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SirAlex14 a écrit:
vu comment tu tires à boulets rouges sur les mecs qui ne partagent pas ton utopie
Il me faudrait le Victory de Nelson à se train là. Non, ce qui me saoule, c'est quand on a un débat stérile et qu'on cherche la petite bête pour des conneries. Rien de plus.
En fait, tu fais rien de tes journées en ce moment
Fac. Mais vu que j'ai peu d'heure de cours, j'en profite pour aller taper la discut' avec les lycéen-e-s. J'ai que ça à faire puis au moins ça passe le temps et on discute de pas mal de choses.
Ce qui me permet de garder contact aussi, de manière accessoire.
mais en quoi il faudrait se moquer des lycéens qui viennent d'un lycée qui n'a pas été bloqué aujourd'hui ?
C'est le folklore, rien de bien sérieux la dedans.
Je me faisais lyncher souvent parce que ça bougeait dans les autres lycées et que le mien était rempli de mecs de l'UMP. Maintenant, je me marre et je le prend avec philosophie.
C'est une obligation de bloquer son lycée cette semaine ?
J'en sais rien, comme dit, parait que c'était un appel national. Donc je dirais oui, mais sans conviction, on m'a demandé plusieurs fois ce matin.
Ils pensent à ceux qui vont en cours, qui bosse sérieusement pour avoir leur bac avec mention et un bon dossier pour intégrer une prépa ou une GE
Tu sais, j'ai toujours milité, j'ai bloqué des lycées, et pourtant, j'ai eu mon bac avec mention assez bien et j'suis en Fac.
L'un n'empêche pas l'autre .. on a déjà expliqué 1000 fois comment rattraper les cours lors d'un blocage ou d'une manif', c'est vraiment pas sorcier.
c'est sécher une matinée de cours avec une justification valable
Oui, bah y en aura toujours. C'est triste, mais c'est comme ça ..
j'ai pas le droit de donner mon avis sur ce mouvement lycéen pathétique.
Si tu as le droit de donner ton avis, mais fait en sorte qu'il soit mieux lisible et qu'il y a une proposition concrète derrière, pas seulement une diatribe de plus ou de moins.
Si déjà on critique, on propose des solutions. La, à part dire " les mouvements lycéens c'est cacaaaaa, c'est tous des branleurs " y a rien qui est proposé en face, juste du mépris et du dédain. J'ai envie de dire, comme d'hab ?
c'est la récupération qui en a été faite
ça marche toujours comme ça, les sections syndicales ou les mouvements de jeunesses veulent encadrer la spontanéité pour la faire disparaitre.
C'est quelque chose de pas nouveau, moi ça ne m'étonne pas. La question est quel moyen on se donne pour se débarrasser de ces gêneurs.
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Tu sais, j'ai toujours milité, j'ai bloqué des lycées, et pourtant, j'ai eu mon bac avec mention assez bien et j'suis en Fac.
L'un n'empêche pas l'autre .. on a déjà expliqué 1000 fois comment rattraper les cours lors d'un blocage ou d'une manif', c'est vraiment pas sorcier.
La fac même sans le bac tu peux y rentrer, c'est pas une référence, tu sais qu'il y en a qui aspirent à autre chose (école prépas, GE, Ecole d'ingé à prépa integrée... ) pour lesquelles on rentre sur dossier scolaire, donc il faut un minimum d'assiduité des cours, de sérieux dans les études, et qui se retrouvent forcé à ne pas aller en cours puisque 40 mecs de secondes en ont rien à foutre et se prenne pour des révolutionnaires ?
Quant aux méthodes pour rattraper les cours, on t'apprendra que tout le monde n'a pas les même façons d'apprendre, et pour certain, la prise de note et la mémoire auditive sont les principaux facteurs d'apprentissage, et que c'est pas en lisant un polycopié de cours qu'ils comprennent les trucs ? Eux aussi devraient payer pour des kikou lol qui ne réfléchissent pas plus loin que leur statut facebook ?
Si tu as le droit de donner ton avis, mais fait en sorte qu'il soit mieux lisible et qu'il y a une proposition concrète derrière. Si déjà on critique, on propose des solutions.
Mais je te les ai donné mes solutions mais tu ne veux pas les prendre en compte : réforme des retraites, moins d'assistanat, et les kikou lols de secondes, virés des bahuts. L'assiduité en cours est un devoir quand on est inscrit dans un lycée, le droit de blocage pour faire parler de soit n'en est pas un.
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150 élèves de Pierre-Gilles-de-Gennes ont organisé hier un blocus du lycée
Une partie des élèves du lycée, a organisé hier matin un blocus de l'établissement en signe de protestation contre la réforme des retraites. Tout est rentré dans l'ordre en fin de matinée.
