Forum officiel du meilleur jeu de foot français
Vous n'êtes pas identifié.
Le capitalisme est un système économique et social. Les définitions du terme se distinguent par les poids différents qu'elles accordent aux caractéristiques suivantes:
* la propriété privée des moyens de production ;
* la recherche du profit et sa justification (ou l'absence de )
* la liberté des échanges économiques et la concurrence économique ;
* l'importance du capital, les possibilités de l'échanger (spécialement en bourse), de l'accumuler et de spéculer ;
* la rémunération du travail par un salaire.
Dans une première définition, le capitalisme est entièrement défini par la propriété privée des moyens de production. En effet celle-ci implique le droit de disposer librement des biens en question et des fruits de leur utilisation, donc de les échanger librement avec d'autres agents. Dans ce régime, les propriétaires de moyens de production peuvent arbitrer de diverses façons entre le souci de servir les consommateurs, la recherche du profit et l'accumulation de capital, faisant ainsi de la recherche du profit monétaire et de l'accumulation de capital des possibilités offertes aux agents, mais pas des éléments de la définition du capitalisme. On considère néanmoins qu'en régime capitaliste, le mobile principal de l'activité économique est la recherche du profit qui trouve sa contrepartie dans le risque (Larousse 2000).
Une deuxième définition, d'inspiration marxiste, met en avant la recherche du profit, l'accumulation de capital, le salariat et le fait que les travailleurs ne sont pas propriétaires de leurs outils. Contrairement à la première, cette définition admet la possibilité d'un capitalisme d’État où toutes les ressources et tous les moyens de production seraient propriété d'un État. Ce régime est alors dénoncé, comme le capitalisme en général, si les moyens de production sont utilisés dans l'intérêt du groupe au pouvoir, comme le ferait une personne privée, et non dans l’intérêt de la collectivité.
Dans les sociétés réelles, les cinq caractéristiques ci-dessus peuvent exister indépendamment les unes des autres, et chaque trait peut être plus ou moins prononcé. La propriété des ressources et moyens de production est en fait souvent partagée entre des individus, groupements et des États, donnant naissance à une gamme continue de sociétés d’économie mixte. Par ailleurs, la séparation entre les rôles de détenteur de capitaux (rémunéré par le profit) et de travailleur (rémunéré par un salaire) tend à devenir plus floue, ces derniers pouvant posséder une part plus ou moins grande des moyens de production, dans un contexte de plus en plus mondialisé.
De même, la propriété privée des ressources ou moyens de production peut coexister avec un haut degré d’interventionnisme de la part de l'État, par exemple la fixation autoritaire des prix et des conditions d’échange, que condamne théoriquement le libéralisme économique. De telles pratiques non-libérales peuvent être souhaitées par certains propriétaires privés ou publics de ressources et moyens de production qui y voient un moyen de protéger et augmenter leurs profits en demandant à l’État de les protéger contre la concurrence, éventuellement contre la volonté des consommateurs.
Au niveau théorique, le communisme est une conception de société sans classe, une organisation sociale sans État, fondée sur la possession commune des moyens de production et qui peut être classée comme une branche du socialisme. Il part de l'adage « de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins ».
Au niveau politique, le communisme désigne une variété de mouvements qui affirment chercher à établir à terme une telle société. Parmi les communistes, on trouve une considérable variété d'interprétations, principalement portées par les courants marxistes, mais aussi anarchistes et chrétiens. La première division s'est opérée entre anarchisme et marxisme au sein de la Première Internationale. Néanmoins, les courants communistes qui se sont le plus distingués par leur influence sur l'ordre politique mondial depuis le début du XXe siècle sont d'influence marxiste, directement (Manifeste du Parti communiste) ou indirectement (léninisme). La lutte des classes joue un rôle central dans la théorie marxiste (et également dans d'autres tendances communistes). L'établissement du communisme correspond dans cette théorie à la fin de toute lutte des classes, la division des êtres humains en classes sociales ayant disparu.
