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Euh, qu'as tu ?
Dans ton style ne veut pas exactement la même chose, surtout que ce sera pas sa du tout, juste le style d'écriture.
Et pourquoi je me referais pas une nouvelle story richard ?
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Rafa. a écrit:
Euh, qu'as tu ?
Dans ton style ne veut pas exactement la même chose, surtout que ce sera pas sa du tout, juste le style d'écriture.
Et pourquoi je me referais pas une nouvelle story richard ?
Si c'est pour faire une nouvelle story et reprendre un concept, ça ne sert à rien, tout le monde continuera de lire le créateur de ce concept et ignorera l'autre, c'est aussi simple que ça.
À la base on fait des stories pour se faire plaisir, mais voir tout le monde se ramener sans réfléchir et reprendre un "concept" ou un "style d'écriture", ça enlève le plaisir, voila tout. Fais-toi une story, aucun soucis, mais par pitié, trouve ton propre style.
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Tu n'as pas compris, je ne suis pas un plagieur, je fais une story parce que sa me détend, concernant le style de la story, ne tinquiete pas
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Marshall_ a écrit:
Petite question nath, tu te sers du Génie Scout dans ta partie ?
Bien sûr que non, Football Manager est déjà un jeu assez simple comme ça. ^^
Pour ce qui est du côté écrit, et récit de la story de Rafa., je n'ai pas non plus inventé l'eau chaud, beaucoup d'autres l'ont fait avant moi.
Après tant qu'y a des différences, et que ça reste simplement dans le fait d'avoir du récit, il n'y a absolument aucun problème.
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nath74 a écrit:
Bien sûr que non, Football Manager est déjà un jeu assez simple comme ça. ^^
D'acc. C'était pour savoir le potentiel de Lucas Moura, je m'en rappelle plus réellement.
nath74 a écrit:
Pour ce qui est du côté écrit, et récit de la story de Rafa., je n'ai pas non plus inventé l'eau chaud, beaucoup d'autres l'ont fait avant moi.
Après tant qu'y a des différences, et que ça reste simplement dans le fait d'avoir du récit, il n'y a absolument aucun problème.
On s'entend bien là-dessus, mais c'est quand même pour l'instant l'unique story de ce style sur le forum. Et c'est gonflant de voir que sur pratiquement chaque nouvelle story les mecs ont d'abord pensé à "faire dans le style de" plutôt que d'être plus ambitieux et chercher quelque chose de très original. C'est un peu une solution de facilité. Et la solution de facilité, ça sonne comme un manque de respect pour ceux qui se sont emmerdés à réfléchir sur leur concept.
Je ne jugerais pas la story de Rafa avant qu'elle n'ouvre, mais avec ce qu'il a sorti sur son premier post, c'était assez mal parti.
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Tu verras bien.
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Samedi 22 septembre 2012 - Alors Dembe, on Ba pas grand chose, hein ?
Je levais le point, triomphant, fier de mon équipe et de mon attaque. Nous venions d'écraser Fulham, trois à zéro, la nouvelle équipe d'un certain.. Dembe Ba. Je rentrais sur le terrain, heureux de cette victoire écrasante afin de féliciter mes joueurs. Je croisa tout à bord le jeune Lucas Moura, repositionné avant-centre à cause de la suspension, 3 matchs, de Papiss Cissé pour un rouge contre Blakburn. Le jeune brésilien qui avait réussi un très bon match, réalisant notamment une passe hors du temps et du commun sur le premier but d'Hatem Ben Arfa. Je le félicita d'une tape sur l'épaule, ainsi que de mon traditionnel « good game ». La fierté de la victoire renforcé par la fierté de voir ce gamin enfin heureux, et bien dans ces crampons.
