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J'ai jamais lu de Gorki. Faudra que je m'y mette. ^^'
Pour Nous autres, je pense que tu l'interprètes trop à côté, ou trop tout-court. C'est certes une critique du communisme extrémiste, mais ça reste avant tout une dystopie. Par définition, ça ne se base pas sur du réel, ça ne fait que s'en inspirer. Je veux dire que c'est bien l'URSS de Lénine qui a inspiré l'univers de Zamiatine, mais il n'a pas fait un livre dessus, il a fait un livre sur une dystopie communiste poussée à l'extrême. C'est différent. On s'éloigne de la pensée réelle de Lénine, et c'est voulu.
Au delà de ça, il faut aussi considérer que c'est la première dystopie moderne et que c'est totalement novateur. C'est quand même 25 ans avant le mythique 1984. Et puis l'écriture est simple, c'est très facile à lire, tout est réuni pour en faire une référence. Pour moi, c'est un classique. Et il ne faut pas forcément y voir une critique du léninisme. Disons que la critique est présente, mais ce n'est pas la chose principale à tirer du bouquin.
Dernière modification par SweDen (21-11-2012 12:33:04)
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Je viens de me procurer Nous autres, j'espère que ça va me plaire mais je me fais pas trop de soucis car j'adore les dystopies
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Non mais je suis bien d'accord avec toi Swe', Mais ça reste quand même sacrément portée et une critique du "communisme" tel qu'il est bâti en URSS à partir des années 20, suite à la déception de bon nombres d'intellectuels russes, souvent pourchassés (à tort !) par la Tchéka pour "antisoviétisme".
Alors c'est cool, j'aime aussi beaucoup les dystopies en tout genre, mais celle là passe assez moyennement, sans doute parce que c'est ma sensibilité politique (communisme poussé à l'extrême ? ça donne quoi ? Une société de bisounours, pas une société avec un Etat tentaculaire !).
Et au risque de choquer, je gerbe Orwell... Je n'aime pas ce mec, pour un tas de raisons très très longues et précises.
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T'aimes pas Orwell, t'es pas crédible, c'est tout.
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Je me permet de citer vite fait, un court texte d'un camarade sur un blog que j'anime en collaboration, à propos de Orwell :
Orwell, la coqueluche de tous les mouvements politiques. Les fascistes l’invoquent pour critiquer la « bien-pensance gauchiste ». Les gauchistes s’en réclament pour sa critique des sociétés sécuritaires et inégalitaires. Les républicains s’en servent pour dénoncer les « extrémismes » et autres « utopies » dangereuses. Il est grand temps de se pencher de plus près sur la pensée de l’auteur, au lieu de se contenter de citer 1984 dans les salons bobos, afin de faire le tri dans ce chaos d’opportunisme et de récupération. Non, je ne me réclame pas d’Orwell, malgré mon engagement anticapitaliste et antiétatique. Et j’ai de bonnes raisons pour cela.
Mon analyse s’appuiera essentiellement sur La Ferme des animaux. C’est un livre qui développe une théorie politique précise sous la forme d’une fable imaginaire, ainsi qu’une vision de l’histoire : il raconte de manière voilée les événements de la Russie de 1917 et après, sans respecter la chronologie cependant. Notre thèse est la suivante : La Ferme des animaux est un livre contre-révolutionnaire de façon générale, ce n’est pas seulement une condamnation d’Octobre Rouge. Cette fable est un pamphlet contre l’idée de révolution elle-même, et lui oppose un conservatisme libéral bon teint, qui, sous couvert de bonne conscience anti-utopique, légitime idéologiquement la répression des mouvements révolutionnaires progressistes. Ce n’est donc pas étonnant que les sociaux-démocrates, les conservateurs, les fascistes et les gauchistes casseurs de grève font d’Orwell une de leurs idoles.
Il y a trois arguments principaux sur la Ferme des animaux qui nous conduisent à notre thèse.
