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mantony a écrit:
Arrete je vais tombé dans les poirs ... euh pommes pardon
en voyant tous c'est p'tit mots qui s'balade
T'as pas l'air d'avoir grand chose qui se balade dans la tête en tout cas.
Bon je vais répondre à Bauvi. À demain.
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Voulez-vous me connaitre davantage ?
Je m'appelle Liac. Je voyage dans l'univers, je conte mes histoires au fur et à mesure de mes différents endroits visités. C'est tout d'abord sur la planète Terre que mon attention s'est portée. On m'avait rapporter différents échos de cette planète, comme quoi elle serait le déchet de l'univers, là où toutes les personnes ratées sont jetées. Je voulais démentir ce stéréotype anti-Terrien et prouver à tous les autres habitants que cette planète valait autant que n'importe quelle autre. J'ai tout de même voulu me renseigner avant de m'aventurer sur cette contrée sauvage. J'ai appris que tous les Terriens ne parlaient pas le même langage. Cela m'a tout d'abord paru étrange, car toutes les autres planètes que je connais sont pour l'instant uni-linguistes, cela facilite fortement nos moyens de communication. Pourquoi donc ne parlerions-nous pas d'une seule et même langue ? C'est d'autant plus étrange que ces individus habitent sur un seul et même sol, comment délimitent-ils les territoires ? Comment savent-ils que l'on parle telle ou telle langue à tel ou tel endroit ? Voilà des problèmes à élucider, mais je dois tout d'abord en apprendre plus. Me voilà au chapitre intitulé « religions ». Qu'est-ce donc que ce chapitre ? J'apprends que différentes religions sont présentes sur Terre, et que la plupart d'entre elles se font la guerre. Guerre ? Encore un nouveau mot qu'il va me falloir apprendre. Pour l'instant, je me concentre sur l'idée de ladite religion. J'ouvre donc mon dictionnaire Terrien, cherchant le mot religion : « Une religion est un ensemble de plusieurs croyances et pratiques culturelles qui fondent les rapports entre l'homme et le sacré. » Ce que je ne comprends pas, c'est le sacré. Qu'est-ce que le sacré ? Le sacré se rapporte à tout ce qui est divin, et qui est divin est intouchable. En voilà de drôles de mots, le divin se rapporte à un, ou des dieux. Certains pensent qu'un seul être tout puissant et unique, un dieu est fondateur de leur planète, d'autres pensent que plusieurs de ces êtres ont contribué à faire du monde ce qu'il est aujourd'hui. Déjà qu'aucune de ces pensées n'est correcte, je ne comprends pas l'idée que l'on puisse se chamailler pour défendre un ou des êtres fictifs, d'autant plus que certains défendent le même être irréel. Pourquoi ne pas seulement croire en l'individu, au réel ? Il y a bien cette chose d'étrange, mais cela ne fait pas d'eux des aliénés. Je reste sur ma position, je crois sincèrement que la Terre n'est pas une benne sur laquelle on y dépose tous les êtres fous. Je poursuis ma quête de connaissance et j'apprends un nouveau mot, ce mot mystérieux qui me posait problème tout à l'heure. Le mot « guerre ». Qu'est-ce que la guerre ? D'après mon encyclopédie, un guerre est une lutte armée entre plusieurs pays, territoires. Armes ? Pays ? Je me documente sans plus tarder sur ces mots, et je comprends mieux la notion de guerre. Mais tout cela semble être totalement inutile. Pourquoi des mêmes individus se feraient la guerre ? Pour le pouvoir et l'argent, m'explique ma fidèle encyclopédie. Voilà encore un mot nouveau qu'est « argent », l'argent se présente sous forme de pièces jaunes brillantes, parfois par des pièces rondes sans valeur réelle ou même par bouts de papier indiquant une valeur quelconque. L'argent peut servir à acheter, à fabriquer et bien d'autres choses. Mais pourquoi acheter quand on peut troquer ? Pourquoi fabriquer en usant des bouts de papier sans valeur alors que chacun peut contribuer au progrès de la société, en fournissant un moindre effort. Apparemment, on peut gagner de l'argent en travaillant. Le travail est une activité rémunérée par ce même argent, qui consiste à passer cinq jour par semaine, parfois plus, parfois moins, dans un endroit souvent