Le deuxième joueur que je croisa fut Hatem Ben Arfa, que je tenta de féliciter en français comme je le pouvais. Des célébrations bien ridicules tant mon accès était drôle, ce qui nous valut d'ailleurs à tous deux, un énorme fou rire. Ben Arfa, un joueur qui montait et s'imposait, auteur de trois passes décisives il y a trois jours lors d'un match au Santiago Bernabéu face au Réal Madrid, ponctué d'un excellent nul 3-3. Il venait encore confirmer sa forme excellente par deux buts décisives, bien que faciles à transformer tant Lucas et Verratti lui avaient servi sur un plateau. Je croisa ensuite Dembe Ba, la tête baissé, je lui transmis quelques paroles : « Alors on est pas assez bien pour toi ? » Il était amer, et énervé après son minable match. Il ne trouva pour répondre qu'une phrase bien désagréable : « On ne l'a pas vu ton Lucas Moura, Jack, il est resté au Brésil ? »
Je n'apprécia pas, comment osait-il encore venir cracher son venin ainsi après toute la merde qu'il avait déversé, avant de le laisser, j'ajouta même : « Tu devais encore dormir pendant qu'il servait son caviar, bonne chance pour le maintien ! » Ce boulet m'avait presque fait oublier ce formidable match, heureusement que Verratti arriva juste derrière cet imbécile, m'interpellant d'une joie presque démesurée : « Quel match, coach ! Quel performance tactiquement, physiquement et techniquement, on a vraiment montré à tout le monde qu'on était le premier outsider pour le titre. » Oui, car depuis quelques semaines, Fulham et ses quelques bons résultats commençait presque à faire office d'outsider au titre derrière le nouveau big four (Chelsea - City - United - Arsenal) pour une bonne partie de la presse anglaise. Des conneries de journaux quoi, il était d'ailleurs temps qu'on les remette à leur place.
« Tu sais Marco, Fulham outiser au titre, c'est des conneries de la presse. Le véritable candidat au titre que nous avons battus, c'est Chelsea, 3-1. Ne t'enflamme surtout pas avec ces histoires de titre, souviens-toi plutôt de la manière dont Manchester nous avait dominé. » Je ne semblais malgré tout pas avoir stopper son euphorie. Mais ce n'était pas plus mal, il était jeune, et si ne l'on a pas de rêve au plus jeune âge, on n'en a jamais. Je marchais comme d'habitude sur le terrain, les images et les actions me revenant dans la tête. Comme par exemple cette passe en retrait de Riise, impossible à attraper pour Bassong, et permettant à Nene d'inscrire aisément le but du 2-0. Une erreur de trop pour Fulham, qui nous permettait ainsi de faire un break précieux, qui fit alors toute la différence.
Ce match de Fulham qui venait conclure une excellente semaine. Une semaine débuté par une victoire sans bavure face à Chelsea poussif en ce début d'année. Deux buts sur coup arrêtés et une magnifique action ponctué d'un but de Verratti auront suffit à faire tomber les Blues, auteur d'un mauvais mercato. Quelques départs en prêt : Matej Delac, De Bruyne, Essien et Obi Mikel, sans aucune compensation. Après ce match prometteur, nous attendait le match le plus difficile de notre poule de Ligue des Champions. Nous défions alors le Réal Madrid, en son enceinte. Un match bien négocié, où nous pouvions même avoir des regrets. Sans un énorme Karim Benzema, auteur d'un formidable triplé, nous aurions certainement remporté la partie. Puisqu'à quinze minutes du coup de sifflet final, nous menions trois buts à un ! De grosses performances qui laissaient présager du mieux pour cette nouvelle année. Parce que, quoi qu'on en dise, le véritable outsider du titre, c'était bien nous.
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Marshall_ a écrit:
nath74 a écrit:
Bien sûr que non, Football Manager est déjà un jeu assez simple comme ça. ^^
D'acc. C'était pour savoir le potentiel de Lucas Moura, je m'en rappelle plus réellement.
Voilà le rapport de mon adjoint sur lui, si ça peut te satisfaire.
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Contrôle de balle ? Chaud :p
Sinon gg ta dernière partie, le jeu de mot epic. :rire:
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J'ai enfin rattraper mon retard depuis mon départ de vacances. ^^
Bah toujours aussi plaisant à lire, le vocabulaire reste parfait. Comme dis dans mes anciens posts les fautes d'orthographes sont vraiment minimes mais je ne me lance pas trop sur ce sujet car j'suis sur qu'il y en a dans mon propre post. ^^
Bref continue ainsi.
