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Vous n'êtes pas identifié.
C'set clair ... c'est comme croire que foutre les vieux à la retraite ça augmentera le nombre de postes pour jeunes ! C'est facile, naïf, et critique primaire de gauche ! ^^ (jsuis gauche, mais pas cette gauche là xD )
Dernière modification par romarofoot (24-06-2010 22:29:14)
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Captain_Maid a écrit:
Non, ce sondage marque surtout que les bases militantes en ont plein le cul des syndicats et de leur centralité.
Si tu crois que ce sont des militants qui ont répondu à ce sondage.. Ils doivent être bien minoritaires. Je vois plutôt ça comme un suivisme de l'opinion publique sans réflexion.
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Pour fréquenter beaucoup de militants syndicaux, ce sondage est exact.
Pour ce qui est du travail, je suis pour travailler toutes et toutes, travailler moins ( 2 a 5 h ).
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tfcgirl a écrit:
Captain_Maid a écrit:
Non, ce sondage marque surtout que les bases militantes en ont plein le cul des syndicats et de leur centralité.
Si tu crois que ce sont des militants qui ont répondu à ce sondage.. Ils doivent être bien minoritaires. Je vois plutôt ça comme un suivisme de l'opinion publique sans réflexion.
Non les syndicats ne servent à rien, juste à gagner des primes et avoir des journées de congé en plus pour la plupart qui brigue ces postes
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Captain_Maid a écrit:
Pour fréquenter beaucoup de militants syndicaux, ce sondage est exact.
Pour ce qui est du travail, je suis pour travailler toutes et toutes, travailler moins ( 2 a 5 h ).
J'ai pas dit que c'était inexact
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Guizemot a écrit:
Non les syndicats ne servent à rien, juste à gagner des primes et avoir des journées de congé en plus pour la plupart qui brigue ces postes
Sur la forme en France, complètement ! Sur le fond, pas du tout d'accord. Mais je pense que tu étais sur la forme d'aujourd'hui en France, et je te rejoins ! ^^
C'est pas avec 7% de syndiqués qu'on fera des choses ! ^^ Parce que les passagers clandestins de M.Olson sont nombreux là !!
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C'est la trois centièmes les gars au fait, faut débouchez la vodka !
Ce que je note, c'est que le taux de syndicalisation baisse beaucoup, surtout parce que les syndicats ne jouent plus leur rôle d'animateur de lutte et en plus, ne transmettent plus la lutte des classes clairement dans leurs propos. Voilà le véritable problème rencontré actuellement, et je comprend parfaitement pourquoi beaucoup se défient des syndicats qui ne deviennent que des appareils de stabilisation et de collaboration avec le système bourgeois. Encore une fois, réglons nos affaires nous-même, sur des bases autogestionnaires.
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Trouvé un texte intéressant :
Le 18 Juin, une date symbolique pour les fascistes
De plus en plus, la date du 18 Juin devient une date fondamentale pour la mobilisation fasciste, choisie notamment "à titre symbolique" pour l'apéro "saucisson pinard" islamophobe convoqué via Facebook.
Contrairement au FN des années 70, composé largement de nostalgiques de Pétain, personne aujourd'hui ne se revendique ouvertement de Vichy, de la collaboration, hormis une poignée de "national-catholiques" type Renouveau Français, sur le thème de "l'épée" (De Gaulle, reconquérant la France de l'extérieur) et du "bouclier" (Pétain, qui aurait "protégé" les Français-es pendant ce temps).
Au contraire, dans les années 90 Le Pen a commencé à mettre systématiquement en avant De Gaulle (allant jusqu'à "recruter" un petit-fils du Général), la Résistance, d'anciens résistants etc.
Et aujourd'hui, les références à la Résistance fleurissent sur le Web nationaliste et identitaire ou des sites "multi-tendances" comme Fdesouche, se présentant comme des "résistants" à "l'invasion islamique", à "l'invasion migratoire" ou, chez les NR et les soraliens, au "nouvel ordre mondial américano-sioniste"... Les Identitaires du Dauphiné allant jusqu'à prendre le nom de "Maquisards", en référence aux résistants de cette région (Vercors, Glières etc.) ! Le fascisme du 20e siècle est de moins en moins cité en exemple, voire condamné en apparence, et utilisé pour "nazifier" l'adversaire : "communisme ou 'gauchisme' = fascisme", "islam = fascisme" ou "nouvel ordre mondial = nouveau Reich", les "gauchistes" (nous) étant les "collabos".
