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Vous êtes tombés sur quoi au fait ?
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Valounet a écrit:
j'essaie de m'y mettre cette am.
koman tu parL tro chébran
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C'est dans des moments comme ça qu'on s’aperçoit du niveau intellectuel de la CJB
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Hugo. a écrit:
Vous êtes tombés sur quoi au fait ?
Aujourd'hui ? Une mamie chinoise qui me parlait anglais comme une russe.
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Poésie, pour moi. Mais je connaissais tous mes plans par coeur. J'ai dû plus travailler pour ce bac de français/SVT que dans toute l'année, question heure de travail.
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Valounet a écrit:
C'est dans des moments comme ça qu'on s’aperçoit du niveau intellectuel de la CJB
Non. Parce que :
Dans la mesure où l’on considère que la raison se définit comme la faculté logique, il va de soi que la façon dont nous concevons la logique et son statut est déterminante pour notre conception des limites de la raison elle-même. Par ailleurs, si la philosophie est vue comme non seulement la discipline qui comporte en elle la réflexion sur la logique et la raison, mais qui se définit aussi comme la pensée rationnelle par excellence, il est évident qu’il y a un cercle entre cette réflexion et celle qui porte sur la nature de la philosophie elle-même. Supposé donc que la dépendance réciproque entre la philosophie et la logique soit essentielle, c’est-à-dire qu’elle découle de leur nature plutôt que de relever de la simple contingence historique, alors, il semble à première vue que cette solidarité puisse s’expliquer d’une manière très naturelle. Définissons en effet la philosophie comme une recherche rationnelle de la vérité qui aurait pour caractéristique par rapport à d’autres sciences l’ambition radicale de découvrir les premières conditions accessibles de toute vérité. Définissons ensuite la logique comme la science des règles régissant le discours vrai. Il s’ensuit immédiatement que la logique et la philosophie doivent se rencontrer et fusionner en tout ou en partie. En effet, que sont les règles logiques, sinon les conditions auxquelles un discours peut être vrai ? Et par conséquent, si leur application produit nécessairement un discours vrai, de telle manière qu’elles définissent même l’ensemble des discours vrais possibles en dessinant la frontière décisive entre le vrai et le faux, alors la logique n’a pas d’autre fin que la philosophie, et la philosophie s’accomplit dans la logique.
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romarofoot a écrit:
Valounet a écrit:
C'est dans des moments comme ça qu'on s’aperçoit du niveau intellectuel de la CJB
Non. Parce que :
Dans la mesure où l’on considère que la raison se définit comme la faculté logique, il va de soi que la façon dont nous concevons la logique et son statut est déterminante pour notre conception des limites de la raison elle-même. Par ailleurs, si la philosophie est vue comme non seulement la discipline qui comporte en elle la réflexion sur la logique et la raison, mais qui se définit aussi comme la pensée rationnelle par excellence, il est évident qu’il y a un cercle entre cette réflexion et celle qui porte sur la nature de la philosophie elle-même. Supposé donc que la dépendance réciproque entre la philosophie et la logique soit essentielle, c’est-à-dire qu’elle découle de leur nature plutôt que de relever de la simple contingence historique, alors, il semble à première vue que cette solidarité puisse s’expliquer d’une manière très naturelle. Définissons en effet la philosophie comme une recherche rationnelle de la vérité qui aurait pour caractéristique par rapport à d’autres sciences l’ambition radicale de découvrir les premières conditions accessibles de toute vérité. Définissons ensuite la logique comme la science des règles régissant le discours vrai. Il s’ensuit immédiatement que la logique et la philosophie doivent se rencontrer et fusionner en tout ou en partie. En effet, que sont les règles logiques, sinon les conditions auxquelles un discours peut être vrai ? Et par conséquent, si leur application produit nécessairement un discours vrai, de telle manière qu’elles définissent même l’ensemble des discours vrais possibles en dessinant la frontière décisive entre le vrai et le faux, alors la logique n’a pas d’autre fin que la philosophie, et la philosophie s’accomplit dans la logique.
Ceci dit, un intellectuel est une personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'esprit, qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, qui n'assume généralement pas de responsabilité directe dans les affaires pratiques, et qui dispose d'une forme d'autorité. L'intellectuel est une figure contemporaine distincte de celle plus ancienne du philosophe qui mène sa réflexion dans un cadre conceptuel. Selon les historiens Pascal Ory et Jean-François Sirinelli, un intellectuel est "un homme du culturel, créateur ou médiateur, mis en situation d’homme du politique, producteur ou consommateur d’idéologie".
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Apprenez à vous exprimer sans faire des pavés, svp.
