Foot-Land - jeu de foot fun et convivial

Bauvi- a écrit:

Noob : je t'avais écrit un beau petit pavé mais j'ai fermé la page sans faire exprès, mais c'est moi qui ai raison !

Non, tu as tort, car tu pars d'un constat aussi faux que 1+1=3. Tu changes d'abord les définitions à ta guise pour ensuite pondre un pavé à l'air cohérent. Trop facile.

Old_Jr a écrit:

Bauvi- a écrit:

Noob : je t'avais écrit un beau petit pavé mais j'ai fermé la page sans faire exprès, mais c'est moi qui ai raison !

Non, tu as tort, car tu pars d'un constat aussi faux que 1+1=3. Tu changes d'abord les définitions à ta guise pour ensuite pondre un pavé à l'air cohérent. Trop facile.

Justement non, je ne la change pas, puisque la définition exacte n'est pas fixée. x)

Maid : J'espère que j'aurai droit à la douche au lieu d'une balle dans la tête, moi.

Old_Jr a écrit:

Captain_Maid a écrit:

T'as peur de la dialectique de Bauvi, avoues !

Ça m'intéresse pas de jouer avec un type qui traficote les définitions.

Dans ces cas-là, ça m'intéresse pas de jouer avec un type qui invente des définitions.

Old_Jr a écrit:

J'invente rien. Juste que selon ta définition, je suis murophile car je sais apprécier  la beauté d'une peinture
Je crois que c'est toi, le névrosé, là

Le névrosé, oui, tout de suite les insultes. x)
Si t'arrives à avoir une relation sexuelle avec un mur, c'est ton problème, mais tu fais des amalgames énormes.
Le fait est que vous avez peur du fait que vous soyez potentiellement bisexuel, vous ne cherchez même pas à comprendre. Et pour ça, vous inventez tout et n'importe quoi pour discréditer l'homosexualité. On est tous bisexuels à la naissance, notre orientation sexuelle n'est non pas déterminée par notre sexe, mais bel et bien par la société dans laquelle nous vivons. Tout petit, alors qu'un enfant n'a pas encore conscience du genre auquel il appartient, on va le formater pour qu'il corresponde aux normes genrées : bleu pour un garçon, rose pour une fille.
C'est la même chose qu'il se passe pour la sexualité, on va s'orienter vers le sexe opposé instinctivement, sans même parfois y être attiré tout de suite.

Notre orientation sexuelle est déterminée par un facteur inconnu de moi-même, qui n'est pas un que tu cites plus haut.

C'est potentiellement faux et tu le sais très bien. Tu fais semblant de voir un "facteur inconnu", alors que tu sais parfaitement que l'orientation sexuelle est mise en avant et planifié depuis qu'on est tout petit pour qu'elle corresponde à des normes/valeurs d'une société donné. Faut qu'un mec joue au foot, et qu'une nana joue à la poupée. Et faut qu'il fasse des trucs de mecs, et l'autre des trucs de nanas.
La fabrication du genre est constante : 

1) Le sexe est biologique (male et femelle). Le genre renvoi aux rôles sociaux (homme et femme).
2) Un genre peut être dévalorisé par rapport à l'autre (c'est le sexisme (machisme)).
3) Un genre peut en dominer un autre : nous vivons sous le régime du patriarcat.

La distinction de genre est centrale dans les sociétés sexistes : l'ambiguïté (androgyne, queer) et les transgressions de cette distinction (trans-genres) sont mal tolérées.Il en va de même pour les orientations sexuelles (homosexualité, bisexualité) qui ne correspondent pas à la norme sociale (l'hétérosexualité).

Voici ce que l'on peut observer parmi les comportements sexués (différenciés selon le genre) chez les enfants (il s'agit de moyennes) :

très tôt (3-4 ans) les garçons refusent de jouer avec les jouets des filles, surtout si ils sont en présence d'autres enfants. Chez les filles le rejet des jouets pour garçons est observé précocement (2 ans), tandis qu'à cet âge, même s'ils préfèrent les jouets pour garçons, les garçons jouent encore avec des jouets pour filles.

Il semble donc que dès 2 ans les enfants ont acquis un schéma de genre (conscience de la différence des genres et conscience de leur appartenance à l'un ou à l'autre), peuvent reconnaître les objets culturellement associés aux genres et s'y conforment. Ces comportements sont acquis du fait des interactions avec les parents et les éducateurs. La plus grande précocité des filles peut s'expliquer par une acquisition plus rapide du schéma de genre ou du conformisme. Quoi qu'il en soit cela paraît témoigner d'une éducation qui laisse plus de liberté aux petits garçons qu'aux petites filles.

Réf articles : Le Maner, G., "Choix d'objets et interactions entre pairs : comportements révélateurs d'un schéma de genre à 24 mois ?", enfance n°4/1995, p.417-434. Le Maner-Idrissi G., "Adhésion aux rôles sexués à 24 mois", RIPS n°2/2001, p57-74.
Les jouets pour garçon sont rapidement des jouets technologiques (guerre, voitures, techno-monstres...). Faire un tour au rayon jouet d'une grande surface est édifiant. (Aucun risque de se tromper, les jouets pour garçon sont dans des emballages bleus, ceux pour filles dans des roses !). Lien vers campagne contre les jouets sexistes http://www.ducotedesfilles.org
Lire aussi : enfants : faites la guerre, pas l'amour !

