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Tu vas voir, le bisounours violet il va pas que te passer devant les yeux
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Putain j'ai appris récemment, qu'il y avait un bisounours protège l'amérique me souvient plus du nom , juste que je trouve ça à gerber ...
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What ? Un bisounours protège l'amérique ? oO
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On en est pas loin, flic, militaire, même ordure.
Une balle, justice sociale.
Non non , c'est pas la même chose du tout , je préfere avoir un bleu devant ma porte qu'un militaire
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Et je préfère n'avoir personne devant ma porte, si ce n'est un copain ou une copine.
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Captain_Maid a écrit:
Et je préfère n'avoir personne devant ma porte, si ce n'est un copain ou une copine.
Ta des copains toi ?
Une société sans police , c'est sa que tu veut ?
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Une société sans classes, sans Etat, sans police, sans armée, sans hiérarchie, sans Ordre Moral, sans drapeaux, sans nations et sans frontières.
Une société d'hommes et de femmes libres, égalitaire et fraternel. Voilà ce que je désire, une société socialiste.
Ta des copains toi ?
T'as un cerveau toi ?
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Captain_Maid a écrit:
Une société sans classes, sans Etat, sans police, sans armée, sans hiérarchie, sans Ordre Moral, sans drapeaux, sans nations et sans frontières.
Une société d'hommes et de femmes libres, égalitaire et fraternel. Voilà ce que je désire, une société socialiste.Ta des copains toi ?
T'as un cerveau toi ?
Eh bah ta société elle ira pas loin .
Ouais j'ai un cerveau
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Bah voilà, j'ai aussi des copains
Eh bah ta société elle ira pas loin .
Bla bla bla. A part cracher sur les vilains " z'immigrés " ton analyse politique se résume à .. quasiment rien.
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Captain_Maid a écrit:
Une société sans classes, sans Etat, sans police, sans armée, sans hiérarchie, sans Ordre Moral, sans drapeaux, sans nations et sans frontières.
Une société d'hommes et de femmes libres, égalitaire et fraternel. Voilà ce que je désire, une société socialiste.
Je pense que c'est tout pleinement impossible a moins que tout le monde "joue le jeu"
Dès lors que tu supprime la police, t'aura toujours des con qu'en ont rien a battre de ton système qui en profiterons pour foutre la merde et on en arriverai a la lois du plus fort... Les petits ferment leur gueule et les grand imposent leur loi...
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Captain_Maid a écrit:
Bah voilà, j'ai aussi des copains
Eh bah ta société elle ira pas loin .
Bla bla bla. A part cracher sur les vilains " z'immigrés " ton analyse politique se résume à .. quasiment rien.
Euuuh .... si .
J'ai déja dit au dessus se que je penser mais bon avec toi sa sert , tu trouvera toujours quelque choses pour me contredire ....
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Tu vois, y en a certains qui se donnent la peine.
Même si ma liste était grossière, je dois bien l'avouer, elle était plus là pour provoquer que autre chose. Je pensais que personne n'allait retenir, mais bon ...
aure--26 a écrit:
Je pense que c'est tout pleinement impossible a moins que tout le monde "joue le jeu"
Il ne s'agit pas d'un jeu, mais d'une éducation de la politique par tous et toutes.
Celui qui fait le con, il aura le droit à des sanctions, je ne vois pas ce que ça changent.
Dès lors que tu supprime la police, t'aura toujours des con qu'en ont rien a battre de ton système qui en profiterons pour foutre la merde
Non, puisque de toute manière, dans une société sans classe, il n'y aura plus de moyens d'acquérir le pouvoir, vu que toutes ces formes auront été purement et simplement détruire. Puis encore une fois, pourquoi est-ce que ce mec voudrait faire chier et foutre la merde, alors qu'il aura la possibilité de vivre librement, pleinement sans avoir de frustration quotidienne ? Voilà la vrai question, j'ai déjà discuté ici et montré que les crimes, la délinquance, sont des produits sociétales du mode de vie ( et de production ! ) capitaliste, libéral et anomique.
Ceux qui voudront foutre la merde, ils seront mis en isolement et seront condamné par des tribunaux populaires, tout simplement.
Les petits ferment leur gueule et les grand imposent leur loi...
Dans une démocratie directe ? Je ne pense pas ..
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Maidy dans ta société il y'aura toujours de problème , t'aura toujours une personne qui en voudra plus qu'une autre & ainsi de suite ... c'est pas possible a mon point de vue de faire tourner une société sans ordre fixe & sans police .... Sa risquerai encore de tourner en guerre civile
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Maidy dans ta société il y'aura toujours de problème
Certainement, je ne dis pas le contraire.
aura toujours une personne qui en voudra plus qu'une autre
C'est partiellement faux, dans une société où tout est partagé équitablement entre tous et toutes, plus personne ne voudra plus que les autres.
