Forum officiel du meilleur jeu de foot français
Vous n'êtes pas identifié.
Valounet a écrit:
Depuis longtemps, j'utilise cette méthode... Pourtant je suis toujours aussi pourri
Vu la façon dont tu le dis, tu dois écouter à moitié toi et ne pas être du tout intéressé par le cours.
Hors ligne
RubesHaha8 a écrit:
Valounet a écrit:
Depuis longtemps, j'utilise cette méthode... Pourtant je suis toujours aussi pourri
Vu la façon dont tu le dis, tu dois écouter à moitié toi et ne pas être du tout intéressé par le cours.
Oui, avant j'en avais rien à branler des cours. Collège et seconde. Maintenant que je suis dans une filière un peu plus spécialisée, j'écoute plus et je m'investis plus.
Pour info, ma phrase était ironique
Hors ligne
La fac c'est beaucoup mieux
2 heure de Cour magistraux
2 heure de TD
et voilà tu revois vite fait les td et tu reussi tes exam sans trop de difficulté
Hors ligne
@Valounet : Je savais qu'elle était ironique, t'inquiètes.
Hors ligne
Déjà que je travail pas beaucoup à la maison... Mais je crois que je vais plus écouter & m'investir en cours. On verra les résultats.
Hors ligne
Walli a écrit:
c'est hallucinant de voir à quel point les programmes sont orientés politiquement et moralement.
ça me rassure, j'suis pas en plein délire.
Hors ligne
Captain_Maid a écrit:
Walli a écrit:
c'est hallucinant de voir à quel point les programmes sont orientés politiquement et moralement.
ça me rassure, j'suis pas en plein délire.
lol
Les programmes et leur soi-disante orientation politique, c'est quedalle en comparaison des orientations que vos profs vous transmettent... beaucoup ne se gênent pas pour transmettre leurs opinions.
Un bon prof pour vous ? c'est celui qui arrive à vous refourguer ses opinions tout en vous faisant croire que vous aviez les mêmes à la base
Vive les manifs étudiantes générées de toutes pièces par les profs ^^
Hors ligne
Manu, tu parles d'étudiants, mais je pense qu'à cet âge là (à partir de 20ans), si on est pas capable d'avoir sa propre opinion, c'est grave.
Nico, je suis d'accord. Les horaires sont intenables.
Lever 6h, coucher au moins 22h. 8h de cours par jour, parfois des pauses infimes.
C'est pas normal quoi.
Hors ligne
Je suis au college , en math si tu oublie de tracer un trait entre deux exercices , t'est collé
Hors ligne
juifteam a écrit:
La fac c'est beaucoup mieux
2 heure de Cour magistraux
2 heure de TD
et voilà tu revois vite fait les td et tu reussi tes exam sans trop de difficulté
On ne doit pas faire les mêmes études.
Hors ligne
ptitbouxdu35 a écrit:
Je suis au college , en math si tu oublie de tracer un trait entre deux exercices , t'est collé
Bah colle tes profs. Ça, ça ne veut strictement rien dire. Tu laisses un espace et ça passe.
Hors ligne
ptitbouxdu35 a écrit:
Je suis au college , en math si tu oublie de tracer un trait entre deux exercices , t'est collé
On y croit tous!
Hors ligne
Je voulais parler des lycéens évidemment.
Et évidement qu'il est impossible de rester concentré 8h/jour.
Perso, j'avais même une journée par semaine de 9h avec 35 minutes pr manger le midi (queue au self comprise), c'était le pied cette journée
Je ne vous raconte pas dans quel état de larves nous étions ^^
Bref, c'est utopique de croire que ce concept fonctionne pour tout le monde... la preuve, seuls ceux ayant des facilités voient que ça correspond à ce qu'ils faisaient à peu près.
Si tu n'as pas de facilités, tu dois bosser chez toi, point barre. C'est pas les profs et leurs 35 élèves qui vont mettre tout le monde au même niveau avec un simple cours !
Hors ligne
Yenan a écrit:
juifteam a écrit:
La fac c'est beaucoup mieux
2 heure de Cour magistraux
2 heure de TD
et voilà tu revois vite fait les td et tu reussi tes exam sans trop de difficultéOn ne doit pas faire les mêmes études.
sciences
Hors ligne
Manu a écrit:
Bref, c'est utopique de croire que ce concept fonctionne pour tout le monde... la preuve, seuls ceux ayant des facilités voient que ça correspond à ce qu'ils faisaient à peu près.
+1
Car si tout ceux qui bosse en cours et qui se touche la nouilles chez eux réussissaient, avec la classe que j'avais au lycée on aurait tous fini ingénieur ^^
Hors ligne
Manu a écrit:
beaucoup ne se gênent pas pour transmettre leurs opinions.