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La suite pour quand ? Histoire de remonter un peu le niveau.
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Je continue ce soir et je poste quelque chose, promis.
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Mardi 11 décembre 2012 - Nous passions à la vitesse supérieure.
Les flashs s'enchaînaient et les journalistes n'avaient d'yeux que pour un seul homme : Arturo Vidal. Notre nouvelle recrue était alors située alors à un mètre de moi. Nous étions là tous deux, ainsi que mon président assis devant cette assemblée de journaliste. Des journalistes, tous venus ici afin d'assister à une conférence de presse ayant pour but de présenter un transfert qui avait fait coulé beaucoup d'encre. Le milieu de terrain chilien venait de signer chez nous, à Newcastle, pour douze millions d'euros dont six millions versés sur les deux prochaines années.
Vidal n'était plus en bon terme avec la Juventus, ni son entraîneur, et avait fait part de son intention de départ. Une occasion trop belle pour moi et mon staff. Il nous fallait justement un joueur capable d'évoluer dans un rôle de récupération mais pas devant la défense, à côté de Cabaye, afin de dégager le poste de milieu défensif au talentueux Verratti. Le chilien correspondait parfaitement au profil. De plus, il disposait d'une polyvalence peu commune. Il était certainement le seul joueur capable de jouer milieu offensif, milieu relayeur, milieu défensif, arrière droit, arrière gauche et même dépanner en défense central. Un nouveau joueur pour de toutes nouvelles ambitions.
Oui, car même si Vidal était dans mes petits papiers depuis bien longtemps (presque dès mon arrivée à Newcastle), je redoutais qu'il préfère un club de plus grand standing. Bien heureusement, nos résultats étaient excellents. En championnat, ils étaient dans la continuité d'une excellente première année. En Champion's League, ils étaient au dessus de mes espérances. Ces résultats hors normes pourraient porter un nom : Lucas Moura. Le jeune brésilien repositionné avant-centre, tant ses performances étaient excellentes au poste, brillait de mille feux, et illuminait le football européen.
L'Europe qui l'a vu inscrire sept buts en cinq matchs de Ligue des Champions, et obtenir trois titres d'hommes du match. Sept buts dont un exceptionnel triplé face à l'Olympique Lyonnais. Des buts en pagaille, des accélérations, des dribbles, il ne s'arrêtait plus. C'est lui d'ailleurs qui porterai, encore un fois, tous les espoirs de l'équipe le lendemain puisque nous affrontions l'Olympique Lyonnais. Un match contre le second du groupe, le dernier match du groupe. Avec trois points d'avance sur notre poursuivant, un match nul nous aurait suffit pour terminer avec la première place. Cette Ligue des Champions qui aura vu éclore Lucas Moura, aura aussi vu des surprises en pagaille : un Bayern second derrière le Sporting, un LOSC premier de son groupe devant City, une Juventus éliminée, ainsi qu'un Réal Madrid troisième.
Mais élever Lucas Moura au rang d'unique suprise aurait alors été une erreur, beaucoup de choses avaient bougés et changés. L'attaque principalement. Ben Arfa avait fait du côté droit sa demeure. Hatem était le meilleur passeur de la Ligue des Champions, avec pas moins de sept passes décisives ! Mais ce changement n'était pas tant surprenant, car avec Lucas avant-centre, il devenait le candidat numéro un au poste d'ailier droit. Mais l'immersion d'un jeune joueur avait redistribués les cartes : Coutinho ! Le jeune brésilien qui ne faisait pas parti de mes plans, avait sut tirer son épingle du jeu en dépannant au milieu de terrain. Ses prestations furent de telles qualités qu'elles m'obligèrent à remettre en cause le titulaire du poste d'ailier gauche, Nene. Nene se faisait vieux, et perdait de son explosivité. Un domaine où Coutinho ne manquait de rien.