C'est via les téléphones mobiles et autres réseaux sociaux d'internet que l'appel à la mobilisation lancé pour la journée d'hier a circulé d'un lycée à l'autre. Et au lycée Pierre-Gilles-de-Gennes, la mobilisation des élèves — la seule organisée sur la ville -, contre la réforme des retraites s'est mesurée dès l'ouverture des portes de l'établissement en début de matinée. "Nous ne voulons pas de cette réforme, clament un groupe d'élèves sans véritable conviction dans le discours et le regard mais avec toutefois la ferme intention de bloquer l'entrée de l'établissement devant laquelle ont été gentiment renversés des conteneurs à déchets vides. Un peu plus loin, tandis qu'un autre groupe rencontre Pascale Garrec, la proviseure, le discours est un peu plus argumenté.
"Nous ne voulons pas travailler toute une vie et finir notre carrière professionnelle en étant déjà grabataires!", lance cet élève prêt avec d'autres à tenir le blocus du lycée toute la journée. De son côté, Camille, une porte-parole "officielle" des lycéens mécontents, assure que "la mobilisation ne faiblira pas". Et que mardi,"tous les lycéens, malgré les heures de colle promises aux absents, seront dans la rue car nous sommes tous concernés par cette réforme des retraites." Par ailleurs, Camille en dit un peu plus sur les raisons de cette mobilisation, la plus marquante parmi les lycéens, depuis le début du mouvement de contestation dans le département."Les jeunes galèrent déjà beaucoup pour trouver un travail après leurs études, alors si l'on fait partir les gens plus tard à la retraite, il y aura encore bien plus de difficultés pour trouver un emploi." Sans confirmer les heures de retenues aux éventuels absents, la proviseure, un rien agacée par cette manifestation surprise, a toutefois indiqué qu'il y avait, comme dans tout établissement scolaire, "des règles d'assiduité à respecter". En revanche, Mme Garrec a proposé aux élèves de préciser leurs revendications sur cette réforme dans une lettre qu'elle s'engageait à remettre aux autorités compétentes. En fin de matinée, après avoir remis tout en ordre près de l'entrée de l'établissement, les 150 lycéens mobilisés depuis le matin ont sagement repris le chemin des cours.
Poursuite du blocus au lycée Arcisse-de-Caumont à Bayeux
Entamé jeudi, le blocus se poursuit au lycée Arcisse-de-Caumont. Depuis ce matin, l’établissement est pratiquement vide. Les lycéens ont décidé de durcir le mouvement lancé pour défendre l’âge des retraites. Ainsi, des pneus de tracteurs et différents débris ont été empilés devant les accès du lycée. « Le mouvement doit se poursuivre lundi, assure Valentin, un lycéen. Lundi, nous rejoindrons les enseignants pour manifester à leurs côtés. »
La grogne s'amplifie dans les lycées du Grand Angoulême
Les élèves du lycée de Puyguillen à Ruelle avaient initié le mouvement hier. Pour manifester contre le projet de réforme des retraites, ils avaient bloqué leur établissement, fait un sit-in dans Ruelle, marché dans les rues d'Angoulême et embarqué avec euxles lycées de Marguerite-de-Valois.
Ce matin, dès 8 heures, leurs homologues du lycée professionnel Albert-Grégoire de Soyaux sont entrés dans le mouvement. 150 élèves ont bloqué leur école avec des parpaings, des pneus, des branches avant de filter la circulation sur le rond-point des Effamiers au croisement de la route de Périgueux et de la D1000.
Direction ensuite le centre-ville où devaient les rejoindre place du Champ-de-Mars les lycéens de Puyguillen, toujours mobilisés, ceux de Marguerite-de-Valois et de Jean-Rostand, ainsi que les élèves du Lycée de l'image et du son de Ma Campagne.
La pression monte d'un cran pour le gouvernement. Après l'appel à la grève illimitée lancé pour le 12 octobre par les syndicats, les lycéens font aussi de la résistance contre la réforme des retraites.
Cinq jours avant de reprendre le chemin des cortèges au côté des salariés et des retraités, certains ont commencé à s'échauffer dans quelques régions, pour être prêts avant le jour-J. Dans les Midi-Pyrénées, en Basse-Normandie ou encore en Dordogne, ils étaient jeudi matin plusieurs milliers à dire «non à la réforme d'Eric Woerth sur l'âge légal de départ à la retraite.
A Rodez (Aveyron), quelque 1 500 lycéens, selon la police, ont parcouru le centre-ville dans la bonne humeur. Si aucune banderole n'était visible, ils ont annoncé qu'ils participeraient bien aux manifestations le 12 octobre.
A Toulouse (Haute-Garonne), ils étaient 250 du lycée d'enseignement professionnel Galliéni à bloquer l'avenue menant à leur établissement, à l'aide de palettes et de poubelles. Un barrage filtrait même l'entrée du lycée, sous l'oeil de policiers et de CRS. On pouvait lire sur les banderoles accrochées aux grilles de l'établissement : «La retraite à 67 ans. Pourquoi pas à 69 tant qu'à se faire baiser».