détestable pour y exercer des actions la plupart du temps répétitives, très ennuyeuses et/ou très usantes. Comment fait-on pour s'amuser sur cette planète ? Profiter du temps libre ? Les Terriens ont-ils du temps libre ? Une semaine étant séparée en sept jours, les Terriens ont deux jours de libre. Parmi ces deux jours, l'un s'appelle « dimanche ». Le jour du Seigneur. Le dimanche, des gens vont passer une heure ou plus à y prier dans une maison construite tout spécialement pour cet être fictif et purement imaginaire. Ils consacrent du temps à implorer leur imaginaire, en collectivité. Non pas que je trouve cela stupide, je ne conçois pas l'idée que l'on puisse passer du temps dans un bâtiment en l'honneur de imagination débordante des Terriens. Je ne comprends pas, mais si tel est leur choix, je vais les respecter. Après avoir étudier ces termes qui sont la religion, le travail et l'argent, je m'intéresse au quotidien de ces soi-disant ratés de l'univers. J'examine de plus près leur alimentation, de quoi peuvent-ils bien ce nourrir comme plante ? Je tombe sur le premier mot de mon encyclopédie concernant cette rubrique, ils se nourrissent donc parfois d'« animaux ». Un animal ? Nous n'avons pas cette plante sur notre planète, examinons-la de plus près. Un animal ne serait donc pas une plante comme je pus le penser en lisant ce mot, mais il s'agit en fait d'un autre être vivant. Manger un autre être vivant ? Pour quoi faire ? Un animal est un Homme n'ayant pas don de parole. Il est parfois très poilu, parfois visqueux, il a parfois plusieurs pattes, parfois non. Bref, c'est un Terrien différent. Mais pourquoi manger un autre Terrien, les plantes seraient-elle en pénurie pour oser manger une autre personne ? Apparemment non. Les Terriens mangent leurs semblables pour leur plaisir, mais pas tous. Des personne refusent de manger des animaux, de la viande, c'est le nom donné à l'aliment qu'on peut extraire de l'individu différent. Être un animal sur Terre peut vous coûter la vie, mais pourquoi d'autres personnes n'en mangent pas ? Ils refusent de cautionner un massacre, explique mon encyclopédie. On massacrerait des êtres vivants pour pouvoir se nourrir alors que d'autres moyens sont possible ? Tout cela pour son propre plaisir ? Plus j'avance dans ma quête de connaissance, et plus je me convaincs que la Terre est une planète-poubelle. Mais ce n'est pas possible que des gens aussi cruels que la légende raconte puissent exister. Et si ces livres sur la Terre racontaient des mensonges ? A y réfléchir, personne ne s'était aventuré sur cette Terre dite hostile et sauvage, tout le monde prenait pour compte ce qu'on leur racontait, sans preuve vraiment concrète. C'était décider, j'allais faire ce que personne n'avait fait avant moi : j'allais franchir la limite, j'allais rencontrer le « sous-être », l'« attardé », l'« être humain ». Il fallait que je me renseigne sur leur apparence, il existerait apparemment deux sortes d'êtres humains. Les hommes et les femmes. Il fallait que je décide qui être. L'homme, ou la femme ? Sur cette planète, ça serait l'homme le plus important, je décide d'être un homme. L'homme possède des avantages dans cette société que la femme n'aurait pas. Apparemment, il toucherait plus de ces petits papiers appelés « billets » que la femme pour un même « travail ». Encore une bizarrerie inexpliquée, je ne cherche pas à la comprendre, je verrai cela quand je serai sur place, sur cette « planète-poubelle », je me mélangerai aux Terriens et écrirai un livre sur eux, je prouverai à tout l'univers que la Terre est une planète comme les autres. Je ne prends pas de bagages, je travaillerai là-bas pour gagner ma vie, comme tout bon Terrien. J'utiliserai cet argent si convoité, je vivrai comme eux, je mangerai comme eux, je prierai comme eux. Je partagerai leurs croyances et leurs émotions. Après tout, ils ne doivent pas être si dérangés. Ils ne peuvent pas être autant dérangé qu'on le raconte. C'est décidé, j'embarque. Je serai sur Terre dans quelques heures, elle n'est qu'à quelques milliers d'années-lumières d'ici, je devrai bien m'en sortir s'il n'y a pas trop de bouchons.
