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Editeur:Ubisoft
Développeur:Ubisoft
Type:Action / Infiltration
Sortie France:18 novembre 2010
classification:Déconseillé aux - de 18 ans
Support:XBOX360,PS3,PC
Les personages:
Ezio auditoré
Multijoueur:
La courtisane
Le boureau
Le rodeur
Le medecin
Aperçu:
Si ce nouvel épisode de la saga Assassin’s Creed est attendu, c’est non seulement pour son aventure en solo prometteuse mais aussi – et surtout – pour ses parties multijoueurs, une première dans la série.
Lorsqu'au début d’Assassin’s Creed II le héros contemporain Desmond Miles s’échappe des locaux de la société Abstergo, il remarque au passage la présence de salles contenant de nombreux animus. Cette séquence n’était pas là par hasard car elle légitime aujourd’hui le multi de Brotherhood. Ainsi, les joueurs incarnent les employés d’Abstergo qui doivent s’entraîner à l’art du meurtre pour pouvoir affronter les assassins. Tous les éléments constituant l’intérêt du jeu en solo se retrouvent dans le multi (les 8 maps disponibles, issues de l’aventure principale, ont toutefois été retravaillées et redimensionnées), à la différence qu’ici non seulement vous devez assassiner un joueur mais vous êtes aussi la proie d’un (ou de plusieurs) autre joueur…
Au total, il y a 17 personnages disponibles, parmi lesquels 8 ont été révélés : prêtre, médecin, rôdeur, noble, courtisane, bourreau, ingénieur et contrebandier. S’ils ont un comportement de base identique dans le jeu (même vitesse de déplacement par exemple), en revanche ils offrent des animations bien spécifiques, notamment lors de l’assassinat de leur cible. Chacun possède sa propre arme (hache, épée, couteau…) et demeure personnalisable visuellement de 6 manières différentes au niveau de la couleur et des accessoires. Mais surtout, il est possible de customiser son personnage à l’aide de 12 capacités (Abilities). Il en existe deux sortes : les capacités permanentes qu’on garde pendant toute la session de jeu et les capacités activables auxquelles on ne peut plus avoir accès pendant un certain temps après utilisation. Parmi ces dernières, on recense le Déguisement temporaire, l’Accélération qui offre la possibilité de courir rapidement pendant un bref laps de temps, le Poignard de lancer qui vous ralentit drastiquement s’il vous touche, ou encore la Bombe fumigène, le Pistolet et le Poison. Ce dernier est l’arme ultime de l’assassin puisqu’il faut aller au contact de sa cible sans se faire repérer pour l’administrer (celle-ci va mourir une poignée de secondes plus tard sans même savoir qui l’a tuée). Sans oublier le Morph qui donne brièvement notre apparence à tous les individus alentour et la Vision des Templiers qui permet de discerner ses poursuivants en rouge et sa cible en bleu. A noter que chaque capacité peut être améliorée trois fois, grâce aux points acquis à la fin de chaque partie. Concrètement, l’Accélération dure alors plus longtemps ou la Bombe fumigène offre un rayon d’action plus large.
En plus des capacités, le joueur peut recourir à des atouts (Perks). Il y en a 8 au total que l’on débloque progressivement en accumulant des points et en franchissant automatiquement les niveaux (le niveau maximum possible d’un personnage est 50). Comme pour les capacités, on les sélectionne à chaque début de session ou après s’être fait assassiner, avant de revenir dans la partie. Parmi ces dernières, il faut retenir par exemple celle intitulée Acrobate qui permet de courir plus longtemps sur les murs. Ou, plus amusante, cette autre qui, lorsqu’on est situé au milieu d’un groupe de gens, donne notre apparence à un des individus alentour et le fait courir instantanément comme un fuyard, histoire de focaliser l’attention du poursuivant sur lui. Enfin, il y a les Séries de victimes (Kill Streaks) qui sont en quelque sorte des paris qu’on se lance avant la session de jeu. Plus on choisit une Série de victime difficile à faire (tuer trois joueurs à la suite par exemple) et plus on aura un bonus de points conséquent. En contrepartie, histoire de ne pas décourager les joueurs malchanceux (ou les mauvais, au choix), il y a les Séries d’échec (Lose Streaks). Grosso modo, quand on perd plusieurs fois sa cible ou qu’on se fait tuer de nombreuses fois d’affilée, on récupère une capacité supplémentaire pour aider à revenir au score.