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Faut j'te dresse à FIFA toi
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J'tattend tout de suite si tu veux.
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J'arrive !
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Valounet a écrit:
Ceci dit, un intellectuel est une personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'esprit, qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, qui n'assume généralement pas de responsabilité directe dans les affaires pratiques, et qui dispose d'une forme d'autorité. L'intellectuel est une figure contemporaine distincte de celle plus ancienne du philosophe qui mène sa réflexion dans un cadre conceptuel. Selon les historiens Pascal Ory et Jean-François Sirinelli, un intellectuel est "un homme du culturel, créateur ou médiateur, mis en situation d’homme du politique, producteur ou consommateur d’idéologie".
Cette position peut être défendue, et elle l’a été d’une manière plus ou moins radicale par plusieurs philosophes, comme Hegel par exemple. Mais une identification aussi immédiate est d’habitude rejetée. On tend plutôt, généralement, à concevoir la logique comme une branche de la philosophie parmi d’autres, ou même comme une discipline distincte. Ainsi, l’idée traditionnelle que la logique est un outil pour les autres sciences, et notamment pour la philosophie elle-même, suggère que les recherches logiques n’ont pas le même objet que celles de la philosophie en général, et qu’elles peuvent être accomplies indépendamment des études qui constituent les autres disciplines philosophiques, telles que l’éthique ou la métaphysique. Pour introduire cette différence, il suffit de modifier les définitions respectives de la philosophie et de la logique. On peut par exemple restreindre la définition de la logique, en ajoutant que la logique n’est pas la science des règles de tout discours vrai, en général, mais uniquement la science des règles formelles des discours vrais. Par cette restriction, on laisse hors de la logique la recherche des conditions matérielles de la vérité. Et de cette manière, sans rien changer à la définition de la philosophie en tant que recherche des conditions de toute vérité, on laisse place en elle, à côté de la logique, à une ou plusieurs disciplines visant ces conditions matérielles, ainsi qu’éventuellement leur coordination avec les conditions formelles.
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romarofoot a écrit:
Valounet a écrit:
Ceci dit, un intellectuel est une personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'esprit, qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, qui n'assume généralement pas de responsabilité directe dans les affaires pratiques, et qui dispose d'une forme d'autorité. L'intellectuel est une figure contemporaine distincte de celle plus ancienne du philosophe qui mène sa réflexion dans un cadre conceptuel. Selon les historiens Pascal Ory et Jean-François Sirinelli, un intellectuel est "un homme du culturel, créateur ou médiateur, mis en situation d’homme du politique, producteur ou consommateur d’idéologie".
Cette position peut être défendue, et elle l’a été d’une manière plus ou moins radicale par plusieurs philosophes, comme Hegel par exemple. Mais une identification aussi immédiate est d’habitude rejetée. On tend plutôt, généralement, à concevoir la logique comme une branche de la philosophie parmi d’autres, ou même comme une discipline distincte. Ainsi, l’idée traditionnelle que la logique est un outil pour les autres sciences, et notamment pour la philosophie elle-même, suggère que les recherches logiques n’ont pas le même objet que celles de la philosophie en général, et qu’elles peuvent être accomplies indépendamment des études qui constituent les autres disciplines philosophiques, telles que l’éthique ou la métaphysique. Pour introduire cette différence, il suffit de modifier les définitions respectives de la philosophie et de la logique. On peut par exemple restreindre la définition de la logique, en ajoutant que la logique n’est pas la science des règles de tout discours vrai, en général, mais uniquement la science des règles formelles des discours vrais. Par cette restriction, on laisse hors de la logique la recherche des conditions matérielles de la vérité. Et de cette manière, sans rien changer à la définition de la philosophie en tant que recherche des conditions de toute vérité, on laisse place en elle, à côté de la logique, à une ou plusieurs disciplines visant ces conditions matérielles, ainsi qu’éventuellement leur coordination avec les conditions formelles.
Dans ta vision, tu parlais de "métaphysique". Mais qu'est-ce ? C'est tout simplement une branche de la philosophie. Elle a aussi pour objet la connaissance de l'être absolu comme première cause, des causes de l'univers et de la nature de la matière. Elle s'attache aussi à étudier les problèmes de la connaissance, de la vérité et de la liberté.
L'ontologie est une branche de la métaphysique qui étudie les propriétés de l'être d'une manière générale, telles que l'existence, la durée, le devenir. Le métaphysicien essaie également de clarifier les notions par lesquelles les gens comprennent le monde ; l'existence, l'objet, la propriété (d'une chose), l'existence ou le concept de Dieu, l'espace, le temps, la causalité, la possibilité.