Dans le Gers, un millier de lycéens selon les organisateurs, 600 selon la police, ont défilé en centre-ville d'Auch, après avoir allumé un feu de palettes devant le lycée du Garros. Ils se sont ensuite rassemblés devant la préfecture avant d'entrer de force dans le lycée privé de l'Oratoire pour tenter de convaincre leurs camarades de se joindre à eux. 150 à 200 jeunes ont également placé des barrages filtrants à Nogaro et Samatan, à proximité de leurs établissements scolaires, selon la police.
«On n'est pas contents»
A Caen (Calvados), des centaines de lycéens manifestaient au pas de course d'un établissement à l'autre, sans banderoles, sans slogans lançant de temps à autre : «On n'est pas content». Les échanges de SMS entre lycéens, d'un établissement à l'autre, étaient visiblement nombreux. Pourquoi ce défilé ? demande un journaliste à une lycéenne. «Ben, pour les retraites !», répond-t-elle, en queue de cortège.
Un autre à côté d'elle ajoute : «On n'a pas envie de travailler jusqu'à je sais pas quel âge et de se tuer au travail,On n'a pas de banderole, on improvise, on a entendu qu'un lycée était bloqué ce matin, on a rejoint le mouvement», raconte Alexandre, en classe de seconde. Et puis «mardi, on manifestera avec tous les travailleurs», enchaîne un autre.
A Cherbourg (Manche), des dégradations ont été constatées au lycée Millet, où des extincteurs ont été vidés et une porte abîmée.
A Lisieux (Eure), 300 à 400 lycéens ont organisé des barrages filtrants à la sortie d'un établissement.
Feu de poubelle près d'Angoulême
A Périgueux (Dordogne), quelque 500 lycéens de plusieurs établissements se sont rassemblés devant le palais de justice avant de prendre la direction d'un parc près de la préfecture pour y pique-niquer. Les lycéens ont indiqué ne pas répondre particulièrement à l'appel de l'Union nationale lycéenne (UNL) mais qu'ils s'étaient réunis via des réseaux sociaux comme Facebook pour exprimer leurs «inquiétudes personnelles».
A Ribérac (Dordogne), devant le lycée Arnaut Daniel, une centaine de jeunes ont refusé d'entrer dans l'établissement mais sans en bloquer pour autant son accès.
A Ruelle (Charente), près d'Angoulême, une petite centaine de lycéens (70 à 80 selon la police) s'est rassemblée devant le lycée professionnel Jean Caillaud, et ont empêché l'accès à l'établissement. Selon le commissariat de police d'Angoulême, ils ont renversé un conteneur poubelle pour bloquer la circulation et mis le feu à un autre, avant de lancer des projectiles sur les forces de l'ordre. Des représentants des lycéens ont admis avoir déclenché un feu et vidé une poubelle, mais nié les jets de projectiles. Ils se sont dispersé en début d'après-midi dans le centre d'Angoulême.
En Seine-et-Marne, environ 300 lycéens se sont rassemblés spontanément dans le centre-ville de Fontainebleau en début d'après-midi. Ils étaient encore 150 au moment de la dispersion, vers 16 heures, place Napoléon. A Nemours, une quarantaine d'élèves du lycée Bezout ont organisé un sit-in devant l'établissement et ont été délogé par la police alors qu'ils tentaient un blocage de l'établissement.
A Paris, une petite centaine de lycéens et étudiants ont manifesté devant le centre Georges-Pompidou. Rassemblés sur le parvis à l'appel du collectif «La retraite, une affaire de jeunes», qui regroupe 19 organisations, ils ont dénoncé une société où ils seraient «chômeurs à 25 ans, précaires à 67». «Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère, on en veut pas de cette société-là !», ont-ils scandé. Deux banderoles ont été déployées sur la façade du centre Pompidou, proclamant : «Les jeunes pour la retraite à 60 ans».
Le 1er octobre, l'UNL, première organisation lycéenne, avait indiqué lors de sa conférence de presse de rentrée que la mobilisation des lycéens contre la réforme des retraites serait ascendante et ne ferait que grossir dans les semaines à venir. Selon le ministère de l'Education, 116 lycées, soit moins de 3%, ont été perturbés jeudi, parmi lesquels 6 ont connu un blocage.
Manifs de lycéens dans l'Aisne : ça dégénère encore
SAINT-QUENTIN (Aisne). Ce matin encore la manifestation des lycéens a dégénéré. Ils étaient plus d'un millier au plus fort du défilé. Cagoules et projectiles ont fleuri dans le cortège. Une jeune fille a été interpellée.
À suivre en direct et en VIDÉO
À Laon, une tentative vite avortée
Pour l’heure, à Laon, les lycéens restent dans les établissements. Hier du côté de Méchain, la rumeur parlait d’un possible mouvement. Effectivement, au moment de rentrer en cours, il y avait bien un attroupement d’une vingtaine de jeunes. Les uns et les autres semblaient vouloir se motiver, mais finalement, il y a vite eu dislocation. En fait, si les SMS fonctionnent, à Laon, on reste encore réservé.
