss ramène une bonne note les parents sont cool sur mon chèque hebdomadaire )
Je comprends rien à la factorisation (ou j'ai oublié), et j'en suis fier. Tu vas me taper, mais on va dire que j'aime ça.
15 € c'est le tarif classique en fait, je n'ai fais que reprendre un lycéen qu'un ami de Sciences Po suivait, et qu'il a dû lâcher pour sa 3eme année à l'étranger, ce qui m'arrivera concrètement l'an prochain également.
Dernière modification par Wellknown (28-12-2011 02:09:28)
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T'as pas besoin de récompense, pense au plaisir immense que ça me ferait, et à celui de mes profs de pas me mettre un 4.
Au pire elle fait 21cm.
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Tu n'as pas besoin de règle pour la philo.
Et je ne fais pas un point par centimètre avec un centimètre / point d'acompte pour commencer
J'eu fais plaisir avec joie, mais voilà mon bon ami, dès après demain, je n'ai plus la possibilité de faire jouir sur FL, je serai bien trop occupé à être en vacances avec ma moitié. Or, j'ai déjà dit que j'aiderais quelque peu 2 devoirs de philos qui sont dans ma MP. Vous comprendrez bien là l'ennuie. Il me faudrait me lever tôt ... trop tôt. Et j'ai épilation demain, moi, mÔsieur.
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Chaud d'avoir une telle vdm ..
Dernière modification par Nitroz- (28-12-2011 02:23:39)
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KenJ drague Romy par MP !
Romy, toi j'te taperais pas, j'risquerais de te faire mouiller ton .. j'allais dire caleçon, mais les gay ils portent des strings ?
Non sinon, moi je suis à 7-8 élèves / semaines. 6 au collèges public élève de mon ancien prof, les lundi soir et jeudi soir quand j'fini plus tot de 4h a 5h je leurs fais le cours dans une salle de perm. Et les autres je vais chez eux, parce qu'ils sont dans le privée, mais parfois ceux du public, les 2h ne leurs suffit pas donc oblige. W-e je demande un peu plus, mais vue mon état de comatage les parents ne sont pas très pour. ^^
Nitroz, 21cm qu'il m'a dis.
Non mais les gars vous venez dégue là ! Pédé pédé pédé pédé
Dernière modification par Hakan. (28-12-2011 02:26:07)
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Chaud oui, derrière en général !
Dernière modification par Wellknown (28-12-2011 02:31:47)
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Hakan. a écrit:
KenJ drague Romy par MP !
Ca lui avait trop manqué pendant 4 mois et demi
j'allais dire caleçon, mais les gay ils portent des strings ?
Y'a rien de pratique dans un string Même dans le marais profond de Paris, qui représenterait le stéréotype du gay éfféminé par excellence, sachant que le marais représente à peine 10% de la population homo, je ne gage pas que tu trouves plus de 5 "chauds lapins" en strings
Et puis, y'a bien plus de cromagnons qu'on ne le croit dans la population gay
Quant à tes collégiens, une fois que tu seras étudiant, tu sortiras en semaine et non plus le w-e. Le problème sera réglé
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Beauvais, ta MP
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OMFG !
C'est même plus un pavé là c'est un mur complet !
J'essayerai de le lire en 5 fois.
Thank you !
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Tu m'as snobé en fait enfoiré !
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Captain_Maid a écrit:
Tu m'as snobé en fait enfoiré !
Non je t'ai pas snobé !
En fait tes idées sont intéressantes, mais beaucoup de citations, sachant que parmis ceux que tu as cités je n'en connais aucun, je crois qu'on a vu 2 ou 3 philosophes depuis le début de l'année, et que l'on a rien retenu vu le contexte (c'est la première année de ma prof en tant que prof, elle a moins de 25 ans, donc je te raconte pas les cours que l'on a, "grooosse victime en puissance"), c'est limite si elle peut en placer une pendant le cours..
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J'ai donné une citation, celle de Marx. Les autres, c'étaient des pistes de réflexions philosophiques qui ont été dvpés par Spinoza et Nietzsche. ^^
J'veux voir le pavé de Romy', pour lui en foutre dans la gueule de sa pensée de merde petite-bourgeoise.
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Coucou
As-tu déjà commencé à y réfléchir ?