1. Une téléologie sans faille est mise en œuvre dans cette fable. La mise en place du régime « totalitaire » a été causée par la révolution, révolution elle-même causée par le discours de Sage l’Ancien. Ces faits fictifs transposés en termes historiques signalent que Marx-Lénine doit nécessairement aboutir à Octobre Rouge, et qu’Octobre Rouge doit nécessairement aboutir à Staline. Orwell soutient donc une condamnation claire de toute velléité révolutionnaire et/ou utopique, au profit d’un socialisme sans doute « réformiste », à l’anglaise. Sur ce point comme sur d’autres, la Ferme des animaux semble être l’expression littéraire de la philosophie de Karl Popper dans La société ouverte et ses ennemis (ouvrage écrit en même temps que l’ouvrage d’Orwell), et le corrélat de la politique de la Société du Mont-Pèlerin, c’est-à-dire du social-libéralisme.
1.1 Cependant, Orwell montre avec le personnage Snowball/Trotsky qu’une autre voie que celle de Napoleon/Staline était possible. De deux choses l’une : soit Orwell n’a pas compris le trotskysme, qu’il a pourtant fréquenté au POUM, en l’idéalisant et en le victimisant ; soit il considère que Trotsky et Staline, c’est la même chose, et dans ce cas on revient au point précédent. Par ailleurs, il est significatif que dans le dossier consacré à l’interprétation de l’œuvre et à la vie d’Orwell (édition Folioplus classiques), il est dit que Orwell a fréquenté les anarchistes et les trotskystes au POUM, mais dans la dernière occurrence, seuls les anarchistes sont mentionnés. Oubli inconscient ou volontaire des trotskystes par le commentateur ?
2. Orwell présente la nomenklatura comme une caste privilégiée qui confisque les acquis de la révolution, dans son intérêt privé et personnel. Orwell se place ainsi en défenseur de la théorie libérale-conservatrice (exprimée par exemple par Karl Popper ou Friedrich Hayek) qui veut que la tyrannie soit le gouvernement de l’intérêt privé, tandis que le gouvernement juste est celui qui agit dans l’intérêt général (que cet intérêt soit celui des masses, comme dans le cas du socialisme réformiste du type de la social-démocratie allemande de Gotha, ou celui de l’élite, comme dans le cas des néoconservateurs). On voit ici qu’Orwell ne comprend manifestement pas la spécificité du « totalitarisme » comme phénomène radicalement nouveau. Pourtant, Orwell effleure la définition d’Hannah Arendt du totalitarisme lorsqu’il met en exergue les mensonges idéologiques à but propagandiste. Seulement, la radicale nouveauté du totalitarisme, en contraste avec l’ancienne tyrannie, est justement que le totalitarisme n’agit pas dans l’intérêt privé, mais au contraire dans un intérêt déclaré « supérieur », comme celui de la race ou de la classe. Et c’est évidemment le cas dans le stalinisme historique : le régime stalinien ne gouvernait pas pour l’intérêt privé des dirigeants, sinon il n’y aurait pas eu la Grande Terreur de 1937, qui visait autant la nomenklatura que les masses. De même et comme le montre Hannah Arendt, le mensonge dans le totalitarisme est un mensonge systématisé au point que les instigateurs du mensonge finissent eux-mêmes par ne plus posséder et croire en la vérité, contrairement là encore à la tyrannie classique de type « machiavélique ».
3. Orwell évoque une position « naturaliste » dans La Ferme des animaux. Les cochons sont les plus intelligents, donc ce sont eux qui prennent le pouvoir et qui instaurent le régime « totalitaire » opprimant le peuple. Or les autres animaux, bien moins intelligents que les cochons, ne vont se révolter à aucun moment. Il se produit seulement quelques protestations ça et là. Il y a donc la masse inférieure incapable de comprendre ce que font les dirigeants, et les dirigeants super-intelligents qui ne soulèvent aucune opposition. Orwell sur ce point et contrairement à sa méthode, lit bien mal l’histoire : les oppositions en U.R.S.S. ont été nombreuses. Certes, nous pouvons supposer qu’Orwell force le pessimisme pour adresser un message aux masses et leur dire de ne pas s’endormir et de se révolter. Sorte de littérature cynique… Nous pouvons toutefois laisser ici à Orwell le bénéfice de l’équivoque.
Orwell a tout du libéral bon teint de tradition anglo-saxonne, refusant toute violence, considérant que chacun agit selon son intérêt privé, défendant la bonne vieille liberté d’expression libérale, dénonçant le révolutionnarisme comme totalitaire. C’est ce qui ressort également de sa préface à la Ferme des animaux. Son « socialisme » n’est basé que sur des sentiments éprouvés à la vue des opprimés, nullement sur des raisons idéologiques (et je le cite quasiment textuellement). Le doux sentiment personnel (n’en faisons pas non plus un romantique) comme source de la morale, n’est-ce pas une idée dans la continuité de la philosophie sociale-libérale de David Hume ou de John Stuart Mill, plutôt que de Karl Marx ?