Encore une fois, si on détruire l'argent et son accumulation, toute tentative de domination devient inutile et futile.
faire tourner une société sans ordre fixe & sans police
C'est quoi sans ordre fixe ? " L'anarchie, c'est l'ordre moins le pouvoir "
l'ordre est naturel, il est présent tous les jours, c'est ce qui fait tout tourner. L'ordre comme tu l'appelle, moi je le conçois comme une responsabilisation, rien de plus. Les conseils, le fédéralisme, la démocratie directe, les prises de décisions collectives feront en sorte que l'ordre persiste, cet Ordre ne sera pas celui d'une poignée de ploutocrates, mais fais pas tous et toutes, voilà ce qu'est l'anarchie.
Quand à la question de la police, j'ne ai déjà discuté sur ce sujet, dans une société sans classe, il n'y a plus besoin d'outils de répression.
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L'ordre, c'est être responsable ou rendre responsable, quand la personne ne sait pas le faire (ou l'être) d'elle-même ^^
Abolir les classes ?
C'est comme si tu voulais abolir les gens
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Justement, le but est de responsabilisé tout le monde, pour que l'ordre soit quelque chose qui n'est plus fait par quelques personnes, mais par tous et toutes. On nous prends pour des gosses, moi ça me fait pas particulièrement plaisir, mais c'est que mon avis.
Abolir les classes ? C'est comme si tu voulais abolir les gens
Non, tu n'y es pas. Les classes sociales sont une posture prédifini dans la société, abolir les classes c'est dire que tout le monde peut jouir de tout, qu'on est tous égaux sur tous les plans et qu'on se fait plus éclater la gueule parce que ce qu'on dit ne plait pas à quelques cons haut placé.
Abolir les classes, c'est abolir une société qui discrimine, violente une autre classe. Je ne vais pas revenir sur l'analyse de classe, c'est pourtant pas compliqué de voir qu'il y a les propriétaires, les riches, les bourgeois et il y a nous, avec une " classe tampon moyenne " crée pour faire croire qu'on va tous pouvoir devenir bourgeois un jour.
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Bah, tu vois de ces cas, IRL...
Ca fait peur.
Ils ont besoin d'être guidés, assistés, voire surveillés dans le pire des cas.
Car dangereux pour eux-mêmes (ça, c'est pas trop grave en soi) et pour les autres.
Tu auras des classes quoiqu'il en soit.
On est complémentaire !
Des faibles, des forts.
Des gens qui s'écrasent, des grandes gueules qui ont pas forcément raison mais qui s'affirmeront.
Les classes ont toujours été là.
Enfin, d'après ce qu'on peut lire.
Homme / Femme, déjà au minimum, t'as deux classes à la base.
C'est pas les femmes qui allaient buter les mamouths (maintenant, elles font les courses à mamouth, mais c'est pas pareil). XD
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Et vas'y que je te balance le discours réactionnaire et dégradant, c'est pour la forme sans doute hum ?
Si les femmes allaient pas chasser, c'est d'une parce que les hommes étaient plus affûtés pour ça, et surtout, que bon nombre de croyances, de pratiques ont fait que la société est devenu patriarcale de manière exclusive et la répartition des tâches s'en sont trouvés affectés à leur tour. Voilà pourquoi les femmes n'allaient pas chasser ou autre, c'est une explication purement machiste et débile.. d'une.
Ils ont besoin d'être guidés, assistés, voire surveillés dans le pire des cas.
On parle d'une infime partie de la population qui est soit malade, soit dans une incapacité mentale ou physique.
Il est évident qu'elles auront besoin d'aide, et d'ailleurs, le socialisme c'est l'entraide et la solidarité entre tous et toutes. Donc ça tombe très bien.
Tu auras des classes quoiqu'il en soit.
Non, les classes sociales sont une construction réalisé suivant un mode de production précis. On peut en dénombrer 4 :
Communisme primitif
La propriété des moyens de production était collective. L’Homme ne pouvait assurer sa survie seul, la coopération était donc une nécessité. Ainsi, le travail était collectif.
Comme l’Homme ne produisait aucun surplus (aucun surtravail), il ne pouvait exister de classe vivant de l’exploitation d’une autre classe. La répartition égalitaire des produits était nécessaire, car les premiers hommes parvenaient à peine à se nourrir. Si quelqu’un avait donc plus de nourriture que les autres, une autre personne mourrait. Soulignons que, malgré tout, il existait des chefs, des prêtres et des militaires, mais sans aucun privilège.