Mais au fond, quoi de plus normal ? Tant qu'à être les supplétifs de la bourgeoisie impérialiste la plus réactionnaire, chauvine et militariste, autant se rattacher à la branche "gagnante" de celle-ci ! Et à l'idéologie générée par celle-ci, celle de l'impérialisme bleu-blanc-rouge "rénové" d'après 1945, dans laquelle De Gaulle, le 18 Juin et la Résistance jouent un rôle central, et Vichy, en tout cas les collabos jusqu'au-boutistes (car les retournements de veste furent légion !) le rôle de bouc émissaire et "d'accident de l'histoire"...
Il faut bien comprendre, en fait, que les fascistes de notre époque sont au service de la bourgeoisie impérialiste DE NOTRE EPOQUE, et non de 1930 ou 1940 ! Ils doivent donc se rattacher à l'idéologie de celle-ci, l'idéologie dominante : en France, l'idéologie de la branche impérialiste victorieuse en 1945, celle de la "France libre".
C'est la même chose aux États-Unis : alors que la bourgeoisie impérialiste la plus réactionnaire appuyait dans les années 30 ouvertement le nazisme (le plus célèbre étant Henry Ford), aujourd'hui la nazification (et la stalinisation !) de l'adversaire est l'arme favorite de l'extrême-droite populiste et fascisante. Car cette extrême-droite se rattache à l'idéologie dominante : celle de la branche de la bourgeoisie impérialiste qui a soutenu Roosvelt, et vaincu le nazisme en 1945...
C'est à la fois la tradition et la modernité des fascistes !
C'est pourquoi le combat contre le culte, la mythologie du 18 Juin est un combat fondamental de notre époque, un combat qui se mène en mettant en avant le 17 Juin de Tillon et la Guerre de Libération menée par les communistes dès cette date.
Pour briser le mythe bourgeois impérialiste d'une "Résistance" purement "patriotique" et nationaliste, vidée de tout son contenu démocratique, social et révolutionnaire. Briser le mythe bourgeois, aussi, de la "non résistance communiste jusqu'en juin 1941 (invasion de l'URSS)", qui fait des résistants communistes les combattants d'une "cause étrangère", ce qui rejoint la caricature bourgeoise du "pacte" (accord temporaire de non-agression) germano-soviétique, et donc le "communisme = fascisme" (auquel s'ajoute "= islam" aujourd'hui).
Pour lever le drapeau de la Révolution, il faut briser ce mythe fondateur de l'idéologie dominante, l'idéologie de la branche victorieuse de la bourgeoisie impérialiste, de l'impérialisme "rénové" d'après 1945 sous le drapeau de la "France libre". Impérialisme dont les assassins de masse et les tortionnaires d'Indochine, d'Algérie, du Cameroun et d'ailleurs étaient essentiellement d'anciens "Français libres" (Bigeard, Aussaresses, Massu, Messmer) et non d'anciens pétainistes...
Il faut aussi nous souvenir que cette "rénovation" a été permise par la complicité de dirigeants "communistes" opportunistes : nous souvenir pour en tirer les leçons.
C'est le sens de l'article des camarades de Pau.
Source : Blog servir le peuple
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pti hs : mais content Yvan Colonna sera rejuger 7ans de preventive ..... mais qu il soit libre avant le futur 3ieme jugement !!! du bon boulot les avocats Alors Sarko pas trop deg ? fallait un coupable rapidement a l epoque pour aider la veuve Erignac .... mais ça n est pas si rapide que ça sans preuve reel
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Ah ouais enfin ?
Il était temps ..
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QUAND LES RICHES IMPOSENT LEUR LOI, ON A LEDROIT D’ÊTRE ILLÉGAL!