Avant le développement des sciences modernes, la philosophie de la nature était la seule discipline non subordonnée à la métaphysique ; parce que étude objective de la nature et des principes physiques. Avec l'introduction des démarches empiriques et expérimentales, cette branche a été appelée " science " à partir du xviiie siècle, afin de la distinguer des interrogations spéculatives concernant les sujets non physiques.
PS : Manaje : Chez la MàJ à faire ...
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Moins de gaz !
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Valounet a écrit:
romarofoot a écrit:
Valounet a écrit:
Ceci dit, un intellectuel est une personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'esprit, qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, qui n'assume généralement pas de responsabilité directe dans les affaires pratiques, et qui dispose d'une forme d'autorité. L'intellectuel est une figure contemporaine distincte de celle plus ancienne du philosophe qui mène sa réflexion dans un cadre conceptuel. Selon les historiens Pascal Ory et Jean-François Sirinelli, un intellectuel est "un homme du culturel, créateur ou médiateur, mis en situation d’homme du politique, producteur ou consommateur d’idéologie".
Cette position peut être défendue, et elle l’a été d’une manière plus ou moins radicale par plusieurs philosophes, comme Hegel par exemple. Mais une identification aussi immédiate est d’habitude rejetée. On tend plutôt, généralement, à concevoir la logique comme une branche de la philosophie parmi d’autres, ou même comme une discipline distincte. Ainsi, l’idée traditionnelle que la logique est un outil pour les autres sciences, et notamment pour la philosophie elle-même, suggère que les recherches logiques n’ont pas le même objet que celles de la philosophie en général, et qu’elles peuvent être accomplies indépendamment des études qui constituent les autres disciplines philosophiques, telles que l’éthique ou la métaphysique. Pour introduire cette différence, il suffit de modifier les définitions respectives de la philosophie et de la logique. On peut par exemple restreindre la définition de la logique, en ajoutant que la logique n’est pas la science des règles de tout discours vrai, en général, mais uniquement la science des règles formelles des discours vrais. Par cette restriction, on laisse hors de la logique la recherche des conditions matérielles de la vérité. Et de cette manière, sans rien changer à la définition de la philosophie en tant que recherche des conditions de toute vérité, on laisse place en elle, à côté de la logique, à une ou plusieurs disciplines visant ces conditions matérielles, ainsi qu’éventuellement leur coordination avec les conditions formelles.
Dans ta vision, tu parlais de "métaphysique". Mais qu'est-ce ? C'est tout simplement une branche de la philosophie. Elle a aussi pour objet la connaissance de l'être absolu comme première cause, des causes de l'univers et de la nature de la matière. Elle s'attache aussi à étudier les problèmes de la connaissance, de la vérité et de la liberté.
L'ontologie est une branche de la métaphysique qui étudie les propriétés de l'être d'une manière générale, telles que l'existence, la durée, le devenir. Le métaphysicien essaie également de clarifier les notions par lesquelles les gens comprennent le monde ; l'existence, l'objet, la propriété (d'une chose), l'existence ou le concept de Dieu, l'espace, le temps, la causalité, la possibilité.
Avant le développement des sciences modernes, la philosophie de la nature était la seule discipline non subordonnée à la métaphysique ; parce que étude objective de la nature et des principes physiques. Avec l'introduction des démarches empiriques et expérimentales, cette branche a été appelée " science " à partir du xviiie siècle, afin de la distinguer des interrogations spéculatives concernant les sujets non physiques.
Faut-il donc considérer que la tâche préliminaire à notre recherche soit de trouver les bonnes définitions de la logique et de la philosophie? Pour le savoir, supposons ce travail achevé. Nous aurons alors la vraie définition de la logique et de la philosophie. Avouons que ce résultat sera tout à fait considérable. Car si ces définitions sont les seules vraies, celles qui s’imposent dans l’absolu, nous aurons découvert des notions qui doivent faire le consensus de tous les logiciens et de tous les philosophes. En effet, ou bien tous ceux qui sont reconnus pour tels dans l’histoire s’accorderont sur nos définitions, ou bien nous pourrons éliminer tous ceux qui divergent en tant que faux philosophes ou logiciens, puisque nous posséderons les critères permettant de déterminer la nature de la vraie philosophie et de la vraie logique. Au contraire, si nos définitions ne sont pas exclusives d’autres, alors nous n’éliminons pas le jeu de leurs variations possibles, et l’entreprise était vaine pour notre projet.