Oui, on sait que tous les profs sont des gauchistes à force.
Mais reconnaître que les programmes sont ouvertement orientés vers l'idéologie dominante, ce n'est pas un fantasme, suffit de regarde en ES : Exit les luttes sociales, l'analyse du chômage, des classes, pour se taper de l'économie d'entreprise et de la macro-économie.
En Histoire, avoir en seconde le fameux sujet central " En quoi le capitalisme est-il un bienfait pour l'humanité " c'est pas rassurant non plus.
Un bon prof pour vous ?
ça n'existe pas. Un prof à une fonction sociale qui me fait gerber, aussi à " gauche " puisse t-il être.
Vive les manifs étudiantes générées de toutes pièces par les profs ^^
Jamais un prof ne m'a poussé à aller manifester.
Certains élèves ont une conscience politique, en dehors de leur professeurs.
Manu a écrit:
C'est pas les profs et leurs 35 élèves
Faudrait déjà commencer par ne plus avoir autant d'élèves dans une classe.
Hors ligne
Aussi.
Quand on commenc à être 30 en maternelle, on comprend que c'est pas possible.
Hors ligne
juifteam a écrit:
Yenan a écrit:
juifteam a écrit:
La fac c'est beaucoup mieux
2 heure de Cour magistraux
2 heure de TD
et voilà tu revois vite fait les td et tu reussi tes exam sans trop de difficultéOn ne doit pas faire les mêmes études.
sciences
Bah peut-être qu'en sciences vous n'en branlez pas une, mais en Master Droit des affaires, c'est très loin de se résumer à ça, et on bûche grave.
Faudrait ptêtre éviter de généraliser et globaliser les facultés juste à ce que tu connais, d'autant plus si ce n'est que tes toutes premières années de faculté.
@Maiden: Le professeur est d'utilité sociale. C'est le pillier de la société, la transmission d'un savoir. Je trouve que d'être capable de transmettre un savoir et de l'insuffler, c'est un métier formidable. Encore faut-il savoir prendre des libertés avec les programmes "dirigés".
Le professorat est un corps extrêmement important, et l'on ne saurait envisager de société idéale sans prof'.
@Manu: Concernant le "vive les manifs poussées par les profs", j'ai connu beaucouuuuuuuuuup plus de profs décriant les manif et gerbant sur les étudiants allant manifester que des profs les encourageant. Je trouve ça dommage d'ailleurs, il devrait y avoir une neutralité quant aux libertés que chacun veut exprimer.
Quant au fameux décret interdisant aux lycéens de participer à des manifestations, rappelant leur obligation d'assuidité, tutti quanti et mon cul sur la commode, je chierais volontiers dessus.
Le problème des lycées, c'est qu'il n'y a pas vraiment d'institution lycéenne-étudiante pour informer les lycéens des actions importantes et des changements sur un plan politique. Il n'y a pas assez d'information à ce niveau, si bien que le phénomène de moutonnage est particulièrement présent, dans un sens comme dans l'autre. Dans les établissements ayant l'habitude de monter au créneau, on aura un moutonnage dans le sens du "je vais manifester, je sais pas trop pourquoi" ; dans les établissements réfractaires à cela, ce sera du moutonnage "c'est tous des sales cons et des fainéants ceux qui vont manifester, nous on reste travailler... mais on ne connait pas les enjeux de ce qu'il se passe dans la rue, en fait" .
Hors ligne
l'on ne saurait envisager de société idéale sans prof'.
Non la société idéale, c'est une société sans école ( Dans le sens de l'école actuel )
Désolé, je ne considère pas que les professeurs actuelles, joue un rôle important : Ils transmettent des valeurs, ils transmettent un savoir certes, mais ils restent cependant le tenant d'un ordre social qui vise à nous formater pour nous envoyer plus vite sur le marché du travail. Et ça c'est une réalité.
« Wesh Professeur ! »
Volée de crachats à la face des hypocrites contremaîtres de l’ordre établi
« Wesh Professeur », faut qu’on te parle, on a passé nos vies à écouter tes conneries et à t’obéir en fermant nos gueules, tu vas bien nous écouter cinq minutes à ton tour.
A l’heure où s’annonce un énième « mouvement de l’éducation », cette mascarade qui voudrait faire de toi le héros martyr de la pure et innocente « République- des- droits- de- l’homme- et- des- lumières » menacée par le vilain Capital, il nous a semblé nécessaire de faire entendre un son discordant au sein du chorus tonitruant des clochers syndicaux appelant les fidèles à cette messe traditionnelle.
Parce que les manif’ à la con on y croit pas plus que cette connerie de bulletin de vote, parce qu’à la réalité le « travail » auquel on nous astreint, de l’école à la retraite, sert à nous déposséder du libre emploi de notre vie quotidienne, sur laquelle on délègue le pouvoir tous les cinq ans après l’habituelle brève comédie électorale.