Plus de 20 000 policiers armés jusqu’aux dents;des pistolets Taser, des camions à ultrason, desgaz lacrymogènes, des balles de plastique, dupoivre de Cayenne, des matraques, des boucliers,un vaste entrepôt et des cages pour «parker» lesopposantes et opposants; au total, un milliardde dollars dépensés pour la sécurité d’unevingtaine de dirigeantEs du G8 et du G20. Un décret adopté en cachette – sans parutiondans la Gazette officielle du gouvernementontarien – permettant aux policiers d’arrêterquiconque refusait de s’identifier ou setrouvait à moins de cinq mètres de l’immenseclôture encerclant les dirigeants capitalistesdu G20; et enfin, un «État de droit» qui arrête,emprisonne et accuse plus de 900 personnes enmoins de 48 heures. Des camarades, dont une âgéede près de 70 ans – ont vécu des fouilles à nu,menottes aux pieds et aux mains et ont étédétenues dans des cages sans accès au mondeextérieur pendant plus de 36 heures. Voilà lebilan du week-end du G20, vu à travers la«démocratie» bourgeoise canadienne. En déployant au maximum des forces répressivessans précédent, en outrepassant sans scrupulesles règles élémentaires de droit dont se vantentles défenseurs de la démocratie bourgeoise, legouvernement canadien a démontré dans les faitsque l’arsenal policier, judiciaire et répressifexiste pour défendre les intérêts de labourgeoisie et des capitalistes. Entre des vitrines cassées et la sauvagerieréservée aux arrêtéEs du G20, la barbarie estnettement du côté de la bourgeoisie. Mais cela,nous le savions déjà.
Le G8, comme le G20, réunissait une poignée dedirigeants du monde qui cherchent à imposer desmesures pour sauver le système capitaliste encrise. Entre la réduction de déficit prônée parcertains – dont le Canada – la réduction de ladette ou la régulation des marchés financiers,ces mesures de redressement sont imposéessauvagement aux populations du monde, sans égardaux dégâts humains ou matériels qu’ils causent,qu’il s’agisse de milliers de pertes d’emplois,de travailleurs et travailleuses jetéEs à larue, de lois de plus en plus restrictives pourles immigrantEs, de mesures coercitives et derégulation des populations sans égard aux droitsdes femmes, etc. Ces mesures ont force de loisous le capitalisme. Et ceux et celles qui s’yopposent deviennent des criminels. Eh bien,soyons des criminels! En descendant dans la rue, en s’opposant partous les moyens, dans l’action, dans lamanifestation et y compris par la destructiondes symboles les plus éhontés du capitalisme etde la répression, les manifestantes etmanifestants présentEs à Toronto le week-enddernier sont les véritables héros et héroïnes dece G20.
Il faut saluer et défendre chaque gesteposé par les manifestantEs à Toronto comme uneclaque servie aux riches, à la bourgeoisie, auxforces répressives, au gouvernement exploiteuret malhonnête qui n’a cherché qu’à intimidertous les opposants à la tenue du G20. Pendant que les bandits du G20 discutaillaientde la meilleure façon de maintenir leurs profitstout en se balançant du vrai monde, labourgeoisie et ses porte-voix osaient sescandaliser de voir la colère à l’ouvrage. Lespoliticiens bourgeois – dont Jack Layton fut unporte-parole honteux – qui parlent de «casseurs»peuvent bien japper: les faits parlentd’eux-mêmes. Pas de pillage aveugle et debeuverie dans les rues de Toronto: les vitrinescassées furent celles des banques et des grossescompagnies, les chars brûlés étaient ceux de lapolice. Une victoire contre l’intimidation, un exemple à suivre.
Le samedi 26 juin était prévues les principalesmanifestations du week-end, dont celle appelée par les grands syndicats ontariens. Les groupesanti-capitalistes de l’est du pays, et notammentplusieurs autobus en provenance du Québecorganisés par la CLAC 2010 (la Convergence desluttes anticapitalistes), prenaient eux aussi ledépart de Queen’s Park à la même heure. La répression et l’intimidation de la police etdu gouvernement ont provoqué une solidaritéqu’on a rarement vue aux cours des dernièresannées. Le vendredi, la manifestation desgroupes communautaires avait été encadrée detrès près par une horde de policiers, incluantl’anti-émeute, la cavalerie et les hélicoptères,qui interpellaient et fouillaient quasi systématiquement tous les marcheurs quicirculaient dans les rues environnantes. Onsaisissait même les bouchons pour protéger lesoreilles! Durant la nuit, plusieurs militantEsont subi des arrestations préventives. Le lendemain, les militantEs anti-capitalistes –environ un millier – ont pu démarrer ens’intégrant à la grande manifestation syndicaleplutôt que d’en être séparés, grâce àl’initiative de militants torontois. Plus de 10000 personnes ont donc quitté Queen’s Park dansune ambiance plutôt tendue. Lorsque lamanifestation a atteint la rue Spadina, aprèsavoir longé la rue Queen, la manifestationsyndicale avait déjà négocié de s’éloigner de laclôture et de revenir sur ses pas. Lesanti-capitalistes visaient au contraire à s’enapprocher au maximum. Après quelques minutes de flottement, lecontingent maoïste a déclenché une fuséelumineuse qui a galvanisé les manifestantes etmanifestants. Ceux-ci se sont dirigés résolumentvers la clôture. Une partie de la manifestationsyndicale a décidé de suivre le mouvement, qui arassemblé de 2 000 à 3 000 personnes. LesmanifestantEs se sont défenduEs contre lespoliciers mais ont aussi attaqué les symbolesles plus détestés du capitalisme: voitures depolice, vitrines de banques et de magasins deluxe. À n’en pas douter, la grande priorité despoliciers était de défendre à tout prix lesdirigeants de la bourgeoisie mondiale.