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Marshall- a écrit:
mantony a écrit:
Arrete je vais tombé dans les poirs ... euh pommes pardon
en voyant tous c'est p'tit mots qui s'baladeT'as pas l'air d'avoir grand chose qui se balade dans la tête en tout cas.
Bon je vais répondre à Bauvi. À demain.
Tu m'a tué
Bon maintenant c'est quoi le rapport avec la FLF ?
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Kevinho. a écrit:
Paye ton site, qu'on rigoule avec toi.
Mes deux derniers pavés étaient des authentiques, rédigés depuis longtemps certes, mais ce sont respectivement une de mes nouvelles, et le premier chapitre de mon livre.
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La terre, l'eau, l'air et le feu. Ces quatre éléments font aujourd'hui partie de notre quotidien. Julien Gautier n'aurait jamais pensé un jour connaître tout de ces éléments. Plutôt passionné de littérature, cet adolescent de 16 ans détestait tout ce qui touchait aux sciences, naturelles ou physiques. C'est pourtant un jour d'automne qu'un mystérieux homme vint frapper à la porte de la maison où il vivait seul avec son père, à Paris. M. Gautier alla ouvrir. Pendant un instant, il resta figé sur le pas de la porte, comme effrayé. Tremblant, il finit tout de même par laisser entrer cet homme. Il portait un chapeau, un imperméable et avait une canne. Il fit un signe de la tête et M. Gautier compris tout de suite, il appela son fils qu'il livra à l'homme au chapeau. Julien ne comprit pas, mais son père lui expliqua qu'il était l'heure de partir, qu'ils avaient déjà eu une conversation auparavant. En effet, M. Gautier avait expliqué à son fils que celui-ci devrait le quitter un jour ou l'autre, pour partir dans un endroit « adapté à ses dons ». Julien était surdoué dans sa matière, il avait écrit plusieurs livres de tous genres, il pensa que cette endroit spécial allait lui permettre de développer son imagination, de devenir meilleur. Il accepta de partir sans concession. L'homme au chapeau l'invita dans sa voiture, sans même que Julien eut le besoin de faire ses valises.
La route lui parut longue, le chauffeur qui était cet homme mystérieux ne décrocha pas un mot à Julien, pourtant du genre bavard et curieux. La voiture s'arrêta, le chauffeur fit comprendre à Julien qu'il devait descendre, sans même ouvrir la bouche. Julien descendit. Il laissa échapper un bruit d'étonnement quand il découvrit ce qui l'attendait. Un portail doré immense se tenait devant lui, un homme barbu au crâne dégarni tenait les clefs servant à ouvrir ce portail.
Saint Pierre ? demanda Julien, avant de s'apercevoir de l'énormité de sa question.
Saint Pierre ? reprit l'homme d'une voix suave. Tu parles sans doute de Kepha, le fils de
Jonas. Non, je ne suis pas cet homme là. Mon nom est Charon. Oui, comme dans la mythologie grecque, sauf que je n'ouvre pas de passage aux enfers, dit-il en riant. Tu dois être Julien Gautier, nous t'attendions. Entre donc.
Charon ouvrit le portail et accompagna Julien. Le long de la route, il lui fit visiter les différentes parties de l'établissement.
Bienvenue à l'Éden, jeune homme. Euh, c'est le nom que l'on donne à cette école, s'est-il
empressé d'ajouter en voyant les regards douteux que lui lançaient Julien. Cette école est une école spéciale pour les surdoués dans ton genre, les personnes supérieures aux humains comme nous les connaissons.
L'Éden ? Les personnes supérieures aux humains ? Vous vous fichez de moi ?
Tu verras, le taquina Charon. En attendant, viens, je vais te montrer ton dortoir.
Julien et Charon marchèrent une dizaine de minutes et montèrent une bonne cinquantaine de marches d'escalier.