Karl Marx, défendant la nécessité de l'autonomie du mouvement ouvrier et de l'internationalisme, soutenait que la société ne pouvait d'un coup être transformée depuis le mode de production capitaliste vers le mode de production communiste. Elle nécessitait une période de transition que Marx a parfois décrit comme la période révolutionnaire de dictature du prolétariat. Dans le Manifeste du Parti communiste, il définit le communisme comme « une association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous[1] ». La société communiste imaginée par Marx, émergeant d'un capitalisme largement développé, n’a jamais été établie, et demeure théorique.
Au niveau historique, le mot « communisme » est souvent utilisé pour désigner les régimes politiques et économiques gouvernés par des partis se réclamant du communisme. Certains de ces régimes se revendiquaient comme des « dictatures du prolétariat ».
La notion de communisme est très controversée et désigne souvent des réalités différentes selon les personnes qui l’utilisent. Le concept de communisme est l'objet d'un débat sémantique, selon deux axes qui interfèrent :
* divergence « interne », entre communistes revendiqués (qui peuvent s'opposer politiquement et théoriquement), divers courants s'attribuent le terme parfois à l'exclusion des autres ;
* divergence « externe », entre anti-communistes et communistes : les premiers rendent responsable l'idéologie communiste des désastres environnementaux, humains et sociaux ou des crimes de masse commis ou provoqués par les régimes communistes. Les seconds répondent qu'ils n'étaient pas liés à l'idéologie communiste et considèrent que ces États n'étaient pas communistes; pour eux, le communisme reste un projet de société qui n'a jamais été réalisé. Ils mettent ces crimes et désastres écologiques sur le fait du totalitarisme, du productivisme ou bien encore pour une partie d'entre eux sur le stalinisme et ses dérivés.
Hors ligne
toubdezgui a écrit:
Maiden a écrit:
toubdezgui a écrit:
Srna essaie de démonter le capitalisme sans pour autant montrer que son modèle peut fonctionner
Son seul argument les failles, or à ce jour je ne connait rien de parfaitOn a bien le droit de critiquer le systeme mise en place c'est la démocratie ( oui j'suis aussi pour meme si vous le croyez pas xD )
De plus il s'agit pas de faire un monde sans faille et parfait mais d'améliorer sérieusement le mondeJe ne critique pas du tout le fait que vous critiquez, c'est un sorte de débat c'est donc normal, seulement vous remttez seulment en cause le capitalisme et non votre modèle. C'est la que ça coince ...
Améliorer le monde passe forcément par le communisme ?
il y a le socialisme aussi
vivement que tu votes Maiden ! que tu remontes les scores du pauvre PCF
Néo' : j'ai mes cours d'Histoire Géo ^^
en admettant que mon prof' soit objectif...
Hors ligne
Le premier me parait pas objectif du tout
On dirait une explication faite juste après la crise financière
Arutha a écrit:
toubdezgui a écrit:
Maiden a écrit:
On a bien le droit de critiquer le systeme mise en place c'est la démocratie ( oui j'suis aussi pour meme si vous le croyez pas xD )
De plus il s'agit pas de faire un monde sans faille et parfait mais d'améliorer sérieusement le mondeJe ne critique pas du tout le fait que vous critiquez, c'est un sorte de débat c'est donc normal, seulement vous remttez seulment en cause le capitalisme et non votre modèle. C'est la que ça coince ...
Améliorer le monde passe forcément par le communisme ?il y a le socialisme aussi
vivement que tu votes Maiden ! que tu remontes les scores du pauvre PCF
Néo' : j'ai mes cours d'Histoire Géo ^^
en admettant que mon prof' soit objectif...
J'veux bien mais ça va pas être simple pour me les filer
Dernière modification par Neo-rijsel (12-11-2008 19:52:31)
Hors ligne
Arutha a écrit:
il y a le socialisme aussi
vivement que tu votes Maiden ! que tu remontes les scores du pauvre PCF
Néo' : j'ai mes cours d'Histoire Géo ^^
en admettant que mon prof' soit objectif...