À Hirson, la patience des automobilistes mise à rude épreuve
Entre 300 et 350 lycéens ont manifesté ce jeudi matin dans les rues d’Hirson. Une manifestation apparemment préparée par quelques-uns, mais qui a surtout bénéficié d’un fort courant de sympathie dans l’ensemble du lycée Joliot-Curie. Dès l’arrivée des premiers élèves ce jeudi matin dans ce lycée, la situation de grève a été décrétée par beaucoup. Quelques minutes plus tard, une manifestation largement spontanée partait.
La manifestation est arrivée vers 9 h 30 dans le centre-ville. Un premier sit-in au carrefour de la rue de Vervins, un second devant la mairie. Cependant, les quelques «meneurs» ont eu beaucoup de mal à canaliser les énergies revendicatives. Au carrefour de la place Mermoz, autre halte, puis décision est prise de rejoindre la gare. Trois minutes après, changement de direction, vers le centre commercial Auchan ! Inquiètes de cette absence d’organisation et de ce «bateau ivre», les autorités de gendarmerie ont alors appelé des renforts.
L’étape suivante fut donc Auchan. Quelques dizaines de manifestants ont alors pénétré dans le magasin, et certains en sont ressortis avec des packs de bière ... Situation étrange, certains lycéens ont réparti les bouteilles dans les sacs devant les gendarmes regroupés dans le sas d’entrée du magasin !
Les militaires ont, ensuite, pris les noms des mineurs surpris en train de consommer de l’alcool sur la voie publique. Il n’y a, toutefois, pas eu de véritables interpellations. Moment de tension ensuite sur le giratoire voisin, une conductrice n’a pas supporté d’être bloquée dans son véhicule. Les gendarmes sont intervenus.
Les élèves ont alors repris le chemin du lycée. En repassant devant la mairie, quelques-uns ont été reçus par le maire socialiste, Jean-Jacques Thomas. L’après-midi, une nouvelle manifestation a eu lieu, mais rassemblant nettement moins de monde (100 à 150). Le cortège a emprunté la rue du Maréchal-Joffre, jusqu’au rond-point La Capelle/Anor. A noter toutefois qu’un élève a été percuté par un automobiliste, semble-t-il énervé par la durée d’un sit-in. Légèrement blessé, l’élève en question a été transporté pour observation à l’hôpital par les gendarmes.
M.M.
Des lycéens se sont retrouvés hier matin devant leur lycée à Saint-Etienne, dans l'Ondaine et le Forez répondant à un mouvement initié par les jeunes communistes. Vers 10 h 30, les manifestants ont convergé vers la place Jean-Moulin à Saint-Etienne avant de défiler en cortège jusqu'à la préfecture, tout en faisant signer une pétition et en bloquant le tramway jusqu'à 11 h 45 environ.
500 à 600 personnes étaient présentes selon la police, de 800 à 1 000 selon les organisateurs. Une délégation a été reçue en préfecture après dislocation. Pour Hélène Vialleton, porte-parole des jeunes communistes, scolarisée dans un lycée stéphanois, le mot d'ordre prioritaire lancé par un collectif national était lié à la « réforme des lycées » même si le débat en cours sur les retraites était bien présent dans les tracts et des slogans. Pour elle, la réforme Chatel doit être « combattue et la bataille n'est pas perdue ». Elle évoque notamment deux points. Selon elle, « l'accompagnement personnalisé » prévu dans la réforme ne le serait pas vraiment : « Ce sont des groupes de 19 élèves avec ce moins en moins de professeurs pour les prendre en charge ». Et puis : « des groupes de niveaux ont été créés en langue, laissant de côté les élèves en difficulté ».
A Firminy, environ trois cents personnes se sont rassemblées dès 7 h 30 devant les deux lycées appelous mais la manifestation n'est pas restée bon enfant bien longtemps. Les entrées des lycées ont été bloquées à l'aide de palettes, poubelles. A Jacob-Holtzer les pompiers ont dû intervenir car le feu avait été mis à des poubelles dont certaines contenant des déchets hospitaliers. A Albert-Camus, des jets de projectiles (cailloux, canettes) ont été constatés. Un membre du personnel du lycée a été touché au bras. Une élève cognée à la tête après avoir été poussée lors du blocage a terminé à l'infirmerie. Le proviseur du lycée Albert-Camus notait : « C'est la première fois que je vois autant d'agressivité ici. Une bonne partie des jeunes n'était pas de l'établissement ». Pour jet de pierres sur les forces de police un lycéen a été interpellé et placé en garde à vue.
A Feurs, c'était l'ambiance pique-nique au lycée public. Après un « blocus » jusqu'à neuf heures, le temps de faire passer des messages contre les réformes. Les grévistes sont restés en nombre devant le lycée jusqu'à midi.
