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Kevinho. a écrit:
Waccy a écrit:
J'serais tres peu actif 10j, j'ai un pote chez moi.
Gros gay.
Oups, je sors, je fais plus partie de la féd.
Si c'est pour dire ce genre de remarque, je t'autorise.
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dodo-la-brioche. a écrit:
Kevinho. a écrit:
Waccy a écrit:
J'serais tres peu actif 10j, j'ai un pote chez moi.
Gros gay.
Oups, je sors, je fais plus partie de la féd.Si c'est pour dire ce genre de remarque, je t'autorise.
Gros gay.
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RSCA_les_meilleurs a écrit:
dodo-la-brioche. a écrit:
Kevinho. a écrit:
Gros gay.
Oups, je sors, je fais plus partie de la féd.Si c'est pour dire ce genre de remarque, je t'autorise.
Gros gay.
Gros gay².
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C'était nul ça, désolé.
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dodo-la-brioche. a écrit:
C'était nul ça, désolé.
Gros gay.
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Fédération de gays.
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Lewis- le gay.
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Je vais tout de suite m'excuser pour la longueur que prend le mag a cause motamment des cartes.
Aussi, vous aurez peut-etre l'impression que ce mag est baclé mais c'est juste que je voulais faire un résumé spécial tour de france sous la forme d'un mag.
● Sommaire
→ Parcours et profil du Tour de France 2010: Edition Spécial
» Parcours et profil du Tour de France 2010
● Edition Spécial pour ce nouveau!
Je ne parlerai des actualités que très brièvement et vous donnerai parcours et profils du Tour de France en détails.
Avant de parler de cette épreuve qui va démarrer dans moins de deux semaines à présent, on va parler brièvement de la nouvelle victoire sur la classique Paris-Bourré eux Roubaix des Columbia.
Le meilleur sur cette classique, et bien c'est Gilbert pour cette fois.
Après un début rythmé par les Caisse d'Epargne, Tous les Columbia sauf Gilbert et avec l'aide de Contador sont petit a petit remontés en tête du peloton au Km100 pour faire accéléré le rythme. Ils n'étaient d'ailleurs pas très efficace, notamment a cause de Valverde et ses équipiers qui faisent tout pour gêner les Columbia. Les Columbia ont finalement pris le deçu et Gilbert s'est échappé avec Rogers dans les Km 200. Kreuziger aura bien tenter quelque chose mais il était trop faible dans le secteur pavé. C'est donc une large victoire de Gilbert, et un doublé pour la Columbia.
On passe maintenant au tour de France:
On commencera par les aspect sportif du tour:
Le parcours
Du samedi 3 au dimanche 25 juillet 2010, le 97e Tour de France comprendra 20 étapes et 1 prologue pour une distance d’environ 3 600 kilomètres.
Ces étapes se décomposent comme suit :
1 prologue,
9 étapes de plaine,
6 étapes de montagne avec 3 arrivées en altitude,
4 étapes accidentées,
1 étape contre la montre individuel (51 km).
Les particularités de l’épreuve
le Tourmalet deux fois,
un goût de classiques et de pavés,
2 journées de repos,
23 cols de 2e, 1re et hors catégorie.
11 villes étapes inédites
Arenberg Porte du Hainaut, Bourg-de-Péage, Bourg-lès-Valence, Gueugnon, Longjumeau, Pamiers, Pauillac, Sisteron, Station des Rousses, Tournus, Wanze (Belgique).
Voici maintenant les profils dans toutes leur intégralité avec les favoris prévus pour chaque étape et un résumé du dénivelé qui sera présent lors de chaque étape:
PROLOGUE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Une longue poursuite
C’est le grand retour du prologue, qui n’était plus au programme depuis Londres (2007). Pour rappel, le premier départ du Tour à l’étranger avait eu lieu aux Pays-Bas, à Amsterdam en 1954. Cette fois, nous nous élançons de Rotterdam. Le parcours de ce prologue en centre-ville qui traverse le pont Erasmus, peut être assimilé à une longue poursuite. Il devrait revenir à un spécialiste, comme Rogers.
Ce prologue contient donc 2 petites montés à 1 ou 2% qui ne devraient donc gêner personne.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Attention aux bordures
L’arrivée de la première étape de ce Tour est située à Bruxelles. Pourquoi Bruxelles ? Pour fêter les 65 ans d’Eddy Merckx et tout ce qu’il a apporté au vélo. Nous traverserons les Flandres et nous entrerons en Belgique par Anvers. L’arrivée de cette étape complètement plate s’effectue devant le stade du roi Baudouin. Il est difficile d’imaginer une autre issue qu’un sprint. Une remarque, toutefois. Il pourrait y avoir du vent de côté, ce qui pourrait provoquer des cassures, des bordures. Il faudra donc faire attention.
Les quelques bosses ne gêneront certainement personne et on aura droit très certainement a une victoire du roi du sprint, Mark Cavendish ou d'un Outsider, Sylvain Chavanel. Décidément, ce début la est pour les Columbia.