Ton sujet est "Naît-on libre ou le devient-on ?".
Première phase, analyser tous les termes :
- naître, c'est venir au monde. C'est un acte naturelle. La question est donc de savoir si la liberté est présente en l'Homme dès la naissance, si c'est un fait naturel, autrement dit, si la liberté relève de l'inné.
- Devenir, c'est un processus (et ce mot est important). Autrement, dit, la liberté ne répond pas d'un état (quelque chose qui EST), mais d'un processus, d'une suite logique d'évènements (quelque chose qui devient). Associée à la liberté, la question est de savoir si celle-ci est quelque chose que l'on acquiert (avec de l'effort par exemple ou tout simplement avec le temps), au fur et à mesure de notre vie. Plus loin : est-ce qu'on acquiert au bout d'un moment toute la liberté ou est-ce qu'on est voué à acquérir de plus en plus sans jamais l'atteindre ?
- Ou : cette conjonction est importante dans ton sujet. On te dit noir OU blanc. Autrement dit, le sujet se pose comme si soit c'est naturel et inné la liberté, soit c'est un acquis progressif au long de la vie. Il convient, dans ta dissertation, de dépasser cette opposition, de mêler certes peut-être les deux, mais surtout d'aller au delà de inné ou à acquérir, en regardant, pourquoi pas, la possibilité inverse : celle de la perdre (la liberté), etc. Attention : il ne s'agit surtout pas de formuler, à la fin de ta dissertation, une réponse type : finalement, un peu des deux, ou bien aucun des deux. Certainement pas.
Pour démarrer tes recherches, tu devrais regarder du côté de Rousseau surtout.
La liberté, il faut que tu arrives dès ton introduction à la définir. Qu'est-ce que c'est la liberté ? Part peut-être de la DDHC qui affirme à l'article 2 ou 6 (je sais plus, à vérifier) : "Les Hommes naissent libres et égaux en droit". Là, la DDHC consacre la liberté comme un acquis naturel de l'Homme, une qualité qui est en lui, inhérente à son être. Mais la qualification est importante : "en droit", et non "en fait". Ce qui signifie que c'est dans les lois, au regard de la loi que les Hommes sont libres et égaux. Déjà, on pose les bases d'une liberté délimitée : une liberté oui, mais dans le cadre de la loi.
Tout au long de ta dissertation, il te faudra interroger ce lien entre liberté et droit, liberté et lois. Si on définit la liberté comme s'arrêtant là où commence celle des autres, est libre celui qui vit en société et qui prend en compte autrui, les autres. Donc la liberté, ce n'est pas l'anarchie au sens "bordélique" où on l'entend. Il est intéressant de voir que dans nos société, celui qui ferait ce qu'il veut et qui ne respecterait plus la liberté d'autrui serait arrêter par les forces de l'ordre, et se verrait privé de liberté. A trop vouloir la liberté, cet individu s'en verrait privé. Peut-être que le problème est qu'il faut justement définir la liberté de façon limitée. Dès lors intervient le devenir : le processus. Apprendre à être libre, en intériorisant les codes, les normes ? Et non les rejeter sous prétexte de liberté ?
Deux notions contraire : la liberté n'est pas l'indépendance et n'est pas l'autonomie. Être autonome c'est savoir se comporter tout seul en société en respectant les règles, les normes, les lois. Être indépendant, c'est faire son propre bazard : c'est un rejet de lois et de normes, à la bases.
Ainsi la liberté oscille peut-être quelque peu entre les deux, mais en dépassant ces deux notions. La liberté est cet état qui n'est pas soumis à une contrainte. Être libre, c'est ne pas être contraint. Mais être libre, on l'a vu en haut, c'est aussi pouvoir prendre en compte la liberté des autres, donc obéir à un corpus de loi.
La question essentielle qui doit guider ton parcours, c'est peut-être que finalement, on ne naît ni on ne devient libre. La liberté répond peut-être d'un idéal, assez flou pour que chacun puisse s'y accommoder, et osciller entre l'indépendance et l'autonomie, deux notions contradictoires. Ne dit-on pas, après tout d'un adolescent qu'il deviendra adulte quand il sera "autonome et indépendant" ?