Retraites Près de 250 élèves ont défilé hier contre le projet de loi
Les lycéens de l'agglomération se greffent à la protestation contre la réforme des retraites. Environ 250 d'entre eux ont manifesté hier dans le centre-ville. Avec des pancartes « 67 ans, c'est ça ouais ! » ou encore « Sarko, t'es foutu, la jeunesse est dans la rue », ils ont défilé des Arènes à la place du Capitole. La plupart des lycéens mobilisés étaient du lycée professionnel Gallieni, d'où est parti le mouvement. Près de 150 élèves ont d'ailleurs bloqué partiellement hier matin la circulation de la route d'Espagne. « Cette manifestation est un échauffement avant celle de mardi, explique Flavien Guillon, élève de terminale en bac professionnel logistique à Gallieni. Nous sommes solidaires avec les salariés car cette réforme concerne notre avenir ».
D'autres tentatives dans les lycées
Mardi matin, quelques élèves cagoulés avaient déjà tenté de lancer la mobilisation, en vain, au lycée Raymond-Naves. Hier, les manifestants ont tenté de rallier à leur cause les élèves du lycée Saint-Sernin mais la direction de l'établissement avait fermé les grilles pour éviter les débordements. Selon le rectorat, quelques élèves des lycées Jolimont et Toulouse-Lautrec ont également essayé d'allumer la contestation mais sans succès.
Des échecs qui n'ont pas découragé les manifestants présents au Capitole. « On est déjà contents d'avoir mobilisé autant de monde aujourd'hui, confie Yuri, un autre élève de terminale au lycée Jean-Pierre Vernant de Pins-Justaret. L'important, c'est que les lycéens descendent dans la rue mardi prochain, aux côtés des salariés. La jeunesse a un rôle à jouer pour faire reculer le gouvernement »
Pamiers. Les lycéens du Castella contre la réforme des retraites
pamiers
Pamiers. Les lycéens du Castella contre la réforme des retraites
Rentrée des classes perturbée jeudi matin au lycée du Castella à Pamiers. Un comité d'élèves a été largement suivi par les lycéens afin de protester contre la réforme des retraites. Entre 250 et 300 jeunes ont pris part à un sit-in devant l'entrée de l'établissement, prenant soin toutefois de ne pas bloquer l'accès des cours à leurs camarades qui s'étaient dissociés du mouvement. Affiches, panneaux, et solide motivation, voilà le cocktail de ce « soulèvement » pacifique, pour une raison qui touche les jeunes directement : l'âge auquel ils pourront aspirer à quitter le travail une fois leur vie professionnelle accomplie. « Qu'on ne se trompe pas, nous avons envie de travailler, mais aussi longtemps que le veut la réforme. Soixante-deux ans, soixante-cinq, pas question. Et la réforme c'est aussi des emplois qui ne seront pas disponibles pour nous lorsque nous accéderons au marché du travail » résume Sabrina, qui avec quelques autres animait hier matin ce mouvement sur les marches du lycée et observait par ailleurs « que de longues études vont devenir u n malus car cela nous enlèvera des années de cotisation ! »
Retraites : le blocus de deux lycées se poursuit
Le blocus se poursuit actuellement dans deux des trois lycées de Carpentras. A "Louis-Giraud", le proviseur a compté encore "une cinquantaine de lycéens" bloquant les issues de l'établissement agricole. Selon lui, les élèves ne devraient pas renouveler leur mouvement demain ni lundi. Les élèves ont pu manger à la demi-pension, même s'il leur a fallu engager des tractations avec leur direction. L'établissement a téléphoné aux parents d'élèves mineurs pour les informer de l'absence de leur enfant.
Au lycée Victor-Hugo, le noyau dur du mouvement est encore en place. Soit une vingtaine de lycéens, dont de nombreux internes. D'autres élèves sont restés aux abords de l'établissement mais la plupart ont profité de la pause déjeuner pour rentrer ou faire un tour en ville... L'une des entrées a été libérée mais la plupart des cours, hormis ceux des terminales et des BTS dont les élèves avaient été autorisés à entrer, n'ont pu être assurés, faute de lycéens.
Le collectif organisateur entend se poster à nouveau devant les grilles du "bahut" demain, pour continuer le blocus. S'ils veulent le maintenir jusqu'à mardi, ils craignent néanmoins que le mouvement s'essouffle d'ici à la manifestation prévue à Avignon. L'administration, de son côté, a envoyé des SMS aux parents des élèves pour les informer de l'absence de leur enfant. Cet après-midi, le standard téléphonique de l'établissement est saturé...
Enfin au lycée Fabre, on a affiché un calme plat. Sauf cinq élèves - extérieurs à l'établissement selon l'administration - qui ont manifesté devant le lycée avec des pancartes pour appeler "Fabre" à rejoindre le mouvement. Sans succès pour l'instant.