Le Socialisme c'est l'extreme gauche .. c'est d'ailleur l'etape vers le communisme à en croire Marx ( ou pas xD )
je vote pas PCF je vote NPA ou blanc
Hors ligne
Nulle Part Ailleurs !
quel trikeux ce buzz'n'Snow ^^
Hors ligne
Le capitalisme est l'objet de nombreuses controverses. Ces controverses peuvent porter :
* sur l’accumulation du capital en elle-même,
* sur la propriété du capital,
* sur le comportement des propriétaires du capital,
* sur les conséquences humaines, sociales, écologiques et économiques d'un système dont la logique de fonctionnement est la croissance du capital.
On trouve sous un régime capitaliste de nombreuses inégalités de revenu, de patrimoine, des déséquilibres d'imposition favorisant le capital au détriment du travail, etc. Beaucoup y voient un scandale spécifique au capitalisme, et préconisent d'autres systèmes.
Une autre caractéristique avancée pour le capitalisme est une forme de schizophrénie : à cause de la séparation des rôles, le même individu s'inflige à lui-même, via la machine sociale et économique, une bonne partie des tourments dont il se plaint (l'exemple archétypique étant qu'on ne peut à la fois réclamer des prix bas et des services à tout moment du jour et de la semaine, et se plaindre des « délocalisations » ou des conséquences négatives pour les travailleurs). Voir à ce sujet Devereux pour qui la schizophrénie est une psychose ethnique, nourrie et entretenue par la civilisation.
Récemment, des critiques ont vu jour devant une forme exacerbée du capitalisme, comme celle de Jean Peyrelevade qui parle de « capitalisme total »[4]. Cet auteur propose notamment d'interdire les stocks-options comme part de la rémunération des dirigeants pour éviter les conflits d'intérêts et d'offrir des dividendes plus avantageux aux actionnaires anciens afin de limiter les allers retours spéculatifs.
La crise financière majeure qui frappe les marchés mondiaux suite à la crise des subprimes (février 2007) a par ailleurs contribué à un regain important de critiques envers le capitalisme et l'« ultra-libéralisme ». Alan Greenspan lui-même, président pendant 18 ans de la banque centrale américaine et libertarien proclamé, qui défendait la supériorité de l'auto-régulation des marchés sur la régulation étatique, a admis jeudi 23 octobre face à la commission de contrôle d'action gouvernementale qu'il avait eu « partiellement tort » de faire plus confiance au marché qu'au gouvernement pour réguler le système financier. Il a par ailleurs fait part de son désarroi :
« J'ai trouvé une faille [dans mon idéologie]. Je ne sais pas à quel point elle est significative ou durable, mais ce fait m'a plongé dans un grand désarroi. »
Greenspan utilise ici le mot idéologie non comme un ensemble de croyances irréfutables mais comme le cadre conceptuel à travers lequel il explique le monde.
L'analyse marxiste, inspirée par Karl Marx à travers plusieurs ouvrages, dont le plus connu est Le Capital, est que dans une société capitaliste, le prolétariat est obligé de vendre sa force de travail pour subvenir à ses besoins. Ils sont contraints de travailler pour vivre.
Cette dépendance les place dans une situation d'exploitation (domination) par les capitalistes, propriétaires du capital. La force de travail seule ne produit que de la valeur d'usage, pas de valeur d'échange, elle nécessite des matières premières et des moyens de production, donc l'usage de capital, détenu par les capitalistes. Le « travail vivant » (l'usage de la force de travail) est transformé en « travail mort » (le capital)[7].
Dans les entreprises qui survivent à la compétition, le salaire est moindre que ce que le travail effectué a créé comme valeur d'échange, une part étant prélevée par le capitaliste (propriétaire individuel, ou actionnaires) au titre de la « rémunération du capital » (le bénéfice de l'entreprise). En plus de ce bénéfice, le capitaliste regagne le capital investi, qui retourne alors à l'accumulation du capital (développement de l'entreprise qui lui permettra à son tour d'acheter d'autres groupes, qui lui profiteront à leur tour, outils de marketing, publicités...).