La Ferme des animaux fait partie de ce que Slavoj Žižek appelle les « antioxydants idéologiques » ; elle réduit toute révolution, toute velléité utopique, toute volonté de changement radical à un « totalitarisme ». Au contraire, Orwell réhabilite une politique de la finitude et de la contingence, une politique essentiellement pessimiste qui fait le lit de la réaction et du capitalo-parlementarisme.
Voilà voilà.
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J'ai pas lu. Ca critique Orwell, c'est de la merde.
Point. :]
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Belle preuve de maturité.
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Ou franchise.
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Ou de manque de maturité.
T'imagines si je disais à des mecs "Non je lirais pas parce que tu critiques Lénine et Marx, point ?"
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Tu peux. En même temps, j'osais espérer que tu avais compris que je n'avais pas lu surtout parce que je n'avais pas le temps.
Bon j'ai lu en diagonale, et j'en reviens à la même conclusion que celle que je t'ai faite toute à l'heure : la critique est juste à côté de la plaque. Critiquer Orwell sur le côté "critique du communisme" de son œuvre, c'est comme critiquer l'hygiène d'une pute parce qu'une main a été mal lavée : une goutte dans la mare.
Donc c'est absurde. La ferme des animaux, c'est avant tout une dystopie. Bieeeen avant d'être un livre critique de la société de l'époque. Une dystopie, ça s'inspire de faits politiques, comme le système soviétique par exemple, mais ça ne fait que s'en inspirer. Le reste, c'est l'imagination de l'auteur qui va dépeindre une situation politique peu tolérable. Le but n'est justement pas de transposer exactement un régime politique, c'est absurde. Ca ne serait plus une dystopie, ça serait un roman historique. Je sais pas, mais par exemple, W ou le souvenir d'enfance, c'est une dystopie qui illustre bien ça, elle a très peu de liens avec des systèmes politiques connus.
Donc en résumé, critiquer Orwell là dessus, c'est stupide. Dans 1984 ou La ferme des animaux se cache bien sur une certaine critique de systèmes politiques, mais ce n'est pas le propos général. La critique ne se posera que sur la base, le reste, c'est de l'imagination, de la création.
Même dans Nous autres, ce n'est pas le propos. Pourtant c'est une des dystopies les plus inspirées d'un régime politique, puisque le livre décrit une société communiste poussée à l'extrême. Mais là encore, c'est un extrême. Rien ne critique réellement le léninisme puisque ce n'est pas une société communiste poussée à l'extrême. Cela décrit une dérive, ou même un enchaînement de dérives. Le but d'une dystopie, ça reste bel et bien de décrire une société irréelle ! Alors tu peux y voir une envie de prévenir du futur, mais là encore, croire que le message de Nous autres se limite à "le communisme, c'est mal", c'est être foutrement parano. Au pire, si tu veux y voir une critique, ça serait "attention à certaines dérives du communismes". Et là, à moins de se croire parfait et incriticable, je ne vois pas comment on peut reprocher cette démarche.
Une phrase illustre parfaitement à quel point la critique est à côté de la plaque : "De deux choses l’une : soit Orwell n’a pas compris le trotskysme, qu’il a pourtant fréquenté au POUM, en l’idéalisant et en le victimisant ; soit il considère que Trotsky et Staline, c’est la même chose, et dans ce cas on revient au point précédent."
Non, le type qui a écrit ça n'a juste rien compris au livre, rien. Le but n'est pas de décrire le trostyskme ou le stalinisme. Si le mec a cru que c'étaitl e propos d'Orwell, faut sincèrement qu'il prenne beaucoup plus de recul sur ses idées, et relise ce livre.
Dernière modification par SweDen (22-11-2012 18:46:50)
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La ferme des animaux n'est pas une simple dystopie, c'est une critique/analyse de la révolution d'octobre... Tout le temps, suffit de connaître à peu près le déroulement d'Octobre pour comprendre qui joue quel rôle et de quel façon. Le Grand Sage c'est Marx/Lénine, Snowball c'est Trosky, Napoléon c'est Staline, le cheval c'est Stakhanov, les proprios des autres fermes sont les grandes puissances impérialistes (Allemagne, Angleterre, Etats-Unis, France...)