Le multi de Brotherhood propose 8 maps qui paraissent assez variées puisqu’on y trouve des extérieurs et intérieurs urbains ou campagnards, petits ou grands, sombres ou éclairés, avec des rues étroites ou larges... Trois maps esthétiquement très réussies étaient accessibles : des quartiers de Rome et Sienne ainsi que le Castle Gandolfo, un dédale très peuplé de salles et de couloirs. Aux traditionnelles caches disponibles (buisson, bottes de foin…), il faut ajouter la possibilité de s’asseoir tranquillement sur un banc. Mine de rien, cette planque est très efficace quand on est entouré par la foule qui contient forcément des personnages possédant une skin identique à la nôtre. Chaque map propose aussi des éléments interactifs appelés Chase Breakers. Ceux-ci se manifestent, par exemple, sous la forme d’une corde reliée à une poulie qui permet de grimper en un éclair sur un toit. Ou des portes qui se referment automatiquement derrière soi après notre passage (uniquement quand on court à travers). Dès lors que vous utilisez un Chase Breaker, une brève cinématique se déclenche montrant l’action. Cela permet évidemment d’accroître la distance entre votre assassin et vous, et donc littéralement de casser la poursuite. Au total, le jeu devrait contenir 4 modes multi mais, pour l’heure, seuls 2 ont été montrés. Outre un tutoriel très utile pour saisir les bases et les subtilités du gameplay, le joueur peut d’abord pratiquer le mode Traque, accessible jusqu’à 8 individus. Ici, chaque joueur a un autre joueur à assassiner et demeure lui-même la proie d’un ou de plusieurs autres participants. Le second mode disponible est Alliance qui offre de jouer en coopération, par binôme, au cours de 2 rounds de 5 minutes chacun. Accessible de 4 à 8 joueurs au maximum, celui-ci vous propose de former des équipes de deux joueurs (votre coéquipier a le même type de personnage que vous). Le but est que chaque membre du duo tue sa propr
e cible. Mais, pour davantage de fun, il est aussi possible d’assassiner la cible de son collègue…
Concrètement, sur le terrain, il faut se baser sur deux éléments pour repérer sa cible. Primo : son portrait affiché dans le contrat (mais gare aux sosies !). Secundo : une sorte de boussole circulaire sur laquelle un indicateur bleu grossit au fur et à mesure que vous vous rapprochez d’elle. La boussole s’illumine complètement dès lors que vous vous retrouvez dans le champ de vision de votre cible. Puis, lorsque vous êtes vraiment à proximité, une touche apparaît à l’écran. Il faut alors la presser pour accomplir automatiquement l’assassinat qui se manifeste par une brève cinématique dotée d’une mise en scène souvent spectaculaire. En parallèle, vous possédez une jauge de détection qui se vide rapidement si vous n’êtes pas assez discret. Si c’est le cas – signe que le joueur cible vous a vu - une course-poursuite en temps limité s’engage automatiquement. Vous n’avez alors qu’une poignée de secondes pour le rattraper et le tuer. Si vous n’y arrivez pas, votre contrat, non respecté, est donc brisé, tout comme lorsque vous vous trompez de cible et tuez un innocent. Mais la partie ne s’arrête pas pour autant car on vous assigne une nouvelle cible un instant plus tard. Évidemment, cette perte de temps est préjudiciable à votre score final puisque vous n’avez gagné aucun point. Le fait de ne pas pouvoir tuer son assassin mais simplement de devoir fuir est un parti pris des développeurs qui veulent éviter ainsi que les parties ressemblent à des Deathmatchs basiques. Cela dit, on peut tout de même humilier son poursuivant : il suffit de le repérer puis de le surprendre en pressant une touche lorsqu’on est à côté de lui. Non seulement le tueur est ridiculisé via une action spéciale (claques derrière les oreilles, croche-pied…), mais surtout vous annulez directement son contrat et donc vous vous débarrassez de lui en un seul coup. Attention, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire ! Et il est nécessaire de s’y reprendre plusieurs fois avant d’y parvenir. Mais le résultat en vaut vraiment la chandelle, notamment dans des conditions particulières. Ainsi, accomplir ce geste alors que vous avez quatre tueurs aux trousses (le comble de la tension !) relève de la bravoure et vous récompense logiquement d’une flopée de points…
C’est justement grâce aux points que vous pouvez faire évoluer votre personnage. Il est d’ailleurs possible d’en gagner de plusieurs manières : quand on tue sa cible bien sûr mais aussi lorsqu’on échappe à ses poursuivants ou qu’on accomplit des actions spécifiques. A ce titre, on peut noter des récompenses aux noms évocateurs tels que First Blood (on est le premier de la session à commettre un assassinat), Double Kill (avec son partenaire, on tue les deux cibles en même temps), Revenge (on tue un joueur qui nous a tué auparavant) ou encore Triple Escape (on arrive à se débarrasser de trois poursuivants). Il y a aussi des bonus de points selon la variété des meurtres que l’on effectue. Bien entendu, plus vous marquez de points et plus votre personnage change de niveau rapidement et débloque donc de nouvelles capacités. Au final, ce mélange d’éléments classiques et d’idées originales adapté au multi devrait à coup sûr constituer un des atouts de Brotherhood.