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C'est pas une "pensée" justement. J'ai fais de la méthode classique avant d'établir un plan qu'il doit trouver lui-même. C'est de l'aide au devoir, ça mÔsieur l'anar. Et je n'appelle pas ça un pavé
Dernière modification par Wellknown (28-12-2011 22:53:10)
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Mouais, c'est un peu vague. A l'inverse de Romy', pour moi la liberté rime avec autonomie et indépendance, et la liberté est une contrainte anthropologique, c'est un besoin naturel. Vis à vis de la liberté en elle même, tu peux regarder les principaux courant philosophiques qui en parlent, genre le libéralisme, la DDHC et l'extrême liberté qu'on peut trouver chez les anarchistes, moins chez les communistes, qui raisonnent plus dans un schéma " Liberté => Nécessité " et mettent en avant l'égalité.
Après c'est un devoir de philo, donc faut rester dans la neutralité sans prendre de parti pris, mais quand tu vis ta vie et tout le reste, ta liberté tu l'acquis de plus en plus par l'expérience, par le savoir, la connaissance, les rencontres. Finalement, tu nais plus ou moins déterminé et la liberté se résumerait à la possibilité de sortir de ce déterminisme, donc à en sortir. C'est un peu le débat qui opposait Sartre et Camus sur ce sujet, Sartre étant existentialiste à mort, donc on est libre de choisir notre essence propre. " L'homme est condamné à être libre ", me semble que c'est de lui, donc la seule aliénation à ta liberté, c'est autrui. Donc il dira aussi " l'Enfer c'est les autres ". Alors que Camus montre que les déterminismes sont visibles, mais que au lieu de dire qu'ils n'existent pas, il faut les dépasser et donc arriver à la notion de " Révolte ".
Enfin c'est assez complexe, puisque la liberté est une notion assez vague et chacun en a plus ou moins sa (contre)définition ou pas. Faut que t'arrives à articuler le tout entre, on naît libre, donc on a aucune excuses pour se plaindre, ou plutôt la version qui est dans le style on ne naît pas libre, mais on le devient par notre expérience et notre volonté d'avancer. C'est en fait deux écoles philosophiques après, ceux qui pensent que l'homme est absolument libre de tout à tout moment, et ceux qui mettent en garde sur de fausses libertés ou des libertés qui n'en seraient pas. Du genre " Est-ce que la consommation est une forme de liberté ? " On en revient au concept d'aliénation, donc ce que disait Marx sur la conscience sociale et notre appartenance à un milieu donné, qui nous formate plus ou moins, un bain culturel qui nous serait inculqué sans qu'on le veuille. Donc on deviendrait libre en s'y détachant et en allant vers l'autonomie/indépendance.
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Sauf que l'autonomie est l'antipode de l'indépendance, terminologiquement. Alors peut-être voulais-tu dire que pour toi, aller vers la liberté, c'est conjuguer au quotidien ces antipodes. Mais c'est ce que j'ai dis : il ne faut pas, selon moi, dans un devoir de philo s'en arrêter là.
Et forcément c'est vague, je n'émet aucun jugement. Autrement naît-on libre ou le devient-on, pour moi, c'est bien simple : ni l'un ni l'autre. La vie est une lutte contre un certain état d'emprisonnement, néanmoins nécessaire aux relations sociales. Je vois ça dans le sens inverse donc. La liberté n'étant qu'un idéal qui guide l'horizon de ce qu'on aimerait que l'Homme soit ... et qu'il ne sera jamais réellement.
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On peut atteindre une liberté extrême, comme disait l'autre " Si tous les individus autour de moi sont libres, alors ma liberté s'étend à l'infini ", mais la liberté totale est illusoire, tout comme voir la liberté comme quelque chose de négatif, dans le sophisme " la liberté des uns commence où s'arrête celle des autres ". la liberté, c'est la coopération constante entre tous et toutes, sinon ça ne marche pas.
Même si je n'arrive pas à comprendre pourquoi tu veux renvoyer dos à dos autonomie et indépendance, être indépendant, ça veut pas dire aller vivre dans une caverne, tout comme l'autonomie c'est tout faire dans son coin sans se soucier des autres.
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Continuez svp, continuez.
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Si tu m'cites, tu mets la citation et tout, avec mon pseudo. J'fais un copyright.
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Moi, ça me ferait péter une chiasse la philo ! Je ne sais pas comment vous faîtes !
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Kulture kamarad !
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