Orwell se réclamant lui même du "socialisme", vu qu'il a écrit plusieurs trucs là dessus, participé à la révolution en Espagne et j'en passe, il est normal de s'intéresser idéologiquement à ce qu'il raconte... Donc la critique est bien porté sur la façon dont Orwell décrit la révolution russe, dans sa manière de socialiste libéral. Me dire qu'on a rien compris à Animal Farm's, alors que ce livre est politique, c'est quand même assez gros. Tout le déroulement est téléologique : Révolution => Staline => Terreur => Goulag. Orwell peut allez se faire mettre, en plus d'avoir bosser pour les services secrets de la Grande-Bretagne.
Quand à 1984, j'ai pas grand chose à dire dessus, tout le monde s'en sert pour attaquer tout le monde. Me semble que à la base, Orwell a fait ce bouquin pour tourner au ridicule les Fabien, une société qui serait dirigé par eux-même, puisqu'ils avaient craqué du slip en revenant de plusieurs voyages en URSS.
Moi je parle des idées qui sont à l'intérieur de Animal's Farm surtout, voir de 1984. Et faut comprendre Orwell, dans sa vie, ses idées, d'où il vient... Je ne l'aime pas, sa manière de présenter les choses ne me plaît pas, sa vision d'ensemble ne me plaît pas. Dystopie ou pas d'ailleurs.
Quand aux certaines dérives du communisme, c'est bien sympa, mais encore une fois, toujours faire un truc stupide du style "Révolution = Totalitarisme", c'est bien un argument de... bourgeois.
Bref.
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Je viens de reçevoir chez moi le livre " Mémoires de ma vie de gangster et de ma rédemption de South Central à Hollywood" de Ice-T ancien rapeur US et il joue dans New-York Unité Spéciale Find Tutuola
Dernière modification par joeldu14 (24-11-2012 22:56:14)
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Hunger Games putain ce(s) livre est juste énormissimes , quand tu commence , tu peut plus t'arreter , c'est juste pas déscriptible ...
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Arango_ a écrit:
Me dire qu'on a rien compris à Animal Farm's, alors que ce livre est politique, c'est quand même assez gros. Tout le déroulement est téléologique : Révolution => Staline => Terreur => Goulag.
Désolé, mais je réitère. Vous n'avez rien compris.
Ou du moins, vous avez compris ce que vous avez voulu comprendre. C'est grave, ça ressemble à un endoctrinement tel que quand tu lis un livre comme ça, tu ne vois que la partie immergée de l'iceberg.
Et ton discours n'a absolument pas contré ce que je disais. Tu montres qu'il y a une inspiration du communisme et de la révolution rouge, c'est clair et je l'ai jamais nié. Seulement, ce que je te dis, c'est que ce n'est pas le propos. Cela reste une inspiration. Limiter la Ferme des Animaux à une critique des évènements en URSS, c'est ne voir que 10% de l'intérêt du livre.
Un peu comme lire Anna Karénine et trouver que le livre se limite à une histoire de cul.
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Quelques livres que j'ai lu récemment :
Zazie dans le métro - Queneau
J'ai beaucoup aimé : l'écriture, l'histoire, l'absurde, l'incohérence ... On s'attache très vite aux personnages. Je l'ai lu très vite et maintenant j'ai envie de lire ses autres livres .
Charly 9 - Teulé
L'Histoire revue de façon humoristique. J'ai beaucoup souri dans les 1ères pages mais je trouve l'idée est vite limitée et plus je m'approchais de la fin, plus je m’ennuyais. Pourtant le livre est court.
Le vent dans les saules - Grahame
C'est gentillet et très reposant. Il conviendrait à un public jeune mais j'imagine mal mon petit neveu se passionner pour cette histoire ^^. C'est trop calme et demande de la patience.
Contes de la folie ordinaire - Bukowski
Le style est assez cru, les petites histoires s'enchainent facilement ... Du moins je n'ai pas accroché et ça ne m'a pas donné envie de lire un autre livre de Bukowski.
