Foot-Land - jeu de foot fun et convivial

rebellebob a écrit:

Ok je comprends^^Tu seras où?

tribune de face

Nord (c'était ça ou face ou honneur... 'Fin je pouvais pas Virage sud^^) Bas côté Honneur.

Triaud doit le voir pour prolonger.
Chacun sa version.

Oui, il a tout simplement été énorme ces derniers temps...

Ouais, espèrons que je notre soit le bon^^
J'ai confiance en lui!

Il y a un péno accordé à l'OL contre Lille aussi...vraiment tres limite. 

Foot - Science
Pourquoi Bordeaux rate ses pénos


Une étude menée par des psychologues de l'université d'Exeter (sud-ouest de l'Angleterre) peut expliquer pourquoi Bordeaux a manqué ses quatre derniers penalties* et avance des arguments scientifiques susceptibles d'aider les Girondins à mieux réussir dans cet exercice en 2010. La conclusion des chercheurs est que lorsque les tireurs de penalty sont en état de stress, ils ont tendance à fixer plus tôt et plus longtemps le gardien de but, ce qui les conduit inconsciemment à tirer dans sa direction et à augmenter la fréquence des arrêts. Les résultats de l'étude sont publiés dans le numéro de décembre du respectable Journal of Sport and Exercise Psychology.
Lunettes spéciales

Pour parvenir à sa conclusion, Greg Wood, le coordinateur de l'étude, s'est livré à une expérience avec quatorze joueurs de l'équipe de l'université. Il les a équipé de lunettes spéciales détectant la direction du regard et leur a fait tirer deux séries de penalties. La première fois en leur demandant simplement de faire pour le mieux, la seconde en les prévenant que leurs résultats seraient comparés à ceux des autres tireurs et que le meilleur d'entre eux empocherait un prix de 50 livres (55 euros). Dans la deuxième situation, plus stressante, les cobayes ont effectivement regardé davantage le gardien et tiré plus souvent dans sa direction.
Tir de fléchettes

«La recherche prouve que la stratégie optimale pour réussir un penalty est de sélectionner une cible et de la viser, sans jamais tenir compte du gardien, résume le chercheur qui conseille de s'entraîner. La répétition amène le joueur à coordonner plus rapidement son mouvement oculaire et son tir, qui est du coup plus précis», explique-t-il, ajoutant à l'attention des entraîneurs : «L'idée qu'il est impossible de recréer à l'entraînement le stress d'un match ne doit pas servir de prétexte pour ne pas s'exercer. Après tout, d'autres sportifs de haut niveau s'entraînent à viser aux fléchettes, au billard ou au golf pour les mêmes raisons. Ces qualités (de précision) sont ainsi enracinées pour rester efficaces sous la pression.»

* Contre Auxerre et Montpellier en L1, deux contre le Bayern Munich en Ligue des champions. Yoann Gourcuff a raté deux de ses penalties (contre le Bayern et Montpellier).


^^

En cette période de fêtes, la rédaction de Francefootball.fr revient pour vous sur les événements marquants de 2009. Gros plan sur l'irrésistible ascension de Bordeaux. Après avoir débuté l'année en embuscade, les Girondins de Bordeaux l'ont achevée, trois titres à la clé, avec une maîtrise quasi-totale sur le Championnat de France. Cette équipe est historique, et rien ne laisse penser qu'elle va s'arrêter là. (Photos Presse-Sports)

Il fallait bien que la série s'arrête un jour. Après avoir avalé comme un ogre la Ligue 1 durant sept saisons consécutives, l'Olympique Lyonnais a dû se rendre à l'évidence, et laisser échapper la gloire du titre de champion de France. Et quel meilleurs successeurs pouvait-il trouver que ces Girondins de Bordeaux qui ont traversé cette fin de décennie, et plus particulièrement l'année 2009, comme un éclair ? Pourtant, l'hiver n'avait pas franchement réussi aux hommes de Laurent Blanc, éliminés en Coupe de France comme en Coupe de l'UEFA, et défaits à Marseille en Championnat. Pas de quoi faire naître des ambitions démesurées chez le dauphin de l'OL en 2008, surtout après une sévère rouste encaissée à Toulouse (0-3).