Parce que, à l’heure où la politique n’est plus que de la « gestion », que le « gouvernement des hommes » a abdiqué à l’ « administration des choses », que l’Etat n’est plus que le valet décentralisé du Capital, la seule vérité est qu’il n’est ni utile de manifester pour aménager le travail (dont ton « école » fait partie »), ni de voter pour se choisir de « meilleurs » représentants politique : il est urgent de détruire le Travail et de se réapproprier la Politique.
Parce que ta « république » n’a jamais eu d’autre fonction que de nous confisquer la politique en nous imposant le travail, parce qu’elle n’a jamais eu d’autre vocation que d’être la pute du Capital, le catéchisme citoyenniste avec lequel tu endors tes ouailles n’est qu’une fumée d’encensoir vous faisant oublier la triste réalité que voici : les « enfants de la république » sont tous des enfants de putain, et toi, professeur, son fayot le plus zélée, son rejeton le plus lèche- cul et le plus moralisateur.
Parce qu’on t’emmerde toujours, sale flic de prof, et qu’on ne se mobilisera pas pour sauver ton petit cul et ton sale boulot, mais pour détruire ce monde qui te produit.
Parce qu’on ne s’illusionne plus des artifices de la « contestation- spectacle » menée par ta clique de gauchistes, ni sur sa volonté de renverser réellement cette société dont cette « extrême- gauche » hypocrite est, finalement, le rempart le plus sournois.
Parce que votre discours œcuméniste d’union de la « Gauche » ou de l’ « Extrême- gauche » nous passe largement au dessus de la tête, ou en dessous de la ceinture, à nous qui voulons détruire la Gauche comme la Droite, la Gauche autant que la Droite, nous qui voulons combattre le système sur le terrain de son imaginaire et de sa fausse bonne conscience militante tout autant que sur le terrain de ses offensives concrètes.
Parce que ce Monde, c’est sa Police, c’est à dire autrement, ses dispositifs, ceux qui assurent, en tous temps, en tous lieux, l’ininterruption du règne de la « situation normale, celle où la Marchandise est produite, consommée et où règne son statut, que ce soit sur les objets comme sur les formes- de- vie et leur rapport entre elles et au monde qu’elle façonne.
Et parce que ce monde est sa propre Police, dans ton petit cortège « pacifiques » toi et tes amis manifestants qui vous faites une fierté de n’avoir « rien à vous reprocher » à l’égard du Pouvoir, imbéciles heureux qui confondez être « pacifistes » avec être « inoffensifs » et « collaborer », attendez vous toujours à être la cible de ceux qui ont tout à reprocher à cette société et ne s’illusionnent pas lâchement sur l’impossibilité d’éluder l’affrontement direct.
Craignez d’être la cibles des « casseurs », car, au même titre qu’un cordon de flic, une vitrine d’agence bancaire, un mobilier urbain, un panneau publicitaire, une caméra de surveillance, une école, un ministère, une prison, le « calme Républicain » auquel vous appelez et auquel vous voulez collaborer est la « situation normale » que nous voulons perturber et détruire par la grève véritable, générale et insurrectionnelle.
Parce que, professeur, le « savoir », que les laquais du Vieux Monde de ton espèce, se flattent de « transmettre » ne pourra jamais être réduit à l’«éducation », qui n’est que le dressage aux fins de la reproduction d’un système pourri qui n’est pas réformable … ni par sa droite ni par sa gauche.
Parce que, au-delà du débauchage, sans cesse plus ouvert et putassier, de ce prétendu « savoir » par le Capital, l’éducation républicaine est, comme son nom l’indique, l’école de cette société à détruire ; à ce titre elle existe pour nous apprendre à accepter passivement, comme « allant de soi » tout ce que nous devrions rejeter.
Elle existe pour nous apprendre l’acceptation de l’enfermement et du temps volé dans les salles de cours pour répondre au sacro- saint impératifs d’être « dynamique, participatif et productif », cette productivité étant « sanctionnée » par le « bulletin » de note et ses « appréciations » (du « satisfaisant » au « très insuffisant »), qui préparent à la future « fiche de paie » et aux lettres de licenciement comme aux avis d’expulsions de logements, aux Ordonnance de Quitter le Territoire, aux Condamnations Judiciaires, et à tous les autres « avis de décès » que la Marchandise réserve à ce qui n’est pas ELLE.
Elle nous conditionne à accepter la soumission inconditionnelle à ton autorité, et à l’autorité en général, comme à l’acceptation et au respect de toutes les hiérarchies, dont les échelons se gravissent au rythme d’une compétition perpétuelle, qu’on nous fait accepter sous la condition dérisoire d’une fumeuse « égalité des chances » (comprenez « égalités des chances de départ) qui n’est, de toute façon, pas le dernier des mensonges d’un système corrompu à tous ses étages.