C'est encore loin ? demanda Julien.
Non, nous sommes arrivés. L'Éden est un endroit très vaste, on s'y perd facilement. Tu
trouveras des cartes pour t'aider à te repérer, elles se trouvent dans ton coffre personnel, ton code est le 2309. Il me semble que tu es né le 23 septembre, j'ai fait en sorte que tu te souviennes de ton code. Ce code est le même pour toutes tes affaires personnelles, tes casiers, ta chambre, etc. Maintenant que tu connais le code pour ouvrir ta chambre, retiens le numéro de celle-ci. Nous sommes juste devant, c'est la chambre numéro 845. Voici ta carte de pensionnaire, elle te permettra d'accéder à différentes parties de l'établissement et à prendre tes repas à la cantine. Bon, assez discuté. Je te laisse découvrir ta chambre tout seul, je n'ai pas le droit d'y entrer.
Julien passa sa carte dans la fente, entra son code et la porte s'ouvrit. Il fut surpris de voir que sa chambre de l'Éden ressemblait étrangement à sa chambre de Paris. C'était en fait exactement la même, sauf qu'il y avait un petit coffre noir en métal avec un digicode. Julien se retourna pour demander à Charon comment cela était possible, mais il était déjà parti. Sans doute pour accueillir d'autres pensionnaires.
Bon, j'arrête. Bien que cet écrit soit également l'extrait d'un 1er chapitre d'un livre que je finirai certainement jamais.
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Bauvi a écrit:
Bon, j'arrête. Bien que cet écrit soit également l'extrait d'un 1er chapitre d'un livre que je finirai certainement jamais.
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LET'S GET READY TO THE BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE !
EDIT : Après ce post' peut-être. Mmm
Dernière modification par Bauvi. (02-03-2011 00:40:22)
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Bauvi. a écrit:
Kevinho. a écrit:
Paye ton site, qu'on rigoule avec toi.
Mes deux derniers pavés étaient des authentiques, rédigés depuis longtemps certes, mais ce sont respectivement une de mes nouvelles, et le premier chapitre de mon livre.
Tu est si bon que sa en écriture ? ^^ J'ai lu un peu, c'est pas mal je trouve... Tu veux être écrivain ? Mmm
Pareil, j'aime bien écrire.
(Enfin pas sur FL hein)
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Kevin-BSE a écrit:
Tu est si bon que sa en écriture ? ^^ J'ai lu un peu, c'est pas mal je trouve... Tu veux être écrivain ? Mmm
Ce sont des écrits que je fais quand j'ai de l'inspiration, elle prend plusieurs formes chez moi, parfois c'est pour des nouvelles, parfois pour mon livre, ou parfois pour des faits imaginaires et je les mets sous forme de dépêche. xD
Écrivain, ouais, pourquoi pas. x) Ça me plairait bien mais j'en suis encore bien loin. Journaliste aussi c'est un métier qui me parle.
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Chris et bauvi écrivent un livre chacun. Mais ils se battent déjà car ils ont déjà eu la même idée sur le titre "Comment une couleur a pu faire de ma vie un enfer ?"
Et puis Bauvi, soit réaliste un peu. Tu es déjà gros et rause, laisse en un peu pour les autres tu veux.
Dernière modification par Sasounet_92 (02-03-2011 00:48:48)
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Kevin-BSE a écrit:
Tu est si bon que sa en écriture ? ^^ J'ai lu un peu, c'est pas mal je trouve... Tu veux être écrivain ? Mmm
Pareil, j'aime bien écrire.
(Enfin pas sur FL hein)
Il te le dira pas parce que c'est un trou du cul de modeste mais oui c'est un bon, avec des idées très intéressantes qu'il retranscrit bien dans ses oeuvres.
En plus cet enfoiré m'a piqué mon inspiration, j'écris plus rien depuis deux ans alors que lui il a idée sur idée.
Ah, et puisqu'il fallait bien que mon côté égocentrique ressorte, un compliment de Chris c'est un compliment à prendre au sérieux, tu me verras pas en faire tous les jours, j'aime pas ça, ça me fait chier.