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Valounet a écrit:
romarofoot a écrit:
Valounet a écrit:
Ceci dit, un intellectuel est une personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'esprit, qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, qui n'assume généralement pas de responsabilité directe dans les affaires pratiques, et qui dispose d'une forme d'autorité. L'intellectuel est une figure contemporaine distincte de celle plus ancienne du philosophe qui mène sa réflexion dans un cadre conceptuel. Selon les historiens Pascal Ory et Jean-François Sirinelli, un intellectuel est "un homme du culturel, créateur ou médiateur, mis en situation d’homme du politique, producteur ou consommateur d’idéologie".
Cette position peut être défendue, et elle l’a été d’une manière plus ou moins radicale par plusieurs philosophes, comme Hegel par exemple. Mais une identification aussi immédiate est d’habitude rejetée. On tend plutôt, généralement, à concevoir la logique comme une branche de la philosophie parmi d’autres, ou même comme une discipline distincte. Ainsi, l’idée traditionnelle que la logique est un outil pour les autres sciences, et notamment pour la philosophie elle-même, suggère que les recherches logiques n’ont pas le même objet que celles de la philosophie en général, et qu’elles peuvent être accomplies indépendamment des études qui constituent les autres disciplines philosophiques, telles que l’éthique ou la métaphysique. Pour introduire cette différence, il suffit de modifier les définitions respectives de la philosophie et de la logique. On peut par exemple restreindre la définition de la logique, en ajoutant que la logique n’est pas la science des règles de tout discours vrai, en général, mais uniquement la science des règles formelles des discours vrais. Par cette restriction, on laisse hors de la logique la recherche des conditions matérielles de la vérité. Et de cette manière, sans rien changer à la définition de la philosophie en tant que recherche des conditions de toute vérité, on laisse place en elle, à côté de la logique, à une ou plusieurs disciplines visant ces conditions matérielles, ainsi qu’éventuellement leur coordination avec les conditions formelles.
Dans ta vision, tu parlais de "métaphysique". Mais qu'est-ce ? C'est tout simplement une branche de la philosophie. Elle a aussi pour objet la connaissance de l'être absolu comme première cause, des causes de l'univers et de la nature de la matière. Elle s'attache aussi à étudier les problèmes de la connaissance, de la vérité et de la liberté.
L'ontologie est une branche de la métaphysique qui étudie les propriétés de l'être d'une manière générale, telles que l'existence, la durée, le devenir. Le métaphysicien essaie également de clarifier les notions par lesquelles les gens comprennent le monde ; l'existence, l'objet, la propriété (d'une chose), l'existence ou le concept de Dieu, l'espace, le temps, la causalité, la possibilité.
Avant le développement des sciences modernes, la philosophie de la nature était la seule discipline non subordonnée à la métaphysique ; parce que étude objective de la nature et des principes physiques. Avec l'introduction des démarches empiriques et expérimentales, cette branche a été appelée " science " à partir du xviiie siècle, afin de la distinguer des interrogations spéculatives concernant les sujets non physiques.
PS : Manaje : Chez la MàJ à faire ...
Ok. ^^
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romarofoot a écrit:
Faut-il donc considérer que la tâche préliminaire à notre recherche soit de trouver les bonnes définitions de la logique et de la philosophie? Pour le savoir, supposons ce travail achevé. Nous aurons alors la vraie définition de la logique et de la philosophie. Avouons que ce résultat sera tout à fait considérable. Car si ces définitions sont les seules vraies, celles qui s’imposent dans l’absolu, nous aurons découvert des notions qui doivent faire le consensus de tous les logiciens et de tous les philosophes. En effet, ou bien tous ceux qui sont reconnus pour tels dans l’histoire s’accorderont sur nos définitions, ou bien nous pourrons éliminer tous ceux qui divergent en tant que faux philosophes ou logiciens, puisque nous posséderons les critères permettant de déterminer la nature de la vraie philosophie et de la vraie logique. Au contraire, si nos définitions ne sont pas exclusives d’autres, alors nous n’éliminons pas le jeu de leurs variations possibles, et l’entreprise était vaine pour notre projet.
Le thème de ce séminaire est la question de la nature de la communication de la philosophie, c’est-à-dire de la manière dont une philosophie peut être communiquée par son auteur ou celui qui la possède d’une façon quelconque à celui qui désire la connaître. Cette question suppose que la manière habituelle dont le sens commun comprend les deux termes de communication et de philosophie peut provoquer une difficulté lorsqu’on les rapporte l’un à l’autre. Pour autant, cette présupposition n’implique pas une réponse déterminée. Il se pourrait que les difficultés ne soient qu’apparentes et que les conceptions du sens commun se confirment, c’est-à-dire que la philosophie se communique sans problèmes comme d’autres formes de connaissances. Ou au contraire, la difficulté peut s’avérer réelle, et alors il s’agit de chercher à comprendre d’où elle vient. Il faut trouver alors dans la nature de ce qui doit se communiquer en philosophie les raisons pour lesquelles la transmission habituelle ne convient pas dans ce cas.