Le fondement de la communauté primitive est donc le suivant : assurer la survie de chacun à l’aide des instruments de production primitif – propriété de tous –, travailler en commun et partager égalitairement les produits.
Esclavage
La gens patriarcale (le stade de l'agriculture dans le communisme primitif) contenait déjà les germes de la société de classe : les forces productives plus perfectionnées entraient en collision avec les rapports de propriété.
Le perfectionnement des instruments de travail et des techniques de production réduisit le nombre de personnes nécessaires pour cultiver une terre. Le travail collectif devint travail individuel. Cela menait donc naturellement à la propriété privée. Petit à petit, l’amélioration des moyens de production mena à un surplus de production. Surplus qui pouvait être échangé. (Le surtravail apparait.)
Comme le surtravail apparait, il devient tout à fait possible pour une classe d'hommes d'en exploiter une autre. En général, ce sont les chefs de village, prêtres et autres militaires qui se sont accaparés des surproduits des autres.
L'esclave appartenait intégralement à son maître, il n'était pas libre. (Par exemple, le maître avait droit de vie et de mort sur ses esclaves.) Toute la journée, il s'épuisait à travailler pour que son maître ait la vie facile et belle (non pas qu'il le veuille, mais bien parce qu'il y est contraint). Posséder des esclaves n'a de sens que s'ils survivent, donc le maître doit leur fournir la nourriture, les habits et le logement nécessaires à leur survie.
Pendant une partie de la journée l'esclave travaille pour "rembourser"5 ce que lui fournit son maître, il produit donc ce qui y est équivalent (travail nécessaire) et tout le reste est du surtravail gratuit pour le maître.
Le mode de production esclavagiste restait avant tout une économie naturelle donc l'esclave produisait des produits destinés à la consommation directe de lui et de son maître ; il n'y avait pas ou très peu d'échanges. Autant dire que l'exploitation saute aux yeux.
En bref, manière dont le surtravail est imposé : la violence, la contrainte. Manière dont il est extorqué : le maître récupère tous les produits des esclaves et déduit de cette masse les produits nécessaires à leur entretien.
Servage (féodalisme)
La nécessaire faillite du mode de production esclavagiste mena directement à un mode de production moins violent où les travailleurs ont un quelconque intérêt à effectuer leur travail. Les esclaves devinrent des serfs attachés à "leur" terre (ils étaient plus libres que les esclaves) et les propriétaires d'esclaves des seigneurs. En réalité, les terres - ainsi que les hommes s'y trouvant dessus - appartenaient aux seigneurs.
Les serfs travaillaient en partie pour eux et en partie pour leur seigneur, comme dans tout régime d'exploitation. Le seigneur s'accaparait le surtravail du serf sous la forme de la rente foncière qui a elle-même trois formes : 1) la rente-travail 2) la rente en nature 3) la rente en argent.
La rente-travail, courrament appelée la corvée, consistait à ce que le paysan travaille une partie de la semaine sur la terre de son seigneur. Ce type de rente suppose que la terre sur laquelle travaille le serf soit délimitée : une partie appartient au serf, une autre partie appartient au seigneur. La terre étant délimitée, le serf n'a pas beaucoup d'intérêt à travailler avec intensité et a développer la productivité sur la partie de son seigneur. C'est pourquoi il y avait des surveillants.
La rente en nature consistait à ce que le paysan paie le seigneur avec ses propres produits (une certaine quantité de bétail, de blé, etc.). Elle suppose que la terre travaillée par le serf ne soit plus délimitée. Comme la terre n'est plus délimitée, le serf a tout intérêt à augmenter la productivité de son terrain. (Les paysans devaient aussi payé la dîme à l'Eglise. Elle consistait à donner le 10% de sa récolte.)
La rente en argent consistait à ce que le paysan paie son seigneur en argent. Elle suppose donc un stade avancé de la société féodale où le paysan parvient à échanger ses produits.
Le mode de production féodal demeure avant tout une économie naturelle.
En bref, manière dont est imposé le surtravail : à mi-chemin entre contrainte et liberté. Manière dont il est extorqué : la corvée ou les impôts.
Salariat (capitalisme)
Suite à l'effondrement du féodalisme apparait le mode de production capitaliste. C'est le triomphe de la liberté ; le travailleur est maintenant libre : plus rien ne le rattache à son maître ou à sa terre. Mais s'il est libre, c'est bien parce qu'il n'a plus rien. Il est donc obligé de travailler pour ceux possédant les moyens de production. Le prolétaire va donc vendre sa force de travail au capitaliste en échange d'un salaire.