Les filles recherchent la compagnie des garçons tandis que ces derniers fuient les filles. Une fille ne peut être acceptée dans le cercle des garçons que si elle se met à leur ressembler (tenue vestimentaire, comportement agressif...), une telle acceptation est très valorisante pour la fille.
Hormis des cas d'isolement, les relations qui peuvent se développer entre un garçon et une fille relèvent quasi-exclusivement du mode sexuel (exhibition, attouchements).

Rien n'est plus insultant pour un garçon que d'être traité de fille, de femmelette, de gonzesse. Pour une fille être désignée comme "garçon manqué" n'est pas autant dévalorisant.

Old_Jr a écrit:

Non, juste un autre mot pour "malade mental", expression que tu as utilisé plus haut.

La phrase est de Guérin, pas de moi. :hap:
Même si je l'approuve totalement.

Bah, ou est la différence entre un homme et un mur, vu que j'ai tous les deux aucune envie de les baiser?

J'oubliais qu'un mur ressemblait fortement à un homme, je te prie de m'excuser de cette grossière erreur.

Le fait est que vous avez peur du fait que vous soyez potentiellement bisexuel, vous ne cherchez même pas à comprendre. Et pour ça, vous inventez tout et n'importe quoi pour discréditer l'homosexualité.

Phrase bateau. J'ai vérifié que l'idée de coucher avec un homme me filait la nausée.

"Phrase bateau" est justement l'expression bateau qui tend à décrédibiliser une phrase courante - même parfois réelle - sans avoir les arguments derrière pour justifier que cette "phrase bateau" est fausse.
J'imagine que tu t'es déjà masturbé. Or, la masturbation est l'acte homosexuel par excellence, puisqu'il entraîne une relation sexuelle avec soi-même, soi-même du même sexe ! Tu donnes du plaisir à un homme, en l'occurrence, toi. Tu fais jouir un homme, tu as des sensations avec cet homme. Aurais-tu la nausée chaque fois que tu te masturbes ?

On est tous bisexuels à la naissance, notre orientation sexuelle n'est non pas déterminée par notre sexe, mais bel et bien par la société dans laquelle nous vivons.

Réponse c) : Notre orientation sexuelle est déterminée par un facteur inconnu de moi-même, qui n'est pas un que tu cites plus haut.

Le fait que nous naissons bisexuels est un fait matérialiste : en effet, aucun "gêne de l'homosexualité" n'a été détecté pour le moment. Ce qui présuppose que notre orientation sexuelle n'est non pas conditionné uniquement par nos pulsions, mais que la société y joue un grand rôle. Les thèses et théories amenant à cette supposition sont les plus fondées et majoritairement reconnues dans les milieux des études sur la question du genre et de l'orientation sexuelle aujourd'hui.

Tout petit, alors qu'un enfant n'a pas encore conscience du genre auquel il appartient, on va le formater pour qu'il corresponde aux normes genrées : bleu pour un garçon, rose pour une fille.

Vrai, et c'est pour ça que t'as parfois des drames terribles entre père homophobe et fils homosexuel. A cause de la réponse c).

Exact, et c'est pour cela que je n'ai pas déterminé l'orientation sexuelle entièrement sur l'environnement de l'individu, car dans ces cas-là, il y aurait beaucoup moins d'homosexuels dans cette société hétérosexiste et hétéronormée. Je suppose que les pulsions y sont aussi pour quelque chose.

C'est la même chose qu'il se passe pour la sexualité, on va s'orienter vers le sexe opposé instinctivement, sans même parfois y être attiré tout de suite.

Ca s'appelle les hormones. Mais tu n'as pas expliqué en quoi trouver un homme beau, c'est être homo.

Les hormones, oui, guidées en grande majorité par l'environnement de la personne. Je ne dis pas que les homosexuels sont des "résistants" à la société actuelle en refusant le code sexuel prédéfini, ça serait idiot de dire ça, et insultant envers les personnes hétérosexuelles.
Cependant, je ne pense pas qu'on puisse déterminer chaque personne en fonction de son attirance sexuelle et la placer dans des cases préconçues. Pour ma part, je suis pansexuel, la forme la plus libre qui soit (non content d'être libertaire, j'emmerde mon monde jusque dans ma sexualité !). Pour moi, les notions d'homosexualité et d'hétérosexualité sont désuettes et n'ont pas lieu d'être, chacun peut s'affirmer aujourd'hui bisexuel. Être attiré physiquement, même sans pulsion ni désir sexuel, vers un homme quelconque - soit par sa beauté, son charisme, etc. -, c'est de l'homosexualité. Ceci dit, il n'y a pas forcément de contact charnel entre les deux individus.

Old_Jr a écrit:

Oui, et c'est connu qu'un être humain, c'est aussi meuble qu'une pâte à modeler.