Le capitalisme implique aussi des crises de surproduction, car le but de l'économie capitaliste n'est pas de répondre à une demande, mais d'accroître les profits du capital. À cela, les marxistes opposent la socialisation des moyens de production, qui devraient être contrôlés par la collectivité dans l'intérêt de la collectivité entière et non plus d'une classe possédante. Cette transformation des rapports de production doit entraîner dans la perspective marxiste la disparition des classes sociales.
Selon les marxistes le capitalisme oppose les êtres humains entre eux (notamment par la lutte des classes), ils souhaitent donc l'abolition du capitalisme, afin de remplacer la compétition par la solidarité (ce serait alors le passage d'un capitalisme largement développé vers le socialisme - ou communisme).
Hors ligne
Arutha a écrit:
il y a le socialisme aussi
Non, ça, c'est voué à l'echec..
Hors ligne
C'est le Capitalisme vu par Marx
Donc un jugement...
C'est ce que l'Homme en fait qui est pas bien.
Le seul truc qui me plait pas, c'est la spéculation et la démesure.
Après, si un gars veut capitaliser son capital, c'est son problème, si à la base, il a une rémunération équitable par rapport à son travail fourni.
Hors ligne
Maiden a écrit:
Arutha a écrit:
il y a le socialisme aussi
vivement que tu votes Maiden ! que tu remontes les scores du pauvre PCF
Néo' : j'ai mes cours d'Histoire Géo ^^
en admettant que mon prof' soit objectif...Le Socialisme c'est l'extreme gauche .. c'est d'ailleur l'etape vers le communisme à en croire Marx ( ou pas xD )
je vote pas PCF je vote NPA ou blanc
à l'origine, il n'y avait pas beaucoup de différences entre socialisme et communisme, ou alors je ne les ai pas comprises et il faudrait me les expliquer
Hors ligne
Srna-RJ a écrit:
Arutha a écrit:
il y a le socialisme aussi
Non, ça, c'est voué à l'echec..
Là, je suis d'accord avec toi !!
Mais bon, tu es très subjectif, pour certains ça ne l'est pas.
C'est pas pour autant qu'il faut rejeter direct
Hors ligne
Neo-rijsel a écrit:
C'est le Capitalisme vu par Marx
Donc un jugement...
la deuxieme partie seulement .. la premiere c'est un capitaliste lui meme qui analyse
Hors ligne
Tiens Néo un livre pour toi : Le livre noir du capitalisme ..
Table des matières
* Avant-propos - (Gilles Perrault)
* Le libéralisme totalitaire - (Maurice Cury)
* Les origines du capitalisme (XVe-XIXe siècles) - (Jean Suret-Canale)
* Economie servile et capitalisme : Un bilan quantifiable - (Philippe Paraire)
* Tirez, ce ne sont que des ouvriers - (Roger Bordier)
* 1744-1849 Un siècle lyonnais : Les canuts face aux cannibales du profit - (Maurice Moissonnier)
* 1871 : Trahison de classe et semaine sanglante -(Claude Willard)
* Répressions antisyndicales -(André Devriendt)
* Les bandes armées du capital dans la France républicaine -(Maurice Rajsfus)
* La grande guerre : 11 500 morts et 13 000 blessés par jour pendant 3 ans et demi -(Jean-Pierre Fléchard)
* Contre-révolution et interventions étrangères en Russie (1917-1921) -(Pierre Durand)
* La seconde guerre mondiale -(François Delpla)
* De l’origine des guerres et d’une forme paroxystique du capitalisme -(Pierre Durand)
* Impérialismes, sionisme et Palestine -(Me Maurice Buttin)
* Guerre et répression : L’hécatombe vietnamienne -(François Derivery)
* Massacres et répression en Iran -(François Derivery)