Au soir de cette 27e journée, Bordeaux est cinquième de L1, à six points des Lyonnais. Mais c'est finalement ce lourd revers qui va définitivement lancer les Girondins vers les sommets. Les onze dernières journées seront alors autant de démonstrations de la puissance, de l'abnégation et de la maturité du collectif girondin. Sans forcément mettre en pratique leur jeu séduisant, mais toujours fidèles aux principes de leur entraîneur, les Bordelais ont enchaîné onze victoires consécutives jusqu'à la fin du Championnat, pour pouvoir enlever leur sixième couronne nationale !

Quatorze victoires consécutives en L1 !
Entre les succès dantesques (3-2 à Rennes, 2-1 à Valenciennes, 3-2 face au Mans), celui forcément décisif face à Lyon, le 19 avril (1-0), est venu apporter la dernière touche de crédibilité nécessaire aux hommes de Laurent Blanc. Claude Puel aimait à souligner que, bien qu'éliminé de la course au titre, l'OL avait l'occasion de «choisir son successeur». Il l'a fait, s'imposant quelques semaines plus tard à Marseille. Un hasard ? Certainement pas. Car si elle n'a pas démérité à Chaban-Delmas, l'équipe lyonnaise a néanmoins pu se rendre compte à quel point la maîtrise tactique, la fluidité du collectif et la détermination avaient changé de camp en une saison.

Il était bel et bien impossible de stopper ces Girondins - qui attendront tout de même le mois de mai pour avouer leur ambition -, lancés plein gaz vers un titre qui échappait au club au scapulaire depuis dix ans, et la génération des Micoud, Wiltord, Laslandes et autres Benarbia. Eux aussi ont vite compris qu'ils auraient -enfin- des successeurs de grande dimension. Et ce chiffre, ce record national égalé de onze victoires d'affilée en Championnat, a fait définitivement entrer ce Bordeaux grand cru dans l'histoire. Le total s'élèvera même finalement à quatorze en début de saison suivante, à seulement trois succès du record européen de l'Inter Milan.

Gourcuff-Chamakh, duo d'enfer
Une équipe historique, donc, un collectif parfaitement au point, mijoté par le duo Blanc-Gasset, mais aussi et surtout des révélations. Ou plutôt des caps franchis, avalés même, par deux éléments clés du champion de France 2009 : Yoann Gourcuff et Marouane Chamakh. Les deux compères ont semblé marcher sur l'eau au printemps, signant huit des treize buts inscrits par les Girondins lors des six dernières journées 2008/09. Sur l'ensemble de l'année civile, les chiffres sont encore plus éloquents : Dix-sept buts inscrits pour Chamakh, seize pour Gourcuff, toutes compétitions confondues, agrémentés de dix passes décisives pour le Français, et cinq pour le Marocain. Vous avez dit décisifs ? Porté par son duo de choc, rassuré par une quinté défensif (Chalmé-Planus-Diawara puis Ciani-Trémoulinas-Diarra) sans faille, Bordeaux a survolé l'année, c'est un fait.

Le club aquitain a également franchi un vrai palier en Ligue des champions, écrasant son groupe en récoltant seize points sur dix-huit possibles. Au-delà du titre de champion, de la Coupe de la Ligue et du Trophée des Champions, l'impression laissée par les Girondins après une rencontre est quasiment toujours la même : ces joueurs maîtrisent parfaitement leur sujet, connaissent leurs points forts, mais aussi les points faibles de leurs adversaires. Et leurs ambitions augmentent à mesure que les victoires s'accumulent. Sur cinquante et une rencontres officielles en 2009, ils en ont d'ailleurs remportées trente-sept, soit 72,5%. Et on ne voit pas comment 2010 pourrait s'avérer bien différent. Reste maintenant à poursuivre le chef d'oeuvre, sur la scène nationale comme sur la scène européenne.