Malgré cesurarmement démesuré, en dépit de cette campagnequi a duré des mois pour intimider et découragertoute opposition aux sommets du G8 et du G20,les dirigeants capitalistes et le gouvernementHarper ont subi une défaite politique importantele week-end dernier dans les rues de Toronto. S’ils ont pu défendre leur clôture, leurmilliard d’équipements et d’effectifs n’ont passuffi à empêcher les manifestantEs d’agir et dedémontrer leur colère en dehors du cadrequ’avait imposé la bourgeoisie canadienne. Etcela représente une immense victoire! Briseravec le carcan de la légalité bourgeoise,refuser de laisser la bourgeoisie décider pournous du comment de notre colère! À ce titre, lesactions posées contre le G20 ont démontré à quelpoint le pacifisme et le respect des règles dela bourgeoisie paralysent toute perspective detransformer la société. Il faut multiplier lesexemples de luttes et d’actions qui font mal àla bourgeoisie, au lieu d’accepter les règlesqu’elle nous impose. Il faut que ces gestesd’actions et de révolte, plutôt que des’éteindre, se répètent et deviennent un rappelconstant aux capitalistes, une manière de leurdire: mais vous n’avez rien vu encore ! Appuyons les manifestantEs et tous les arrêtéEsdu G20 !Dénonçons la bourgeoisie canadienne, legouvernement et les forces policières!Continuons à résister, apprenons à combattre ! C’est le début de la vraie lutte pour sedébarrasser du capitalisme.
Démocrassie .. ♪
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Captain_Maid a écrit:
Trouvé un texte intéressant :
Le 18 Juin, une date symbolique pour les fascistes
De plus en plus, la date du 18 Juin devient une date fondamentale pour la mobilisation fasciste, choisie notamment "à titre symbolique" pour l'apéro "saucisson pinard" islamophobe convoqué via Facebook.
Contrairement au FN des années 70, composé largement de nostalgiques de Pétain, personne aujourd'hui ne se revendique ouvertement de Vichy, de la collaboration, hormis une poignée de "national-catholiques" type Renouveau Français, sur le thème de "l'épée" (De Gaulle, reconquérant la France de l'extérieur) et du "bouclier" (Pétain, qui aurait "protégé" les Français-es pendant ce temps).
Au contraire, dans les années 90 Le Pen a commencé à mettre systématiquement en avant De Gaulle (allant jusqu'à "recruter" un petit-fils du Général), la Résistance, d'anciens résistants etc.
Et aujourd'hui, les références à la Résistance fleurissent sur le Web nationaliste et identitaire ou des sites "multi-tendances" comme Fdesouche, se présentant comme des "résistants" à "l'invasion islamique", à "l'invasion migratoire" ou, chez les NR et les soraliens, au "nouvel ordre mondial américano-sioniste"... Les Identitaires du Dauphiné allant jusqu'à prendre le nom de "Maquisards", en référence aux résistants de cette région (Vercors, Glières etc.) ! Le fascisme du 20e siècle est de moins en moins cité en exemple, voire condamné en apparence, et utilisé pour "nazifier" l'adversaire : "communisme ou 'gauchisme' = fascisme", "islam = fascisme" ou "nouvel ordre mondial = nouveau Reich", les "gauchistes" (nous) étant les "collabos".