Le mode de production capitaliste est l'aboutissement de la société marchande puisque même la force de travail devient marchandise (elle se vend). La loi de la valeur s'applique enfin à la grande majorité de la société (il reste encore des situations où elle ne peut pas s'appliquer). La force de travail est une marchandise, elle se vend donc à sa valeur, c'est-à-dire la valeur nécessaire à sa reproduction (la valeur de la nourriture, des habits, du logement, de la formation, etc.). Le prix de cette marchandise, c'est le salaire. (Cf. la marchandise)
Nous avons déjà vu dans un autre article comment le capitaliste extorque la plus-value (cf. la plus-value) au travailleur. En gros, la valeur du travail de l'ouvrier dépasse la valeur de sa force de travail et cette différence est appropriée par le capitaliste. Il s'agit donc de travail non-payé ou de surtravail. Lorsque le prolétaire travaille, il produit pendant une partie de la journée la valeur égale à son salaire (travail nécessaire) et pendant une autre partie de la journée la plus-value (surtravail).
Contrairement aux autres modes de production, l'exploitation ne saute pas aux yeux. Le travailleur et le capitaliste ont l'impression que le salaire est le fruit du travail du prolétaire et que le profit est le fruit du capital. Mais tout capital n'est que du travail passé, il ne crée aucune valeur.
En bref, manière dont est imposé le surtravail : la "liberté" (!). Manière dont il est extorqué : le travail non-payé.
Homme / Femme, déjà au minimum, t'as deux classes à la base.
Les sexes ne sont pas des classes, au contraire.
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Captain_Maid a écrit:
Une société sans classes, sans Etat, sans police, sans armée, sans hiérarchie, sans Ordre Moral, sans drapeaux, sans nations et sans frontières.
Une société d'hommes et de femmes libres, égalitaire et fraternel. Voilà ce que je désire, une société socialiste.Ta des copains toi ?
T'as un cerveau toi ?
Quel belle utopie irréalisable
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Captain_Maid a écrit:
Tu vois, y en a certains qui se donnent la peine.
Même si ma liste était grossière, je dois bien l'avouer, elle était plus là pour provoquer que autre chose. Je pensais que personne n'allait retenir, mais bon ...aure--26 a écrit:
Je pense que c'est tout pleinement impossible a moins que tout le monde "joue le jeu"
Il ne s'agit pas d'un jeu, mais d'une éducation de la politique par tous et toutes.
Celui qui fait le con, il aura le droit à des sanctions, je ne vois pas ce que ça changent.Dès lors que tu supprime la police, t'aura toujours des con qu'en ont rien a battre de ton système qui en profiterons pour foutre la merde
Non, puisque de toute manière, dans une société sans classe, il n'y aura plus de moyens d'acquérir le pouvoir, vu que toutes ces formes auront été purement et simplement détruire. Puis encore une fois, pourquoi est-ce que ce mec voudrait faire chier et foutre la merde, alors qu'il aura la possibilité de vivre librement, pleinement sans avoir de frustration quotidienne ? Voilà la vrai question, j'ai déjà discuté ici et montré que les crimes, la délinquance, sont des produits sociétales du mode de vie ( et de production ! ) capitaliste, libéral et anomique.
Ceux qui voudront foutre la merde, ils seront mis en isolement et seront condamné par des tribunaux populaires, tout simplement.Les petits ferment leur gueule et les grand imposent leur loi...
Dans une démocratie directe ? Je ne pense pas ..
1- Ok
2- Pourquoi quelqu'un voudrait faire chier? Mais tout simplement parce que les gens sont trop différent, certain ne savent pas se gérer, il leur faut des barrières, des limites, et donc la liberté ne leur irait pas
3- Ok
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aure--26 a écrit:
Pourquoi quelqu'un voudrait faire chier?
Un groupe d'individu " fait chier " dans une société parce qu'il est incompris, marginalisé et un tas de raisons similaires, tu ne fous pas la merde pour rien.
il leur faut des barrières, des limites, et donc la liberté ne leur irait pas
La liberté, c'est la responsabilité justement.
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aure--26 a écrit:
Ca me laisse sceptique ^^ J'ai du mal a imaginer une telle organisation
C'est une utopie qui n'arrivera pas tout de suite comme la république aux temps de Louis 14
l'anarchie plus les année avance plus ça avance peut etre que un jour l'anarchie sera aimé pas beaucoup de monde
Dernière modification par ElDemaaaaaaa (15-01-2011 15:45:54)
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