* Génocide anticommuniste en Indonésie -(Jacques Jurquet)
* Annexion fasciste du Timor Oriental -(Jacques Jurquet)
* L'Irak victime du pétrole -(Subhi Toma)
* L’Afrique noire sous la colonisation française -(Jean Suret-Canale)
* Algérie 1830-1998 : Des balbutiements du capitalisme colonial à l’entreprise monopolaire de recolonisation « mondiale » -(André Prenant)
* L’Afrique des indépendances et le « communisme » (1960-1998) -(Francis Arzalier)
* Les interventions Nord-Américaines en Amérique Latine -(Paco Pella)
* Etats-Unis, le rêve inachevé : La longue marche des Africains-Américains -(Robert Pac)
* Centenaire d’un génocide à Cuba : La « reconcentration » de Weyler -(Jean Laïlle)
* Le génocide indien -(Robert Pac)
* Le capitalisme à l’assaut de l’Asie -(Yves Grenet)
* Les migrations au XIXe et au XXe siècles : Contribution à l’histoire du capitalisme -(Caroline Andreani)
* Capitalisme, course aux armements et commerce des armes -(Yves Grenet)
* Les morts vivants de la mondialisation -(Philippe Paraire)
* La mondialisation du capital et les causes des menaces de barbarie -(François Chesnais)
* Les banquiers suisses tuent sans mitrailleuses -(Jean Ziegler)
* Une pub vaut mille bombes... Les crimes publicitaires dans la guerre moderne -(Yves Frémion)
* Quand bien même ne suffirait pas l’abolition du capitalisme… -(Monique et Roland Weyl)
L'éditeur du livre énoncera, en fin de livre, un bilan de 100 millions de morts pour la période allant de 1900 à 1997 (le bilan du capitalisme du XIXème n'étant pas abordé par le livre).
Hors ligne
Srna-RJ a écrit:
Arutha a écrit:
il y a le socialisme aussi
Non, ça, c'est voué à l'echec..
quelles différences fondamentales avec le communisme ?
Hors ligne
Le problème c'est que quelque soit le système ou non système, il faudra toujours quelque chose ou quelqu'un pour le réguler...
Et ça passera obligatoirement par la main mise de certains hommes...
Et on peut pas surveiller des hommes qui surveilleront des hommes qui eux-mêmes seront surveillés par d'autres hommes etc
Hors ligne
Arutha a écrit:
quelles différences fondamentales avec le communisme ?
Y a un etat avec le socialisme .. puis c'est que une étape avant le communisme
Le socialisme désigne un système d'organisation sociale basé sur la propriété collective (ou propriété sociale) des moyens de production par opposition au capitalisme.
Il est l'objectif de divers courants apparus et développés depuis le XIXe siècle, et ayant abouti aujourd'hui aux différents courants marxistes et anarchistes, ainsi qu'aux sociaux-démocrates.
Le mouvement socialiste recherche une justice sociale, condamne les inégalités sociales et l’exploitation de l’homme par l’homme , défend le progrès social , et prône l'avènement d'une société égalitaire, sans classe sociale .
Pour leur part, les universitaires Georges Bourgin et Pierre Rimbert définissent le socialisme comme « une forme de société dont les bases fondamentales sont les suivantes :
1. Propriété sociale des instruments de production ;
2. Gestion démocratique de ces instruments ;
3. Orientation de la production en vue de satisfaire les besoins individuels et collectifs des hommes. »[7
100 000 000 de morts néo wahouuuuuuuuuuuuu ! genial ton systeme t'as vu ?
Dernière modification par Maiden (12-11-2008 20:06:37)
Hors ligne
Maiden a écrit:
Tiens Néo un livre pour toi : Le livre noir du capitalisme ..