Mais au fond, quoi de plus normal ? Tant qu'à être les supplétifs de la bourgeoisie impérialiste la plus réactionnaire, chauvine et militariste, autant se rattacher à la branche "gagnante" de celle-ci ! Et à l'idéologie générée par celle-ci, celle de l'impérialisme bleu-blanc-rouge "rénové" d'après 1945, dans laquelle De Gaulle, le 18 Juin et la Résistance jouent un rôle central, et Vichy, en tout cas les collabos jusqu'au-boutistes (car les retournements de veste furent légion !) le rôle de bouc émissaire et "d'accident de l'histoire"...
Il faut bien comprendre, en fait, que les fascistes de notre époque sont au service de la bourgeoisie impérialiste DE NOTRE EPOQUE, et non de 1930 ou 1940 ! Ils doivent donc se rattacher à l'idéologie de celle-ci, l'idéologie dominante : en France, l'idéologie de la branche impérialiste victorieuse en 1945, celle de la "France libre".
C'est la même chose aux États-Unis : alors que la bourgeoisie impérialiste la plus réactionnaire appuyait dans les années 30 ouvertement le nazisme (le plus célèbre étant Henry Ford), aujourd'hui la nazification (et la stalinisation !) de l'adversaire est l'arme favorite de l'extrême-droite populiste et fascisante. Car cette extrême-droite se rattache à l'idéologie dominante : celle de la branche de la bourgeoisie impérialiste qui a soutenu Roosvelt, et vaincu le nazisme en 1945...
C'est à la fois la tradition et la modernité des fascistes !
C'est pourquoi le combat contre le culte, la mythologie du 18 Juin est un combat fondamental de notre époque, un combat qui se mène en mettant en avant le 17 Juin de Tillon et la Guerre de Libération menée par les communistes dès cette date.
Pour briser le mythe bourgeois impérialiste d'une "Résistance" purement "patriotique" et nationaliste, vidée de tout son contenu démocratique, social et révolutionnaire. Briser le mythe bourgeois, aussi, de la "non résistance communiste jusqu'en juin 1941 (invasion de l'URSS)", qui fait des résistants communistes les combattants d'une "cause étrangère", ce qui rejoint la caricature bourgeoise du "pacte" (accord temporaire de non-agression) germano-soviétique, et donc le "communisme = fascisme" (auquel s'ajoute "= islam" aujourd'hui).
Pour lever le drapeau de la Révolution, il faut briser ce mythe fondateur de l'idéologie dominante, l'idéologie de la branche victorieuse de la bourgeoisie impérialiste, de l'impérialisme "rénové" d'après 1945 sous le drapeau de la "France libre". Impérialisme dont les assassins de masse et les tortionnaires d'Indochine, d'Algérie, du Cameroun et d'ailleurs étaient essentiellement d'anciens "Français libres" (Bigeard, Aussaresses, Massu, Messmer) et non d'anciens pétainistes...
Il faut aussi nous souvenir que cette "rénovation" a été permise par la complicité de dirigeants "communistes" opportunistes : nous souvenir pour en tirer les leçons.
C'est le sens de l'article des camarades de Pau.Source : Blog servir le peuple
L' extrème droite comme l' extrème gauche la droite ou la gauche évolue et n' est pas figée dans le temps, je crois que ce texte nie cette évolution. Et les schémas mis en avant sont un peu.....caricaturaux.
On va pas nier des réalités non plus: le Parti Communiste Français à mis du temps à se lancer dans la résistance par un suivisme aveugle des soviétiques et de leur pacte. Après clandestinement des militants du PC sont entrés en résistances sans attendre le Parti...ceux-la sont des héros, mis à la marge du PC à l' époque.
Que l' extrème droite se défende de ne pas avoir "le monopole du "fascisme" c' est aussi une vérité....et les religieux extrèmistes, ou certains membres de la gauche d' hier et d' aujourd'hui en témoignent.
Et si les cocos représentent une bonne part de la résistance en France, il ne faut pas nier qu' à droite il y en a eu aussi qui ont du courage, ce qui n' était pas légion à l' époque....mais on en a déjà parler...on peut penser aux intellos de gauche qui ont vécus sereinement l' occupation sans trop se mouiller pour après faire parti des juges de la société à la fin de la guerre....
Dernière modification par Slash_Guns (07-07-2010 14:30:13)
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Disons que une partie de l'extrême droite ( l'AF ) était germanophobe et en effet, refusait l'allégeance à l'Allemagne.