Si Ezio croyait pouvoir couler des jours paisibles après ses déboires dans Assassin's Creed 2, c'est raté. Alors que la guerre entre les Assassins et les Templiers se poursuit, une autre commence, celle d'Ezio Auditore contre le clan Borgia.
C'est à peine quelques mois après les événements du volet précédent que se déroule cet Assassin's Creed Brotherhood. Pour Ezio, l'heure est à la récréation, l'assassin fort d'une réputation incontestable a rejoint sa villa personnelle dans laquelle il souhaitait prendre un peu de repos. Las, Cesare Borgia ne l'entend pas de cette oreille et compte bien mettre fin à la vie du Maître Assassin. Pour ce faire, il ne lésine pas sur les moyens et attaque la ville fortifiée du clan Auditore avec une petite armée comprenant des tours d'assaut et des catapultes. Cette première phase d'introduction musclée voit la villa en prendre plein les moellons et nous donnera l'occasion de prendre les commandes d'un canon afin de ralentir la progression des forces ennemies dans le seul but de permettre à nos citoyens de prendre la fuite. C'est également pour Ubisoft le moment d'expliquer que cet épisode comprendra quantité de ces "moments mémorables" destinés à rythmer la progression, à l'image de la séquence en aile volante du second volet. Une emphase qui devrait faire d'Assassin's Creed Brotherhood un jeu à grand spectacle.
Malgré sa bonne volonté évidente, Ezio ne pourra toutefois pas empêcher les Borgia de pénétrer ses murs, le contraignant à en venir aux mains. Ce qui nous permet de constater les changements apportés au système de combat, en premier lieu, l'IA se montre plus agressive. Si elle avait auparavant tendance à nous laisser porter nos coups sur un adversaire sans que les autres ne viennent s'en mêler, elle n'hésitera plus à présent à nous frapper lâchement dans le dos, contraignant le joueur à plus de prudence et surtout à plus d'initiative. De nouveaux mouvements font également leur apparition, comme le lancer d'armes lourdes, illustré ici par un joli jeté de hache préalablement dérobée à un soldat en armure. A noter aussi l'arrivée du gunblade, une arme à feu dissimulée dans la manche d'Ezio qui peut être combinée avec les frappes à l'épée via un système de combos fort élégant. Il n'y a d'ailleurs pas que le combat qui profite de l'arrivée de mouvements inédits, le free running se voit lui aussi enrichi, notamment par le système dit des ascenseurs grâce auquel Ezio peut utiliser les poulies destinées à soulever de lourdes charges pour se propulser dans les airs et atteindre plus rapidement un point en hauteur. Et pourtant, Ezio ne parviendra pas à éviter le pire et devra regarder impuissant Cesare Borgia entrer dans sa ville et tuer son oncle Mario. Et voilà que le Maître Assassin tombe dans les pommes.
Un évanouissement transformé en ellipse et après lequel nous retrouvons Ezio à Rome, ville dans laquelle il espère régler ses comptes. Dans ce but, il lui faudra recruter des citoyens mécontents de la gestion des Borgia et en faire des assassins, en somme créer sa propre confrérie. C'est là qu'entre en scène le système BAM, pour Brotherhood Assistance Move. Perché sur un toit, face à un arquebusier venu remplacer les archers, Ezio n'a qu'à faire un geste de la main pour faire appel à un de ses disciples qui se chargera de bondir sur le gêneur pour lui planter une lame dans le dos avant de repartir vaquer à ses occupations. Plus loin, constatant que sa route est barrée par une patrouille, ce même mouvement de la main fait s'abattre une pluie de flèches sur les soldats, ce qui aura pour effet de libérer le chemin menant Ezio à sa cible, une figure religieuse. Une fois dans l'église, on aperçoit en effet ladite cible, ainsi que 4 assassins en position sur un rebord au niveau du plafond. Quatre assassins pour autant de gardes dans lesquels planter sa lame. Il ne reste plus qu'à utiliser l'une des nouvelles armes du jeu, l'arbalète, pour en finir avec la cible. C'est joli, efficace, intéressant mais pour savoir exactement comment les ordres préalables sont donnés, il faudra attendre.