Au lycée Pré-de-Cordy, à peine la contestation a-t-elle le temps de s'éveiller que le décorum est déjà en place. Aucun mouvement social ne semble possible sans barricades dignes des plus grandes rébellions estudiantines.
Hier à l'aube, un impressionnant monticule de palettes industrielles en bois a été dressé pour obstruer l'entrée principale de l'établissement. Du pneu déchiqueté à la vieille machine à laver déglinguée : aucun accessoire n'était laissé au hasard pour matérialiser ce nouveau vent de colère que les élèves disent à peine naissant.
Ivresse de la subversion ou véritable motivation ? Dans leur bouche, du moins, la grogne est réelle. Et le motif de leur courroux, bien identifié. Le projet de réforme des retraites a été, selon eux, bâclé. « Il a été pondu en quatre mois alors que la Suède a mis une dizaine d'années à élaborer le sien », note Louis, l'un des leaders du mouvement, invité hier soir à la réunion de l'intersyndicale sarladaise.
« Notre avenir »
Selon le proviseur, Marcel Ulrich, près de 250 élèves ne se sont pas rendus en cours hier matin. « Certains diront sûrement que cette réforme ne nous concerne pas directement, que tout cela est trop lointain, mais c'est bien notre avenir qui se joue et personne ne se préoccupe de notre avis », rage l'un des protestataires, parmi le noyau dur des convaincus qui se sont évaporés après l'euphorie du blocus (environ une soixantaine).
Leur crainte ? Voir le taux de chômage des jeunes, déjà touchés par la crise, grimper. Leur revendication ? « La prise en compte de la durée des études supérieures dans le calcul de la cotisation » et de façon générale, une réforme plus juste. « En moyenne, nous aurons notre premier revenu stable vers 27 ans : ce qui voudrait dire que l'on partirait à la retraite à plus de 68 ans … » Inconcevable pour Guillaume, 16 ans, féru d'économie.
De l'autre côté des barricades, dans la salle des professeurs, des enseignants étaient plutôt agréablement surpris de voir des jeunes qui « s'informent, s'interrogent et réagissent », tout en se demandant s'il n'aurait pas été préférable de débuter ce mouvement lycéen mardi 12 octobre. Comme le feront vraisemblablement les étudiants du supérieur qui devraient voter ce jour-là la grève des universités.
Après avoir bloqué partiellement le lycée hier, les élèves de Pré-de-Cordy devraient se rassembler ce matin, à la descente des bus.
Utilité de la grève ?
Si l'émulation est au rendez-vous, ils manifesteront dans la foulée en centre-ville, à l'instar de leurs homologues de Périgueux et Bergerac, hier. Mardi, ils rallieront le mouvement national de contestation et le cortège qui partira de la place de la Grande-Rigaudie.
Le blocus devrait rester en place. « Si les barricades sont démontées, nous les remonterons. On a toujours de la force pour le combat », confie un lycéen de la filière économie. « On est tous motivés, on se sent tous concernés par cette réforme et dans ce cortège, on ne veut pas de personnes qui ne sachent pas pourquoi elles sont là. »
Un prof de maths, « résigné » et franchement perplexe quant à l'utilité d'une grève aujourd'hui, croit en la fougue de ces jeunes contestataires. « Les élèves n'ont pas la même retenue que les professeurs qui manifestent gentiment dans la rue. Peut-être que leurs voix seront plus entendues. »
La contestation de la réforme gouvernementale a fait descendre quelque 1 300 élèves dans la rue.
Par SMS, Facebook, MSN, c’est une efficace cyber-mobilisation lancée depuis le début de la semaine qui a débouché hier, à Guebwiller et Molsheim, sur deux « grosses » manifestations de lycéens contre la réforme des retraites.
Dans le Bas-Rhin, le message se terminait sur cette formule fleurie : « Si tu ne veux pas passer ta retraite au cimetière, mobilise ! » Reçu cinq sur cinq par les élèves des lycées Louis-Marchal, Henri-Meck et Camille-Schneider de Molsheim : la gendarmerie elle-même chiffrait leur rassemblement à 600 jeunes.
« Plus une révolte qu’une grève »
À Guebwiller, ce sont les élèves du lycée Deck, rejoints par quelques camarades du lycée hôtelier Storck, qui sont allés battre le rappel de ceux du Kastler. Le cortège a fini devant l’hôtel de ville, où, avant la dispersion, à l’heure du déjeuner, on dénombrait entre 300 et 400 manifestants. Face à eux, les policiers de Guebwiller avaient reçu le renfort de collègues mulhousiens.
Au gré d’un itinéraire un peu sinueux et de revendications assez vagues — « C’est pour la retraite et en solidarité avec les problèmes du Kastler » (qui a déjà connu un mouvement de grève jeudi dernier, en raison de problèmes d’emploi du temps) — les esprits se sont d’ailleurs un peu échauffés : un portail du lycée Kastler en a fait les frais, tandis que la vitre d’un véhicule était brisée aux abords du lycée Storck.