On peut aussi citer les Croix de Feu et le futur PSF de La Rocque, qui bien que admiratif du volontarisme Mussolinien, ne voulait pas remettre en cause la République ( Comme les monarchistes ou autre par exemple )
Quand aux communistes, voilà quoi. Déjà en 1936 la tactique de classe contre classe s'est vite fait sentir, alors qu'il aurait fallut rassembler le pays plutot contre le fascisme et la droite fascisante.
Le PCF et l'URSS ont trop fait les cons avec le nazisme alors qu'il aurait fallut le frapper tout de suite. Ce que je veux dire, c'est que Staline a volontairement refusé de s'associer à la social-démocratie allemande et le PCF a toujours fait chambre à part, la même tactique qui n'était pas utile sur le moment.
Puis après, y a eu la collaboration, le PCF qui demande de rééditer l'Humanité etc etc .. on oublie aussi de dire que les cocos à la Libération, niveau épuration, ça y a été et pas de main morte ..
Mais ça n'enlève pas au fait que le PCF a fait beaucoup de bien en entrant à la résistance, car il a apporté des armes, du matériel, une discipline stricte et un patriotisme intransigeant ( FTP-MOI par exemple )
Faut se souvenir que si la Comintern avait demandé aux cocos d'aller à la messe à poil un dimanche, ils y seraient allez .. ^^
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Allez voter par Milliers pour FL on vous offrira une recompense ...... c est quoi ce truc ? la democratie du jeu sur le net , ça me fait penser a un politico qui voulait offrir un cheque a chaque votant !!!
M enfin !!!
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Faire payer une amende à ceux qui votent pas, ça, c'est mieux et ça se fait déjà XD
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c est pas faux je serais un des seuls a me prendre une amende alors ....
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Neo-rijsel a écrit:
Faire payer une amende à ceux qui votent pas, ça, c'est mieux et ça se fait déjà XD
ptain j'ai eu la même idée x)
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Hasta la revoluccion!! *ZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz*
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L’annonce a pris tout le monde de court : les étudiants et leurs familles vont désormais devoir choisir entre bénéficier d’une demi-part fiscale (pour enfant à charge) ou d’une aide au logement (si l’étudiant a quitté le foyer). Il faut dire que Nicolas Sarkozy avait beaucoup promis, pour améliorer la vie étudiante et l’autonomie des jeunes. Candidat à la présidence, il avait proposé que les aides attribuées aux parents - comme la demi-part fiscale - soient directement versées aux étudiants. «Vous voulez être reconnus comme des citoyens à part entière dès que vous devenez majeurs, vous le serez !», avait-il lancé lors de son investiture le 14 janvier 2007. Le 29 septembre 2009 à Avignon, il y croyait encore. Dans son grand discours sur la jeunesse, il avait donné son feu vert à Martin Hirsch, haut-commissaire à la Jeunesse, pour lancer une expérience attribuant les aides de l’Etat aux étudiants eux-mêmes : «Est-ce que l’on veut que nos jeunes soient autonomes ou est ce que l’on veut qu’ils soient assistés ? Parlons-en, expérimentons.»
Neuf mois plus tard, c’est un autre homme qui s’exprime le 12 juillet à la télé : plus question d’autonomie, mais seulement d’économie. «Nous allons dire aux familles que c’est très simple : soit le jeune vit au domicile des parents et dans ce cas ils bénéficient de la demi-part, soit il n’y vit plus et il vivra avec l’allocation logement» : Nicolas Sarkozy fait comme s’il y avait doublon, ce qui est inexact. L’avantage fiscal n’a rien à voir avec le logement. Il vise à aider les familles à financer les études de leurs enfants - frais d’inscription, de sécurité sociale, transports, etc. De plus, contrairement à ce que dit Sarkozy, l’aide au logement - de 50 à 200 euros par mois - ne suffit en aucun cas à payer un loyer. Quelque 700 000 étudiants (sur 2,1 millions), ayant quitté la maison, la perçoivent. C’est la seule aide qui ne dépende pas des revenus des parents, mais des étudiants eux-mêmes. Du coup, tous ceux qui la demandent la perçoivent, y compris les jeunes issus de la classe moyenne, éligibles à aucune allocation car leurs parents ont de revenus dépassant les seuils.