Coutinho avait d'ailleurs réussit à venir à bout de la défense d'un certain.. Réal Madrid. Sa percussion, sa vitesse et sa techniquement auront été des acteurs essentiels d'une victoire mémorable sur un score de trois à zéro. Notre équipe parfois accroché, mais peu mise à terre, n'avait tombé que contre Swansea, dans un match où les locaux auront su parfaitement géré le match et le score. Le seul accro parmi de glorieux résultats, et un jeu s'améliorant de match en match. Mais plus qu'une attaque déjà très performante la saison passé, un autre secteur s'était peaufiné, et amélioré : la défense. Ou plutôt le secteur défensif, car parler d'une défense qui ne se jouerait que sur quelques acteurs serait la pire erreur d'un entraîneur de haut niveau.
Le secteur défensif avait d'abord vu l'arrivée d'un acteur majeur de son renouveau en début d'année, René Adler. Véritable mur, il fut essentiel. Mais le changement majeur eut lieu lors d'une légère blessure de Steven Taylor. Une légère blessure permettant l’éclosion d'un autre jeune talent, encore une fois brésilien, Juan. Rapide, excellent dans son placement, performant de la tête, et commettant peu d'erreurs, il fut, lui aussi, primordial dans les bonnes performances de l'équipe. Un changement qui me chagrina plus car Steven Taylor étant un ami, l'installer sur le banc me fut regrettable. Néanmoins, l'enchaînement des matchs me permettais de lui assurer un minimum de temps de jeu, ce qui fut fantastique.
Les questions tactiques, tous ces joueurs, ces révélations, ces déceptions, ces coups de coeur, ces regrets, et même le regret de ne pas avoir suffisamment de moyen pour tenter d'arracher Wilshere, De Jong, ou Hoilett, tous d'exceptionnels joueurs en vente, s'enchaînaient dans mon esprit. Parfois, je me disais qu'être entraîneur de City devait avoir des bons côtés, créer un schéma de jeu, et avoir presque un nombre illimités de joueurs pour le remplir, comme dans un jeu vidéo. Alors que j'étais dans la lune, un homme vétue de noir m'interloqua me disant qu'il était désormais à moi de parler.
Je me rendis alors compte qu'être entraîneur présentait un même avantage et inconvénient, celui de penser en permanence au football. J'avais vaguement écouté parler Vidal qui avait beaucoup fait de langue de bois. Il y était bien obligé puisqu'il appartenait presque un mois encore mois à la Juventus puisque le transfert ne serai définitivement conclu qu'au début du mercato hivernal. Ce n'était au fond qu'une petite conférence de presse histoire de faire du marketing pour le club et le joueur. Un journaliste venu pour So Foot me posa une première question : « Le recrutement de Vidal aura quel apport au sein de votre équipe ? » « Je dirais que c'est un joueur énorme par son volume de jeu, répondis-je, il est impressionnant car il est bon partout et dans tous les domaines. Techniquement, physiquement et tactiquement, il est excellent, et il est polyvalent. Tout est dit je pense. Son apport sera évident. »
La deuxième question me fut posé par un journaliste venu pour le Sun : « L'arrivée de Vidal va-t-elle entraîner le départ de joueurs au milieu ? » Bien sûr que non, il suffisait de connaître un minimum le football et le club pour le savoir, mais les journalistes posaient des questions pour en poser. « Je veux installer un principe de concurrence dans l'équipe. Mon président vous le confirmera, nos finances sont loin de poser problème, il n'y a pas un besoin de vente. Nous jouons sur tous les tableaux et ainsi, j'ai besoin d'un bon effectif tant sur la qualité que sur la quantité. N'oubliez jamais qu'une équipe n'est pas un onze mais un groupe. » Un homme venu pour Goal.com me demanda ensuite : « Pensez-vous que le recrutement de Vidal est un message fort pour vos concurrents ? »
Je lui répondis alors : « Les messages, nous, nous les envoyons par le jeu et le terrain, pas par les noms. » Un gars au fond de la salle applaudit, mais il fut bien le seul. Les autres restèrent ébahis, ils ne s'attendaient pas à ce genre de réponse. D'ailleurs on ne me posa qu'une seule et dernière question : « L'arrivée de Vidal amènera-t-elle une remise en cause tactique ? » De pire en pire, changer de système de jeu, de tactique, et de stratégie pour un joueur, je ne venais pas de recruter Messi, CR7 ou Rooney voyons. « Il est trop tôt pour le dire, Vidal ne s'entraîne même pas encore avec nous. » On me laissa ensuite tranquille. Je devais bien avouer que plus mon expérience d'entraîneur avançait plus que je détestais les journalistes. De l'extérieur, certaines questions passaient, mais lorsque vous devez y répondre, elles vous paraissent si minable et stupides, que votre estime des journalistes en prend forcément un coup.