« J’ai voulu échanger avec eux mais ils ne sont pas organisés, il n’y a pas vraiment de leader ni de mot d’ordre », s’étonnait Martine Del Conte, proviseur du lycée Deck, qui craint que le mouvement n’enfle mardi prochain.
À Molsheim, les manifestants se sont « contentés » de fermer symboliquement les établissements, en soudant les serrures de leurs portes ! Dans la foule, Quentin, 16 ans, expliquait : « C’est plus une révolte qu’une grève. » Iltraduisait sans doute, par là, le côté spontané du mouvement, sans banderole ni pancarte, ni slogan. Des mini-manifs se sont également déroulées à Sarre-Union (une centaine de participants) et à Mulhouse, où, parmi les quelque 150 lycéens en rupture de cours, on remarquait quelques militants de la CGT et d’autres, des mouvements de jeunes du PS et du PC.
Dernière modification par Captain_Maid (08-10-2010 12:34:47)
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Aujourd'hui y'a blocus de mon lycée! Ça a commencer dès 7h ce matin, ca va durer jusque ce soir.
Certains on apporter des palettes, c'est pas mal
Mais y'a un CFA a coté, les profs sont passer par la car les élèves du CFA ou tout dégager
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Tros' a écrit:
A Ribérac (Dordogne), devant le lycée Arnaut Daniel, une centaine de jeunes ont refusé d'entrer dans l'établissement mais sans en bloquer pour autant son accès.
On parle de mon lycée!!!
Comme quoi, ça n'aura pas servi à rien!!
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Finalement, ça a une utilité ses blocus en faite, faire parler de villes dont on ne parle jamais en temps normal
aure--26 a écrit:
Aujourd'hui y'a blocus de mon lycée! Ça a commencer dès 7h ce matin, ca va durer jusque ce soir.
Certains on apporter des palettes, c'est pas mal
Mais y'a un CFA a coté, les profs sont passer par la car les élèves du CFA ou tout dégager
Normal, c'est pas des secondes kikou lol qui vont empêcher les apprentis de suivre leur formation pour apprendre quelque chose.
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Mais à part 2nde kikou lol, tu sais dire quelque chose??
Et oui, on ne parle jamais de chez nous, et c'est pour qu'on parle de nous qu'on fait ça, pour se faire entendre.
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Ouais j'ai pensé à toi en lisant la dordogne.
Sympa les gars, soyez aussi motivé pour le 12.
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C'était pas terrible aujourd'hui, mais t'inquiète que mardi j'irais au lycée pour voir si y'a de quoi faire bouger le truc!
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Aujourd'hui, à Saint-Quentin ( ma ville ), 3 policier en civil ont été tabassés.
L'un d'entre est à l'hosto dans un état critique . . .
Dernière modification par jom02 (08-10-2010 20:17:04)
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On compte sur vous camarades.
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Ayant lu les derniers messages, je me permets de rectifier certains.Les lycéens n'ont pas droit faire grève, peuvent manifester après les cours si ils le souhaitent.Tu n'as pas droit d'être en grève, n'ayant pas de salaire.
Habitant à Caen, comme dab on est les premiers à faire grève.N'étant plus au lycée, mais connaissant certains.Le lycée où j'étais a vu venir ce matin une trentaine de personnes pour bloquer, mal organisé, venant pour bloquer, sans grandes idées.
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Toute façon, je pars du principe que seul 5% y vont pour leurs idées, le reste, c'est pour ne pas aller en cours.
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Mais t'as le droit de faire blocus
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Oui, il n'y a pas de droit de grève, il y a un droit de manifestation, inscrit dans le code du lycéen il me semble. Tout comme tu as le droit de marquer comme motif d'absence " manifestation " sans que l'administration vienne te casser les couilles.
3 policier en civil ont été tabassés.
M'étonne pas. On sait très bien que les choses se durcissent quand les jeunes commencent à bouger.
Puis bon, c'est une vengeance de ce qui s'est passé à Bruxelles dernièrement.
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J'ai quand même l'impression que le mouvement s'essoufle ailleurs que dans les lycées...
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rebellebob a écrit:
J'ai quand même l'impression que le mouvement s'essoufle ailleurs que dans les lycées...
Moi justement je trouve un peu l'inverse beaucoup se mette en grève et prevois des grèves reconductible ..
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rebellebob a écrit:
C'était pas terrible aujourd'hui, mais t'inquiète que mardi j'irais au lycée pour voir si y'a de quoi faire bouger le truc!
et aller au lycée pour aller en cours, ça ne te dis rien ?
rebellebob a écrit:
Mais t'as le droit de faire blocus
Faux, tu n'as pas le droit de bloquer l'accès à un établissement scolaire.