Évidemment, dans la vie d'un Assassin, tout a un prix. Si vous tenez à profiter de disciples talentueux, il faudra leur apporter quelques upgrades. Pour cela, vous devrez distribuer des points de compétence avec justesse et surtout les envoyer en mission à travers l'Europe, missions dont ils reviendront forts de nouvelles aptitudes... à condition qu'ils reviennent. Gare à vous en effet si vous décidez d'envoyer un confrère remplir une mission au Danemark sans qu'il en soit vraiment capable, car s'il échoue, il meurt, et il meurt pour de bon, pas de résurrection possible. Passe encore s'il s'agit d'un débutant, mais la chose sera nettement plus désagréable si c'est un disciple déjà bien formé qui part au casse-pipe. Il faudra se montrer sage et prudent.
Mon impression:
Même si tout ne nous pas été dévoilé, on peut d’ores et déjà confirmer que, grâce à leur richesse, leurs éléments originaux et leur respect extrême de la saga, les modes multi de Brotherhood représentent une véritable valeur ajoutée à l’aventure principale. D’autant qu’ils semblent réussir le compromis entre accessibilité immédiate pour le grand public, via un gameplay bien étudié, et une bonne durée de vie pour les joueurs plus hardcore, via les nombreux défis à relever (on parle même de 75 challenges supplémentaires). Bref, ça sent plutôt bon !
Dernière modification par BalfarE (16-10-2010 00:01:00)
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Quelque image du jeu
Dernière modification par BalfarE (15-10-2010 23:42:33)
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Vous pouvez postez
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Jolie topic mon jeanjean ..
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merci
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La béta est deja sorti sur la ps3 mais S'il est toujours attendu le 18 novembre sur PS3 et Xbox 360, Assassin's Creed Brotherhood prend discrètement du retard sur PC, c'est ce qu'on apprend à la fin de l'annonce des détails de la bêta multi du titre. Et les joueurs PC n'ont pas fini de grogner puisque cette version est repoussée à un vague "premier trimestre 2011". Heureux ?
assasin creed's brotherhood n'aura pas droit à deux, mais carrément à trois éditions spéciales. Oui enfin si on veut puisqu'on vous rappelle que l'édition collector dont nous vous parlions dans cette news sera uniquement disponible aux US. De fait, en plus de la version Codex, une version Auditore sera également disponible en Europe. Les joueurs y trouveront des cartes à collectionner des personnages multijoueurs, le DVD du court-métrage Lineage, une map en solo et une armure pour Ezio.
Dernière modification par BalfarE (15-10-2010 23:39:34)
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J'avais déjà fais un topic.
Mais bon , gardez celui-ci.
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ok dsl
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Je l'acheterai ainsi que Black ops , ca promet !!
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Je ne pourrais pas attendre jusqu'à noël moi.
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Je tiens à préciser à l'auteur du topic que la langue française a une particularité, c'est bien ce bonhomme: "é".
Sinon, je me le prend dès sa sortie, pas moyen autrement. J'ai jamais autant attendu un AC.
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Non moi j'ai le 2 et sérieux les Graphismes du 3 ont aucunes améliorations , Mais sur le 3 on peu faire
plus d'action et on a s'en doute + d'arme , Après les personnages ont été modifié mais ressemble quand même au
2 , je vais peut être l'avoir mais pas sur car préfère avoir Black Ops avant
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Ils font ièch sur le Store, y a pas de démo pour tester. ^^
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Mike. a écrit:
Non moi j'ai le 2 et sérieux les Graphismes du 3 ont aucunes améliorations , Mais sur le 3 on peu faire
plus d'action et on a s'en doute + d'arme , Après les personnages ont été modifié mais ressemble quand même au
2 , je vais peut être l'avoir mais pas sur car préfère avoir Black Ops avant
Le trois n'est pas pour tout de suite
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Désolé mais pour Assasins Creed's Brotherwood sa ne change pas du 2 ( Pas beaucoup )
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Mike. a écrit:
Désolé mais pour Assasins Creed's Brotherwood sa ne change pas du 2 ( Pas beaucoup )
Bah si, déjà rien que de savoir qu'il y a un mode multijoueur ça change beaucoup !
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"Brotherwood" ? euuuh... nan nan, "Brotherhood".
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Il gère trop ...
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Le multi a l'air dingue. ^^
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http://image.jeuxvideo.com/images/x3/a/ … 60-014.jpg ..
Ils doivent s'être inspirer de Batman.
J'espère que je vais l'avoir.
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Ce personnage était déjà présent dans le II.
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