Il me semble juste dommage que tu ais pensé cette phrase avec ironie.


J'regrette de ne pas avoir assisté à votre débat hier, mais je m'intéressais à un autre .. SARKO ! (Bon, je suppose que si là je ne dis pas que j'ai honte, on va me fusiller?)
N'empêche, la politique française m'intéresse beaucoup plus que la politique belge. WTF! 

Bah franchement, je l'ai pas trouvé pire qu'un autre. Mais bon, faudrait que j'vois Hollande parler une fois pour pouvoir me forger complètement une opinion 

Bauvi- a écrit:

Old_Jr a écrit:

Non, juste un autre mot pour "malade mental", expression que tu as utilisé plus haut.

La phrase est de Guérin, pas de moi. :hap:
Même si je l'approuve totalement.

Ce qui revient strictement au même sur ce petit laïus inintéressant.

Bah, ou est la différence entre un homme et un mur, vu que j'ai tous les deux aucune envie de les baiser?

J'oubliais qu'un mur ressemblait fortement à un homme, je te prie de m'excuser de cette grossière erreur.

Tout va bien alors.

Le fait est que vous avez peur du fait que vous soyez potentiellement bisexuel, vous ne cherchez même pas à comprendre. Et pour ça, vous inventez tout et n'importe quoi pour discréditer l'homosexualité.

Phrase bateau. J'ai vérifié que l'idée de coucher avec un homme me filait la nausée.

"Phrase bateau" est justement l'expression bateau qui tend à décrédibiliser une phrase courante - même parfois réelle - sans avoir les arguments derrière pour justifier que cette "phrase bateau" est fausse.

La suite de la ligne montre que tu fais des généralités d'un cas. Tu as le droit de mettre mes arguments en doute, mais ne dis pas qu'ils ne valent rien parce que tu ne sais pas lire une ligne jusqu'au bout, diantre

La masturbation est l'acte homosexuel par excellence, puisqu'il entraîne une relation sexuelle avec soi-même, soi-même du même sexe ! Tu donnes du plaisir à un homme, en l'occurrence, toi. Tu fais jouir un homme, tu as des sensations avec cet homme. Aurais-tu la nausée chaque fois que tu te masturbes ?

Lol. Tu confonds donc se masturber, qui est un ersatz de relation sexuelle, avec une véritable relation sexuelle avec soi-même. Mais le plus drôle reste à venir.

On est tous bisexuels à la naissance, notre orientation sexuelle n'est non pas déterminée par notre sexe, mais bel et bien par la société dans laquelle nous vivons.

Réponse c) : Notre orientation sexuelle est déterminée par un facteur inconnu de moi-même, qui n'est pas un que tu cites plus haut.

Le fait que nous naissons bisexuels est un fait matérialiste : en effet, aucun "gêne de l'homosexualité" n'a été détecté pour le moment. Ce qui présuppose que notre orientation sexuelle n'est non pas conditionné uniquement par nos pulsions, mais que la société y joue un grand rôle. Les thèses et théories amenant à cette supposition sont les plus fondées et majoritairement reconnues dans les milieux des études sur la question du genre et de l'orientation sexuelle aujourd'hui.

Même si tes arguments sont sûrement vrais, la conclusion est fausse : l'absence de "gêne de l'homosexualité" suppose juste que les nouveaux nés n'ont aucune orientation sexuelle à la naissance, autrement dit, ils sont asexuels, dans le sens où l'on n'est rarement intéressé par la baise quand on a 2 ans à peine.

C'est pour cela que je n'ai pas déterminé l'orientation sexuelle entièrement sur l'environnement de l'individu, car dans ces cas-là, il y aurait beaucoup moins d'homosexuels dans cette société hétérosexiste et hétéronormée. Je suppose que les pulsions y sont aussi pour quelque chose.

On est au moins d'accord sur le fait que le genre d'une personne n'est pas totalement déterminé par son environnement, et qu'il est en partie déterminé par l'individu lui-même.

C'est la même chose qu'il se passe pour la sexualité, on va s'orienter vers le sexe opposé instinctivement, sans même parfois y être attiré tout de suite.

Ca s'appelle les hormones. Mais tu n'as pas expliqué en quoi trouver un homme beau, c'est être homo.

Les hormones, oui, guidées en grande majorité par l'environnement de la personne.

Aussi, oui x)

Être attiré physiquement, même sans pulsion ni désir sexuel, vers un homme quelconque - soit par sa beauté, son charisme, etc. -, c'est de l'homosexualité. Ceci dit, il n'y a pas forcément de contact charnel entre les deux individus.

Non, ou alors je suis murophile.

Dernière modification par Old_Jr (07-03-2012 17:27:24)

Tierra y libertad !

"Messieurs, soyez dignes de vous mêmes"

D'ailleurs je trouve qu'on ne devrait pas conditionner l'enfant à ce qu'il doit être, mais à ce qu'il veut être.

Bingo ! Comme me disait un pote/camarade "Ce qui est cynique dans notre société, c'est qu'on nous demande de réussir notre vie, alors qu'on demande simplement de la vivre cette vie"