Cette question renvoie évidemment au contexte de celles qui se posent à propos des discours de la philosophie en général. On comprend en effet que la communication dépende de la forme du discours utilisé, et qu’inversement les exigences de la communication commandent certaines formes de discours et en excluent d’autres. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le discours philosophique peut constituer un thème de réflexion de la philosophie. D’abord, en tant que la philosophie se communique, elle a besoin d’un véhicule approprié, comme toute science d’ailleurs. Dans ce cas, la question de la spécificité du discours philosophique renvoie à celle de la spécificité de la philosophie elle-même. Mais, inversement, nous abordons concrètement la philosophie par son expression, dans le discours, de sorte que la nature du discours philosophique est déterminante pour notre façon de concevoir la philosophie. Enfin, il n’est pas exclu que la philosophie et son discours ne soient que deux faces d’une seule et unique réalité, de sorte que tous les deux se comprennent ensemble.
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Je passe en terminale mais avec un travail de vacances en Math, fuck.
Romy & Maiden > J'ai regardé de la politique à la TV, vous pouvez être fier de moi ! C'était Marine Le Pen aussi, les autres ils disent de la merde.
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Valounet a écrit:
romarofoot a écrit:
Faut-il donc considérer que la tâche préliminaire à notre recherche soit de trouver les bonnes définitions de la logique et de la philosophie? Pour le savoir, supposons ce travail achevé. Nous aurons alors la vraie définition de la logique et de la philosophie. Avouons que ce résultat sera tout à fait considérable. Car si ces définitions sont les seules vraies, celles qui s’imposent dans l’absolu, nous aurons découvert des notions qui doivent faire le consensus de tous les logiciens et de tous les philosophes. En effet, ou bien tous ceux qui sont reconnus pour tels dans l’histoire s’accorderont sur nos définitions, ou bien nous pourrons éliminer tous ceux qui divergent en tant que faux philosophes ou logiciens, puisque nous posséderons les critères permettant de déterminer la nature de la vraie philosophie et de la vraie logique. Au contraire, si nos définitions ne sont pas exclusives d’autres, alors nous n’éliminons pas le jeu de leurs variations possibles, et l’entreprise était vaine pour notre projet.
Le thème de ce séminaire est la question de la nature de la communication de la philosophie, c’est-à-dire de la manière dont une philosophie peut être communiquée par son auteur ou celui qui la possède d’une façon quelconque à celui qui désire la connaître. Cette question suppose que la manière habituelle dont le sens commun comprend les deux termes de communication et de philosophie peut provoquer une difficulté lorsqu’on les rapporte l’un à l’autre. Pour autant, cette présupposition n’implique pas une réponse déterminée. Il se pourrait que les difficultés ne soient qu’apparentes et que les conceptions du sens commun se confirment, c’est-à-dire que la philosophie se communique sans problèmes comme d’autres formes de connaissances. Ou au contraire, la difficulté peut s’avérer réelle, et alors il s’agit de chercher à comprendre d’où elle vient. Il faut trouver alors dans la nature de ce qui doit se communiquer en philosophie les raisons pour lesquelles la transmission habituelle ne convient pas dans ce cas.
Cette question renvoie évidemment au contexte de celles qui se posent à propos des discours de la philosophie en général. On comprend en effet que la communication dépende de la forme du discours utilisé, et qu’inversement les exigences de la communication commandent certaines formes de discours et en excluent d’autres. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le discours philosophique peut constituer un thème de réflexion de la philosophie. D’abord, en tant que la philosophie se communique, elle a besoin d’un véhicule approprié, comme toute science d’ailleurs. Dans ce cas, la question de la spécificité du discours philosophique renvoie à celle de la spécificité de la philosophie elle-même. Mais, inversement, nous abordons concrètement la philosophie par son expression, dans le discours, de sorte que la nature du discours philosophique est déterminante pour notre façon de concevoir la philosophie. Enfin, il n’est pas exclu que la philosophie et son discours ne soient que deux faces d’une seule et unique réalité, de sorte que tous les deux se comprennent ensemble.
Baba t'as piraté ton compte FL ?
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Mdr.
Ayez une minute de silence pour Manaje svp. Qui vient de perdre 7-2 contre moi à FIFA.
Dernière modification par Valounet (23-06-2011 22:41:17)
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fichage politique
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Qu'est ce qu'on se marre.
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