L’annonce a provoqué un tollé. Tous les syndicats étudiants - de la gauche, comme l’Unef, à la droite, comme le MET (le Mouvement des étudiants, successeur de l’UNI) -, mais aussi des associations familiales, dont les plus conservatrices, ont dénoncé ce coup porté aux familles, particulièrement de la classe moyenne. L’Unef a lancé une pétition et propose de calculer les pertes pour les familles. Le syndicat prévoit une sérieuse baisse du pouvoir d’achat étudiant, avec la hausse des frais d’inscription et celle du ticket de resto-U qui atteint 3 euros. Dans un élan de générosité, Nicolas Sarkozy a bien promis un dixième mois de bourse. Mais personne ne sait si la mesure est bien financée et si cela se fera… En attendant, avec le nouveau «choix» imposé aux familles, l’Etat espère 400 millions d’euros d’économie. Mais en fâchant les classes moyennes, le pouvoir risque de le payer cher.
Entre ça et l'affaire BW, quel gouvernement de m... -_- Super stratégique en plus de faire ça maintenant...
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Dans une orgie de punition collective, la police grecque a mené une attaque brutale sur le quartier d’Exarchia, à l’issue de la manifestation d’hier, saccageant des boutiques et des centres sociaux, expulsant un squat à main armée et brutalisant les habitants.
La brutalité policière qu’on a pu voir dans les rues d’Exarchia hier soir après la fin de la manifestation du deuxième jour de grève générale à Athènes est inédite. On peut nourrir de sérieux doutes sur la nature du régime actuel en Grèce, qui laisse tomber son masque démocratique pour se montrer tel qu’il est réellement : la poursuite de la junte des colonels.
À l’issue de la manif des centaines de policiers antiémeute et voltigeurs ont fondu sur Exarchia, le quartier du centre d’Athènes qui est un bastion extrémiste depuis le début du XXe siècle. La police a travaillé à matraquer les passants et les gens aux terrasses des cafés, saccageant le vieux café de la place Exarchia [celui à l’angle des rues Stournari et Tsamadou] malgré le fait qu’il soit bondé de clients. Voyez plutôt :
Les habitants ont naturellement gueulé des slogans antifascistes, rappelant le souvenir récent des années de junte militaire et assimilant les flics aux SS. La fureur policière a redoublé, frappant tous ceux qui se trouvaient sur leur passage et investissant un immeuble d’habitation. Ioanna Manoushaka était à l’entrée de chez elle criant que les flics avaient fait de la vie un enfer dans le quartier quand ces derniers l’ont attaqué, lui cassant le bras et des dents. Elle a couru se réfugier à l’étage s’enfermant chez elle, ce qui n’a pas empêché les policiers antiémeute de la suivre et d’essayer de forcer sa porte cinq minutes durant lesquelles elle et son mari, un compositeur célèbre, ont dû se barricader.
Gueulant «ce soir on vous nique», la police a ensuite envahi et dévasté le centre social Diktio qui accueille les immigés, le Réseau des droits sociaux et civils, un collectif de gauche actif contre le terrorisme d’État depuis plusieurs décennies. Selon le communiqué de Diktio, «le gouvernement du FMI et de la junte du marché tente d’exploiter le geste criminel de la banque pour imposer un régime de terreur dans le pays. L’orgie de gouvernance policière par l’usage d’armes chimiques et de matraquages de masse a atteint son paroxysme cet après-midi à Exarchia.»
Au même moment une armada de forces de police entourait le squat anarchiste de la rue Zaimi au-dessus de Polytechnique, pour l’envahir et évacuer ses occupants l’arme au poing. Le fait qu’un policier ait tiré en l’air pendant cette opération n’a pas été confirmé. Tous les occupants ont été raflés.
La pratique de la vengeance collective à l’encontre de la résistance populaire aux mesures annoncées est une méthode caractéristique du gouvernement de collaboration avec les Nazis dans les années 1940, justifiant le sobriquet devenu commun adressé aux flics de «tsoliades allemands» (l’escadron de la mort).
C'est beau la démocratie hein ?
Neo-rijsel a écrit:
Faire payer une amende à ceux qui votent pas, ça, c'est mieux et ça se fait déjà XD
Y a rien de plus liberticide et de débile.
En quelle honneur j'irai voter si je n'en ai pas envie ? je vois pas l'utilité d'aller se faire chier à voter pour des conneries alors qu'il y a des luttes à préparer.
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300 page quand meme c etopic
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La révolte des ouvriers du textile au Bangladesh!