Mais la presse et ses questions, et tout ce qu'elle avait à dire sur moi, je n'en avais alors rien à battre.
Mon nouveau onze : Adler - Simpson, Juan, Coloccini, Santon - Verratti, Tioté (Vidal), Cabaye - Coutinho, Ben Arfa, Lucas Moura, était irrésistible.
Et plus que cela, il laissait présager les meilleurs résultats. Bien que nous étions alors loin du sprint finale, très déterminant, comme nous l'avions d'ailleurs appris à nos dépends la saison dernière. Tout semblait réuni pour accomplir les objectifs les plus hauts. Des coupes qui voyaient nos remplaçants s'illustrer de la plus belle des manières. Une Ligue des Champions où notre entrée était des plus réussis. Et un championnat où même si la lutte serait longue et difficile, qui se déroulait pour l'instant magnifiquement bien. Un excellent gardien, une défense solide, un incroyable milieu et une explosive attaque, nous avions des atouts à jouer et des cartes dans notre jeu. Des cartes qu'il allait falloir soigneusement jouer, car plus hautes seraient les attentes, plus grande pourrait être la déception.
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C'est l'une des premières fois que je vois une équipe si belle et homogène sur le papier. Tant de joueurs de gros potentiel, c'est énorme.
Très bien résumé, bien joué pour le championnat et la taule face au Real, (et celle face à Lyon que tu as du apprécier aussi ) il y a peut-être quelque chose à jouer en Coupe d'Europe dans le coup, sait-on jamais.
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L'OL et le Réal, ce sont vraiment les matchs clés.
Contre l'OL, je met Lucas Moura avant-centre alors qu'il n'était pas encore au top et il me sort un triplé de malade. Ça me faisait bien chier de voir l'OL massacré comme ça, mais le match de Lucas a un peu compensé.
Puis contre le Réal, je met Coutinho avec des regrets. On domine, on gère, le Réal est sur les rotules mais Casillas sauve tout. Coutinho percute, fait une action incroyable et ouvre le score. Derrière il me sort le match de sa vie. Depuis Lucas Moura et Coutinho sont des titulaires en puissance.
Pour ma part je suis fier de la cohérence de mon milieu et mon attaque. Une attaque avec beaucoup de libertés créative, de permutation, de percussion, de dribble, et de vitesse. Et un milieu avec un gros volume de jeu, très fort dans la relance et dans la récupération.
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Tiens, je reprend le jeu et Ben Arfa se blesse. Il reprendra un entraînement léger dans.. 45 jours..
Voilà qui va relancer Nene.
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J'ai tous lu, c'est un tel plaisir ! Près de deux moi à rattraper, j'ai adoré !
Énorme GG' pour la LdC, pas de chance en finale de FA Cup, le titre t'as glissé entre les mains et un recrutement de taré, vivement la suite. La fin de ta story à la sortie de FM 2013 ou à la rentrée est vraiment dommage. J'ai hâte de voir la suite.
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Owi, sérieux continue, c'est devenu un passe-temps pour moi, une question, tu l'as acheté combien Vidal ? Pas mal le nouveau design.
PS : Sa serait possible que tu donnes un avis sur ma story ?
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Rafa. a écrit:
Owi, sérieux continue, c'est devenu un passe-temps pour moi, une question, tu l'as acheté combien Vidal ? Pas mal le nouveau design.
PS : Sa serait possible que tu donnes un avis sur ma story ?
Je passerais sur ta story.
J'ai pris Vidal, 12M d'€. 6M d'€ immédiatement grâce à une augmentation de budget des dirigeants, et six autres millions qui seront étalés sur 48 mois.
Merci beaucoup Sylv'.
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