Dernière modification par Marshall- (02-03-2011 00:51:19)
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Marshall- a écrit:
Il te le dira pas parce que c'est un trou du cul de modeste mais oui c'est un bon, avec des idées très intéressantes qu'il retranscrit bien dans ses oeuvres.
En plus cet enfoiré m'a piqué mon inspiration, j'écris plus rien depuis deux ans alors que lui il a idée sur idée.
Ah, et puisqu'il fallait bien que mon côté égocentrique ressorte, un compliment de Chris c'est un compliment à prendre au sérieux, tu me verras pas en faire tous les jours, j'aime pas ça, ça me fait chier.
Le trou du cul de modeste te remercie.
Toi tu ferais bien de réécrire des poèmes aussi émouvants qu'excellents comme jadis, oui car ça me manque.
Voilà, ça c'est mon putain de défaut altruiste et philanthrope qui ressort, incapable de recevoir un compliment sans en faire un à son tour.
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Merci également.
Mais pour faire des poèmes j'estime qu'il faut pouvoir y faire ressentir ses émotions, or je n'ai plus d'émotions depuis trop longtemps.
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Mais comme ils sont beaux, ces deux la.
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Marshall- a écrit:
Merci également.
Mais pour faire des poèmes j'estime qu'il faut pouvoir y faire ressentir ses émotions, or je n'ai plus d'émotions depuis trop longtemps.
Imaginons que Bauvi te suce, tu sens l'émotion ? TU LA SENS BIEN ?
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Sasounet_92 a écrit:
Marshall- a écrit:
Merci également.
Mais pour faire des poèmes j'estime qu'il faut pouvoir y faire ressentir ses émotions, or je n'ai plus d'émotions depuis trop longtemps.Imaginons que Bauvi te suce, tu sens l'émotion ? TU LA SENS BIEN ?
J'allais faire le même avec dark.
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Kevinho. a écrit:
Ne le faite pas avec moi.
Kevinou, les soirées cam me manquent.
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Marshall- a écrit:
Kevinho. a écrit:
Ne le faite pas avec moi.
Kevinou, les soirées cam me manquent.
Tu veux que je te suce ? :hap:
Moi aussi ça me manque.
A la rentrée des classes, je te fais un show cam.
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Marshall- a écrit:
floodman a écrit:
Voila ce qu'est a mes yeux FootLand , par ailleurs lorsque les 2 types de personnes ci dessus se rencontrent , une distraction est crée par le fait que les kkll se rendent compte que certaines personnes peuvent réfléchir a partir de leur cerveau et non pas de leur disque dur, ce qui se passe actuellement sur ce topic et qui est vraiment plaisant.
C'est exact, en témoigne l'exemple mantony.
Il l'a eu.
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Vous étiez en forme hier soir dis donc. Je me demande vraiment comment vous avez fait pour écrire tout ça.
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DÉPÊCHE FL-FED
La renaissance, la fin du moyen-âge.
Le MASG et le MAC sont morts, tous les méchants sont morts et les gentils ont gagné, ça vous va ? Bref, nous aimerions faire part des récents évènements qui nous amènent à penser que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus oblige à la prise en compte encore plus effective d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'un processus allant vers plus d'égalité. J'ai depuis longtemps (ai-je besoin de vous le rappeler ?) défendu l'idée que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise doit nous amener au choix réellement impératif d'un processus allant vers plus d'égalité. L'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus oblige à la prise en compte encore plus effective d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.
Aucune nouvelle également en ce triste dixième numéro qui annonce la fin de la dépêche, trop de monde ne s'y intéressant pas et préférant lire des bandes dessinées ou jouer à des stupides jeux vidéos non instructifs et ramollissant le cerveau. C'est sans regret que j'annonce la fin de ce triste journal qui aura fait rire tout au moins quelques sensés de cette fédérations et jalouser quelques imbéciles. Je tiens à préciser que cette dépêche a été postée en invisible pour que vous bougiez votre cul à aller lire autre chose que nouvelles du dernier jeu vidéo sorti ou encore quelque autre stupidite du genre entretien de petites starlettes écervelées avec journaliste maniaco-dépressif. Bref, adieu.
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