Dernière modification par lukino (25-11-2012 22:59:43)
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Je viens de m'acheter "The Secret Footballer" , le début est vraiment bien . Et ce soir j'ai " Moi Zlatan Ibrahimovic ".
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Récemment j'ai lu deux livres qui m'ont marqué :
Tout seul, de Raymond Domenech j'ai bien accroché et lu ça d'une traite. Après j'ai trouvé un peu abusé, le fait qu'il taille excessivement certains joueurs comme Yohann Gourcuff, par exemple
Et aussi Génération supporter, de Philippe Broussard j'ai bien aimé et en même temps appris pas mal de choses, j'accroche aussi sur la fin du livre où il indique, tous les évènements dramatiques (ou pas) dans des stades.
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Avicii. a écrit:
Je viens de m'acheter "The Secret Footballer" , le début est vraiment bien . Et ce soir j'ai " Moi Zlatan Ibrahimovic ".
J'suis dessus en ce moment, super sympa.
Sinon, j'viens de terminer le série "Oscar Pill" de 5 tomes, je sais pas si vous connaissez, mais impossible de décrocher.
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Lounaldo a écrit:
Avicii. a écrit:
Je viens de m'acheter "The Secret Footballer" , le début est vraiment bien . Et ce soir j'ai " Moi Zlatan Ibrahimovic ".
J'suis dessus en ce moment, super sympa.
Sinon, j'viens de terminer le série "Oscar Pill" de 5 tomes, je sais pas si vous connaissez, mais impossible de décrocher.
Arrete on sait que tu lis seulement Pomme D'Api et Babar.
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L_interdit a écrit:
Lounaldo a écrit:
Avicii. a écrit:
Je viens de m'acheter "The Secret Footballer" , le début est vraiment bien . Et ce soir j'ai " Moi Zlatan Ibrahimovic ".
J'suis dessus en ce moment, super sympa.
Sinon, j'viens de terminer le série "Oscar Pill" de 5 tomes, je sais pas si vous connaissez, mais impossible de décrocher.Arrete on sait que tu lis seulement Pomme D'Api et Babar.
Et Astrapi.
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Ça fait un petit moment que je ne suis pas venu ici, j'ai lu de nombreux livres depuis.
Je ne les citerai pas tous, mais je me permets d'en conseiller quelques uns vite fait :
Du kibboutz à l'Intifada, de Marion Sigaut, sur l'évolution des colonies israéliennes dans les territoires arabes (les Kibboutz) jusqu'à la révolte de ces derniers contre ceux qui occupent leurs territoires, agrémenté d'une réflexion (critique, s'il s'en faut) sur cette évolution. Bouquin prenant et vraiment très agréable à lire.
Survivre à l'effondrement économique, de Piero San Giorgio, expliquant le pourquoi du comment de l'effondrement économique dans les prochaines années à venir et comment y survivre, ou s'y préparer.
J'irai cracher sur vos tombes, de Boris Vian... c'est du Vian quoi !
Entretiens avec le professeur Y, de Louis-Ferdinand Céline.
Dernière modification par Bauvi- (02-02-2013 18:26:28)
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Smawleen. a écrit:
L_interdit a écrit:
Lounaldo a écrit:
J'suis dessus en ce moment, super sympa.
Sinon, j'viens de terminer le série "Oscar Pill" de 5 tomes, je sais pas si vous connaissez, mais impossible de décrocher.Arrete on sait que tu lis seulement Pomme D'Api et Babar.
Et Astrapi.
Non il a pas les moyens par contre il va voler Picsou Magazine en croyant que ça va l'aider à gagner du fric.
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Lounaldo a écrit:
Avicii. a écrit:
Je viens de m'acheter "The Secret Footballer" , le début est vraiment bien . Et ce soir j'ai " Moi Zlatan Ibrahimovic ".
J'suis dessus en ce moment, super sympa.
Sinon, j'viens de terminer le série "Oscar Pill" de 5 tomes, je sais pas si vous connaissez, mais impossible de décrocher.
J'ai bien aimé l'anecdote sur les repas en fin de match .
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Astrapi, trop de mots difficiles.
Avicii, j'en suis pas encore là, j'lis pas souvent, surtout le soir. j'crois que j'en suis à "Tactiques" là.
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Mais ce que je te dis c'est dans " Managers " . Toi tu es déjà plus loin que moi .
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