Captain_Maid a écrit:
Oui, il n'y a pas de droit de grève, il y a un droit de manifestation, inscrit dans le code du lycéen il me semble. Tout comme tu as le droit de marquer comme motif d'absence " manifestation " sans que l'administration vienne te casser les couilles.
3 policier en civil ont été tabassés.
M'étonne pas. On sait très bien que les choses se durcissent quand les jeunes commencent à bouger.
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Sauf qu'une manifestation doit être programmé en informant les préfectures et mairies, donc les rassemblement de 300 lycéens qui se sortent car il fait beau, c'est pas une manif officielle, donc pas un motif.
Concernant les policiers hospitalisés, c'est sur que de tomber à plusieurs dessus pour tabasser, c'est vraiment révolutionnaire comme comportement. Et puis, conernant le terme "les jeunes commencent à bouger", je ne sais pas si un rassemblement de mec de 15-18 ans, tu peux appeler ça un mouvement jeune. En 2006, ça avait commencé dans les universités puis après dans les lycées. Depuis ça se passe à l'envers, les lycéens, à peine sorti du collège veulent faire comme ils ont vu à la télé, et pourquoi ? bah parce que c'est cool de faire chier.
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http://info.francetelevisions.fr/video- … 0190152_F3
Video de la manif' de saint-quentin qui est passer sur france3.
C'est du grand n'imp'
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Captain_Maid a écrit:
Oui, il n'y a pas de droit de grève, il y a un droit de manifestation, inscrit dans le code du lycéen il me semble. Tout comme tu as le droit de marquer comme motif d'absence " manifestation " sans que l'administration vienne te casser les couilles.
3 policier en civil ont été tabassés.
M'étonne pas. On sait très bien que les choses se durcissent quand les jeunes commencent à bouger.
Puis bon, c'est une vengeance de ce qui s'est passé à Bruxelles dernièrement.
Sérieusement, ta dernière phrase me fait vraiment pitié, j'ai presque honte pour toi, et ça m'arrive pas souvent mon Captain
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verse un larme pour les 3policiers hospitalisé , eux qui ont envoyé + de 50 gars a l hosto a coup de matraque
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C'est vrai, tous les flics sont de sales connards qui viennent dans la police juste pour le plaisir de pouvoir déverser une violence de manière légal sur de jeunes lycées, lesquels lycéens sont tous des secondes qui profitent de leurs journées de cours pour ne pas aller bosser et profiter du beau temps.
Bien les généralisations ? Je trouve juste honteux que quand trois gars qui, jusqu'à preuve du contraire, n'avaient rien fait (surtout s'ils étaient en civil), se fassent tabasser, et la première réaction de Maiden, c'est "Bien fait pour leur gueule".
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jom02 a écrit:
http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?id-video=monalisa_AMIE_1284748_081020100915_F3_742_08102010190152_F3
Video de la manif' de saint-quentin qui est passer sur france3.
C'est du grand n'imp'
J'adore le mec à 1'30 " ils veulent nous faire travailler jusque jusque ... longtemps quoi, et nous on veut pas et nous on fait grève jusqu'à temps qu'ils bougeront"
T'inquiète pas, vu ta tronche et ton comportement, t'es pas prêt de bosser (lycéen vraiment ce mec ? j'en doute vu qu'il a plus l'air d'avoir 21/22 ans que 18 ...)
Sinon, la fille à 1'15, petit défi, faire une phrase sans sortir un "voila quoi " ou un "tout ça"
anarco a écrit:
verse un larme pour les 3policiers hospitalisé , eux qui ont envoyé + de 50 gars a l hosto a coup de matraque
Des policiers en civils n'ont pas d'arme ni de matraque, juste un talkie et des menottes ...
Dernière modification par SirAlex14 (08-10-2010 20:55:05)
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SirAlex14 a écrit:
jom02 a écrit:
http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?id-video=monalisa_AMIE_1284748_081020100915_F3_742_08102010190152_F3
Video de la manif' de saint-quentin qui est passer sur france3.
C'est du grand n'imp'J'adore le mec à 1'30 " ils veulent nous faire travailler jusque jusque ... longtemps quoi, et nous on veut pas et nous on fait grève jusqu'à temps qu'ils bougeront"
T'inquiète pas, vu ta tronche et ton comportement, t'es pas prêt de bosser (lycéen vraiment ce mec ? j'en doute vu qu'il a plus l'air d'avoir 21/22 ans que 18 ...)
Sinon, la fille à 1'15, petit défi, faire une phrase sans sortir un "voila quoi " ou un "tout ça"anarco a écrit:
verse un larme pour les 3policiers hospitalisé , eux qui ont envoyé + de 50 gars a l hosto a coup de matraque
Des policiers en civils n'ont pas d'arme ni de matraque, juste un talkie et des menottes ...
Non mais c'est clair, au lieu d'aller en maths, ils ont preférés aller à la manif et c'est tout. ^^
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