L’arsenal punitif de l’ « éducation républicaine » n’est qu’une des facettes de ce laboratoire d’expérimentation des formes- de- vie futures, fonctionnant par un minutieux travail de préparation basé sur la sélection la criminalisation et l’exclusion des vie non-conformes à l’ordre régnants : malheur aux « déviants » et aux « élèves à problème » refusant le travail, la compétition, la sanction, refusant d’accepter de se considérer à travers des notes et des appréciations, malheur à toute vie qui déborde du cadre autorisé par l’institution : toi et tes connards de collègues, dont c’est le rôle foncier, tout comme les conseillères d’orientation ou d’éducation, assistante sociales psychologues scolaires, êtes là pour faire rentrer dans le droit chemin ceux qui s’en écarteraient, par la prévention psycho- sociale ou la répression judiciairo- économique ; tout comme les « chercheurs » et autres troufions d’intellectuels universitaires au service de ce système ne sont pas les derniers, ni les moins dangereux, de ses flics.
Parce qu’elle est un des premiers, et des plus important, dispositif de conditionnement de notre rapport aux autres et au monde selon la logique de l’autorité, l’éducation scolaire est toujours dégueulassement politique, elle n’est pas ce que tu veut nous faire croire avec ta fiction mièvre d’un apprentissage « neutre » et d’une préparation globale à « la vie en société » ; elle est un dispositif policier préventif, un outils de pacification sociale visant à l’intégration, consentie ou forcée, à ce monde, et à l’organisation de la non- vie dans cette société ci.
Ton « éducation », « Professeur », comme ta République, on lui chie dessus, on la sabote et on veut l’éliminer à tout jamais, comme on veut éliminer l’autorité de nos vies !
On veut libérer le savoir et l’apprentissage individuel, qui ne se confondent pas avec le gavage surgelé qu’on fait ingurgiter aux pigeons du dressage de masse dont tu es le petit contremaître.
Nous sommes du coté des cancres, des branleurs, des rêveurs du fond de classe, de ceux qui regardent par la fenêtre et n’écoutent pas, du coté des perturbateurs, du coté de ceux qui rient trop fort, courent dans les couloirs, foutent des boules puantes, de ceux qui sèchent les cours, du coté de ceux qui te répondent, te crachent dessus, emmerdent ton autorité, du coté des collés, des virés et jusqu’aux émeutiers qui crament les écoles publiques.
Du côté de ceux qui piquent les ordinateurs ou qui les cassent gratuitement, comme les distributeurs Selecta, du côté de ceux qui allument l’alerte incendie, tagguent les amphi, défoncent les portes, pètent les serrures, les murs et les barreaux des fenêtres, du coté de ceux qui arrivent en retard ou jamais et baisent dans les salles de cours.
Du coté de tous ceux qui « te niquent », sale prof, qui niquent ton école et ton université de merde, du coté de ceux qui ne veulent pas la sauver mais la détruire, du coté de ceux qui sifflent la marseillaise et qui « niquent la république ».
Nous sommes du coté de ceux qui ne seront jamais ni des élèves, ni des étudiants, ni des travailleurs ni des citoyens. »
Hors ligne
Mhmm, le sujet qui s'éparpille ... je m'y attendais d'un côté mais bon ça s'éparpille toujours dans le sujet donc tant mieux.
Hors ligne
Maiden tes copier/colle je te le dis, pas 2 personnes qui les ont lu. Si je me trompe, qu'on me le dise, sinon faut pas qu'il s'arrachent quoi, dites le lui.
Hors ligne
juifteam a écrit:
La fac c'est beaucoup mieux
2 heure de Cour magistraux
2 heure de TD
et voilà tu revois vite fait les td et tu reussi tes exam sans trop de difficulté
Ahah.
C'est la licence sans avenir, celle-ci.. Ne généralise pas, man !
Hors ligne
loicm a écrit:
Maiden tes copier/colle je te le dis, pas 2 personnes qui les ont lu. Si je me trompe, qu'on me le dise, sinon faut pas qu'il s'arrachent quoi, dites le lui.
J'avais lu le premier moi ... seulement.
Hors ligne
On s'écarte du débat en plus.
Enfin ça, c'est Cptn XD
Hors ligne
Noob-sama a écrit:
ptitbouxdu35 a écrit:
Je suis au college , en math si tu oublie de tracer un trait entre deux exercices , t'est collé
Bah colle tes profs. Ça, ça ne veut strictement rien dire. Tu laisses un espace et ça passe.
Un autre exemple :
Tu oublie la marge , t'est collé !
(cahier petits carreaux oblige)
Hors ligne