Table des matières
* Avant-propos - (Gilles Perrault)
* Le libéralisme totalitaire - (Maurice Cury)
* Les origines du capitalisme (XVe-XIXe siècles) - (Jean Suret-Canale)
* Economie servile et capitalisme : Un bilan quantifiable - (Philippe Paraire)
* Tirez, ce ne sont que des ouvriers - (Roger Bordier)
* 1744-1849 Un siècle lyonnais : Les canuts face aux cannibales du profit - (Maurice Moissonnier)
* 1871 : Trahison de classe et semaine sanglante -(Claude Willard)
* Répressions antisyndicales -(André Devriendt)
* Les bandes armées du capital dans la France républicaine -(Maurice Rajsfus)
* La grande guerre : 11 500 morts et 13 000 blessés par jour pendant 3 ans et demi -(Jean-Pierre Fléchard)
* Contre-révolution et interventions étrangères en Russie (1917-1921) -(Pierre Durand)
* La seconde guerre mondiale -(François Delpla)
* De l’origine des guerres et d’une forme paroxystique du capitalisme -(Pierre Durand)
* Impérialismes, sionisme et Palestine -(Me Maurice Buttin)
* Guerre et répression : L’hécatombe vietnamienne -(François Derivery)
* Massacres et répression en Iran -(François Derivery)
* Génocide anticommuniste en Indonésie -(Jacques Jurquet)
* Annexion fasciste du Timor Oriental -(Jacques Jurquet)
* L'Irak victime du pétrole -(Subhi Toma)
* L’Afrique noire sous la colonisation française -(Jean Suret-Canale)
* Algérie 1830-1998 : Des balbutiements du capitalisme colonial à l’entreprise monopolaire de recolonisation « mondiale » -(André Prenant)
* L’Afrique des indépendances et le « communisme » (1960-1998) -(Francis Arzalier)
* Les interventions Nord-Américaines en Amérique Latine -(Paco Pella)
* Etats-Unis, le rêve inachevé : La longue marche des Africains-Américains -(Robert Pac)
* Centenaire d’un génocide à Cuba : La « reconcentration » de Weyler -(Jean Laïlle)
* Le génocide indien -(Robert Pac)
* Le capitalisme à l’assaut de l’Asie -(Yves Grenet)
* Les migrations au XIXe et au XXe siècles : Contribution à l’histoire du capitalisme -(Caroline Andreani)
* Capitalisme, course aux armements et commerce des armes -(Yves Grenet)
* Les morts vivants de la mondialisation -(Philippe Paraire)
* La mondialisation du capital et les causes des menaces de barbarie -(François Chesnais)
* Les banquiers suisses tuent sans mitrailleuses -(Jean Ziegler)
* Une pub vaut mille bombes... Les crimes publicitaires dans la guerre moderne -(Yves Frémion)
* Quand bien même ne suffirait pas l’abolition du capitalisme… -(Monique et Roland Weyl)
L'éditeur du livre énoncera, en fin de livre, un bilan de 100 millions de morts pour la période allant de 1900 à 1997 (le bilan du capitalisme du XIXème n'étant pas abordé par le livre).
J'suis sur que c'est des rageux qui veulent se défouler sur le capitalisme prétextant que toutes les choses malsaines se déroulant depuis que le capitalisme existe sont dues au capitalisme.
On peut lister aussi avant le capitalisme... durant la préhistoire, il a y eu moult massacres... XD c'est à cause du système mis en place à l'époque dans une région de 10 km² qui s'est répercuté sur toute la planète XD
Dernière modification par Neo-rijsel (12-11-2008 20:06:38)
Hors ligne
encore avec leur politique ses 2 la sont tous les memes arriver au pouvoir point barre. de
belles promesse pour etre elus; et apres une fois elu nous entubent bien profond.
alors droite gauche extreme ou pas tous dans le mem panier
Dernière modification par didierland (12-11-2008 20:11:38)
Hors ligne
Neo-rijsel a écrit:
J'suis sur que c'est des rageux qui veulent se défouler sur le capitalisme prétextant que toutes les choses malsaines se déroulant depuis que le capitalisme existe sont dues au capitalisme.
On peut lister aussi avant le capitalisme... durant la préhistoire, il a y eu moult massacres... XD c'est à cause du système mis en place à l'époque dans une région de 10 km² qui s'est répercuté sur toute la planète XD
Ce livre ne se veut pas un anti- ou un contre dans le but de définir un bilan mortuaire du capitalisme Il tente d'énoncer la réalité du capitalisme. Ce livre ne prend cependant pas en compte les victimes des pays s'étant revendiqués socialistes (même si cela peut porter à débats ; certains considérant notamment que ces pays ne furent que du capitalisme d'État...).