Voilà qui résume bien la supériorité bordelaise sur cette année 2009.

Dernière modification par Minou33 (31-12-2009 15:19:10)

Allez Bordeaux.
C'est simple.

Minou33 a écrit:

aulelyon a écrit:

Foot - Science
Pourquoi Bordeaux rate ses pénos


Une étude menée par des psychologues de l'université d'Exeter (sud-ouest de l'Angleterre) peut expliquer pourquoi Bordeaux a manqué ses quatre derniers penalties* et avance des arguments scientifiques susceptibles d'aider les Girondins à mieux réussir dans cet exercice en 2010. La conclusion des chercheurs est que lorsque les tireurs de penalty sont en état de stress, ils ont tendance à fixer plus tôt et plus longtemps le gardien de but, ce qui les conduit inconsciemment à tirer dans sa direction et à augmenter la fréquence des arrêts. Les résultats de l'étude sont publiés dans le numéro de décembre du respectable Journal of Sport and Exercise Psychology.
Lunettes spéciales

Pour parvenir à sa conclusion, Greg Wood, le coordinateur de l'étude, s'est livré à une expérience avec quatorze joueurs de l'équipe de l'université. Il les a équipé de lunettes spéciales détectant la direction du regard et leur a fait tirer deux séries de penalties. La première fois en leur demandant simplement de faire pour le mieux, la seconde en les prévenant que leurs résultats seraient comparés à ceux des autres tireurs et que le meilleur d'entre eux empocherait un prix de 50 livres (55 euros). Dans la deuxième situation, plus stressante, les cobayes ont effectivement regardé davantage le gardien et tiré plus souvent dans sa direction.
Tir de fléchettes

«La recherche prouve que la stratégie optimale pour réussir un penalty est de sélectionner une cible et de la viser, sans jamais tenir compte du gardien, résume le chercheur qui conseille de s'entraîner. La répétition amène le joueur à coordonner plus rapidement son mouvement oculaire et son tir, qui est du coup plus précis», explique-t-il, ajoutant à l'attention des entraîneurs : «L'idée qu'il est impossible de recréer à l'entraînement le stress d'un match ne doit pas servir de prétexte pour ne pas s'exercer. Après tout, d'autres sportifs de haut niveau s'entraînent à viser aux fléchettes, au billard ou au golf pour les mêmes raisons. Ces qualités (de précision) sont ainsi enracinées pour rester efficaces sous la pression.»

* Contre Auxerre et Montpellier en L1, deux contre le Bayern Munich en Ligue des champions. Yoann Gourcuff a raté deux de ses penalties (contre le Bayern et Montpellier).


^^

Comment bien rigoler!
C'est comme celà que je qualifierai cet article.
Rien n'est prouver par ce chercheur qui prend des "cobayes" non profesionnels qui plus est donc d'aucune valeur.
D'ailleurs si on reprend les pénaltys manquaient pas Cavenaghi (à Auxerre),Jussié(le 2è contre le Bayern) et Gourcuff (1er pénalty contre le Bayern et celui de Montpellier),deux sont totalement chier par une glissade,un dont le tireur(Gourcuff) n'est pas encore capable d'exécuter ce geste(une panenka) à ce niveau-là (Ligue des Champions) et le dernier est arrêté par un des meilleurs gardiens au monde donc franchement je ne vois pas où est le problème et ceci n'explique pas forcément celà.

Ce n'est pas parce que un gardien est un de meilleur du monde qu'il sait arrêter des penos.
C'est surtout un facteur chance de plonger du bon coté et d'enlever le ballon.
^^

Bonne année aux Bordelais ! 

Bonne année à tous les Girondins

Bonne année aux Juventusiens aussi