01 Août 2010 Par M. CHALLALI
De violents affrontements se sont déroulés samedi à Dacca, capitale du Bangladesh, entre des ouvriers du textile et la police. Après des mois de grèves et de manifestations pour réclamer l’augmentation de leurs salaires, ces ouvriers, les moins payés du monde dans leur secteur, et qui travaillent pour des grandes marques occidentales, le gouvernement, après une longue sourde oreille, n'a fini que par leur proposer une légère augmentation qu’ils refusent d’emblée.
Sous la pression d’un conflit qui dure et des manifestations violentes qui commencent à s'étendre à l'extérieur de Dacca, le gouvernement, patronat et syndicats ont décidé, à l’issue d’une négociation, de faire passer le salaire mensuel de ces ouvriers du textile de 1.662 takas par mois (19,1 euros) , salaire le plus bas du monde encore une fois, à 3.000 takas (34,5 euros). Décision jugé insuffisante à la fois par les ouvriers et les syndicats, et ils réclament 5.000 takas par mois (55,9 euros) pour «faire face à l'augmentation du coût de la vie». Et ils menacent d’appeler à une grève générale dans pays.
Durant les manifestations de samedi, des milliers d'ouvriers, principalement des ouvrières, ont bloqué les autoroutes, attaqué des usines et saccagé des commerces de Dacca. La police, qui a fait usage de gaz lacrymogène et des balles en caoutchouc pour disperser les manifestants a fait au moins 50 blessés et plus de 100 manifestants arrêtés, selon les syndicats.
«Plus de 20.000 ouvriers ont quitté leur travail et nombre d'entre eux ont affronté la police à coups de pierres. Nous avons tiré des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes pour les disperser» a indiqué à l'AFP un responsable de la police Nasir Ahmed. «Les manifestants ont également brûlé des pneus, bloqué la route une importante route reliant Dacca au nord du pays, s'en sont pris à des usines et ont contraint des policiers à reculer, au moins 10.000 ouvriers ont bloqué une route au sud de Dacca à Narayanganj». Les propriétaires d'usines étaient obligés de fermer leurs portes, expliquant que «la violence était quelque peu retombée mais que la situation était toujours tendue».
«Le gouvernement a simplement fait ce que les propriétaires des usines veulent, déclare Mosherafa Mishu, représentante du Forum des ouvriers du textile, cette offre n'est pas acceptable» indique la même source.
«Ces chaînes occidentales comme Wal-Mart, Tesco, H&M, Zara, Carrefour, Gap, Marks & Spencer, Levi Strauss, importent l'essentiel de leurs produits textiles du Bangladesh, où l'industrie emploie 3,5 millions de personnes, tout en bénéficiant d'incitations fiscales extrêmement généreuses du coût de production très bas et seul un très faible pourcentage du capital investi profite finalement au pays», constate l'association humanitaire Action Aid. «Le seul chiffre d'affaires d'H&M est supérieur au budget annuel total du gouvernement bangladais» souligne encore cette ONG.
La pauvreté et les conditions sociales déplorables dans ce pays qui compte parmi les plus pauvres du monde expliquent en effet cette attraction des grandes marques internationales qui font fabriquer leurs vêtements dans certaines des 4.000 fabriques textiles au Bangladesh. Coût du travail très bas va de fait avec une rentabilité très haute.
Et comme pour le Bangladesh le travail du textile représente 80% des ses devises, environ 12 milliards de dollars (9,1 milliards d’euros) ce qui est une quasi sinon une totale dépendance économique du pays, étant donné qu’il n’a pas une autre ressource équivalente, alors, des industriels du textile «branché», se permettent en toute conscience d’exploiter des ouvriers, la majorité des ouvrières, à 19 euros par mois, sous le prétexte que la concurrence entre multinationales est très rude dans ce secteur.
En juin dernier uniquement, même si la machine bien rodée de la mondialisation s’est quelque-peu affaiblie ces temps-ci avec «la crise», qui en réalité, il n’y a que les rouages périphériques qui ont cessé de chauffer comme avant, les exportations ont battu un record, en atteignant 1,72 milliard de dollars, un niveau jamais réalisé depuis quarante ans.
Si même eux commencent çà se révolter .. c'est que ça va vraiment plus.
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http://www.rue89.com/planete89/2010/06/ … tes-156437
A mort la débilité écolo !
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Bientôt, on va nous faire manger des OGM.
C'est tellement mieux hein ..
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