Les auteurs sont : Gilles Perrault, Caroline Andréani, Francis Arzalier, Roger Bordier, Maurice Buttin, Canale, François Chesnais, Maurice Cury, François Delpla, François Derivery, André Devriendt, Pierre Durand, Jean-Pierre Fléchard, Yves Frémion, Yves Grenet, Jacques Jurquet, Jean Laïlle, Maurice Moissonnier, Robert Pac, Philippe Paraire, Paco Pena, Gilles Perrault, André Prenant, Maurice Rajsfus, Jean Suret, Subhi Toma, Monique et Roland Weyl, Claude Willard, Jean Ziegler.
La quatrième de couverture annonce que : « Nous n’avons pas eu la prétention de faire un livre exhaustif. Les crimes du capitalisme constituent un sujet malheureusement inépuisable. Du moins pour l’instant…Plutôt que de réaliser un ouvrage collectif, nous avons pris le parti de solliciter des participations individuelles d’historiens, d’économistes, de sociologues, de syndicalistes, d’écrivains, qui s’expriment ici en toute liberté sur le sujet de leur choix ».
Hors ligne
Tu vas me dire que le gars dans sa caverne qui échangé trois dents contre un bout de pierre et qu'il cumulait sa dans une cachette était un capitaliste ?? alors oui, le capitalisme est super vieux et 100M de morts c'est bien peu
alors oui, c'est aisé de le critiquer puisqu'il est làa depuis la nuit des temps est forcément y a de mauvais côté puisqu'il nous a cotoyé depuis qu'on existe
Dernière modification par Neo-rijsel (12-11-2008 20:11:31)
Hors ligne
Trop .. sur une aussi courte periode que 1900 a 1977
il faut que cela cesse
100 000 000 de mort c'est trop exagéré pour un systeme démocratique égalitaire et parfait ..
j'rapelle que le début de l'humanité a été commencé par le communisme des tribus ( lis Rousseau lui au moins il est pas communiste x) )
Dernière modification par Maiden (12-11-2008 20:12:39)
Hors ligne
"* Les origines du capitalisme (XVe-XIXe siècles) - (Jean Suret-Canale)"
Expdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
XVe siècle j'suis trop expdrrrr
A fond capitaliste, c'est clair
Il connaissait même pas ce mot à l'époque
Capitaliste à ce moment là tu le mets à n'importe quelle sauce XD
le gars qui construit sa hutte, bouuuh capitaliste !!! c'est pas pour toi ce que t'as construit, casse-toi, c'est pour tout le monde et ta femme, c'est pas à toi, c'est comme la SNCF !!
Dernière modification par Neo-rijsel (12-11-2008 20:13:52)
Hors ligne
Neo-rijsel a écrit:
Capitaliste à ce moment là tu le mets à n'importe quelle sauce XD
Le capitalisme est né de la monarcheie t l'a persmi à se devellopper ..
Puis j'vois pas pourquoi on cause d'un systeme qui a du faire plusd'1 milliard de morts par cupidité
Hors ligne
Neo-rijsel a écrit:
le gars qui construit sa hutte, bouuuh capitaliste !!! c'est pas pour toi ce que t'as construit, casse-toi, c'est pour tout le monde et ta femme, c'est pas à toi, c'est comme la SNCF !!
Tu tégares .. respire arrete de rager calme respire ..
Fait la défférence entre propriété privée intime et propriété privée des moyens de production ..
repdn ton calme ne rage pas ..
Hors ligne
Mouai, ça me fait sourire...
J'pense qu'il y en a qui confondent ce qui se passe depuis que le capitalisme existe et ce qui se passe sous la coupe du capitalisme...
Hors ligne
ça fait des morts pour une si belle idéologie dis donc .. ^^
Hors ligne