VALLONNÉE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Un clin d’œil aux « classiques ardennaises »
La course entre un peu plus dans le vif du sujet avec cette étape vallonnée, qui fait un clin d’œil aux « classiques ardennaises » en empruntant un peu de la Flèche Wallonne, un peu de Liège-Bastogne-Liège… Il n’y a pas de côtes très dures mais cela suffira pour éliminer les gros sprinteurs, comme Cavendish alors que Freire, lui, devrait pouvoir passer. À mon avis, à l’arrivée, il y aura un peloton d’une cinquantaine de coureurs. Mais c’est un parcours accidenté sur lequel il peut se passer beaucoup de choses. En 1995, c’est au cours d’une étape qui ressemblait à celle-là que Miguel Indurain avait attaqué dans les bosses de Liège-Bastogne-Liège et était parti avec Johan Bruyneel.
L'étape reviendra à un montagnard mais on ne peut pas encore dire qui tellement les niveau sont élevés et proche l'un de l'autre chez certains.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
L’étape qui fait peur
Nous avions décidé que le jour où nous reviendrions dans le Nord, il y aurait des pavés au menu. Mais, à la différence de 2004, quatre gros secteurs figurent dans les trente derniers kilomètres pour qu’il y ait moins de gros écarts et, en même temps, un final plus nerveux. Au total, il y a 13,2 kilomètres de pavés. Certains coureurs les passent mal, il peut y avoir des crevaisons, des chutes, ... L’étape fait peur à tout le monde et les favoris du Tour peuvent y perdre des minutes précieuses. Cette « vraie classique » peut être favorable à un Gilbert ou un Evans. Et puis il y a des équipes qui n’ont a priori pas de rôle à jouer au classement général, comme la Caisse d'Epargne, qui ont intérêt à mettre une belle pagaille.
C'est donc plutôt plat mais attention aux secteurs pavés qui peuvent faire mal.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Panser les plaies
Voilà une étape plus traditionnelle, sans difficulté majeure, la première entièrement en France. Elle est très courte mais, durant les trois jours précédents, nous aurons parcouru un long chemin parsemé de difficultés. Il sera temps de panser les plaies. Si les baroudeurs vont essayer de partir dans des échappées, les équipes de sprinteurs ont intérêt à ce que le peloton arrive groupé. Le vent aurait pu jouer un rôle si cette course avait eu lieu plus tôt dans la saison, car les routes sont à découvert dans le nord de la France. Mais à cette époque de l’année, avec un final plutôt bosselé, c’est un peu moins vrai.
Et ont aura certainement droit a une nouvelle victoire de Cavendish ou, s'il est chanceux, Chavanel.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Pour les sprinteurs
Un parcours un peu inédit puisque nous traversons la ville de Provins, inscrite depuis décembre 2001 sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Nous passerons par Montereau et Nemours avant d’arriver à Montargis. Il n’y a pas de grande difficulté durant cette étape, à priori pour sprinteurs. Mais ce schéma dépendra de qui est le leader du Tour à ce moment-là. Armstrong voudra à la fois éliminer le plus tôt possible un maximum d’adversaires et s’emparer du Maillot le plus tard possible. Mais s’il est en tête du classement général à Arenberg, il laissera, sans doute, une échappée aller jusqu’au bout dans l’une des trois étapes suivantes pour ne plus avoir à assumer le poids de la course. C’est ce qui s’était produit en 2004 avec Voeckler qui avait su profiter de cette « ouverture » à Chartres.(la c'est du vrai, je ne modifierai pas cette fois )
Encore pour Cavendish... ce Tour de France en deviendra lassant, j'espère quelques surprises.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Le rôle du Team HTC-Columbia
L’étape la plus longue du Tour offre au peloton une nouvelle possibilité d’arriver groupé. Le parcours n’est pas très vallonné, et les coureurs y seront un peu à l’abri car il y a beaucoup de forêts. Nous sommes dans les contreforts du Morvan. Même si ce n’est pas forcément plat, ce ne sera pas la grande bagarre des cols. Mais attention, s’il fait chaud, il peut se passer des choses. Tout dépendra aussi de l’équipe qui va prendre la course en main. Car si Cavendish marche bien et qu’il est sûr de gagner l’étape, sa formation va rouler. Sinon, quelle équipe de sprinteur sera capable de fermer les portes ?
MOYENNE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Première grosse sélection
C’est de la moyenne montagne plus dure que Liège-Bastogne-Liège, car les ascensions font quand même entre 6 et 12 kilomètres. À partir du km 40, c’est parti. Il n’y a pas un centimètre de plat. Ça monte, ça descend, ça monte, ça descend, etc. À l’arrivée, il y aura encore peut-être une trentaine de coureurs ensemble. Ce ne sont pas des grandes difficultés, ce n’est pas forcément une étape pour un grand grimpeur, c’est plus pour un Cadel Evans ou un Alejandro Valverde. Mais la première grosse sélection va avoir lieu et ceux qui ne seront pas en jambes, qui ne verront jamais la tête de la course pourront déjà perdre le Tour.(ici je ne modifierai pas le nombre de coureurs qui pourront resté en tête de course car je n'ai aucune moyenne).
HAUTE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Avoriaz de retour au sommet
C’est le début de la montagne. L’arrivée s’effectuera en altitude à Avoriaz et même si les écarts ne peuvent être très importants, Contador devrait quand même passer à l’offensive. Il pourrait même s’emparer du maillot. Mais son équipe pourra-t-elle le défendre tous les jours ? En 2003, Richard Virenque avait attaqué dans le Col de la Ramaz, gagné l’étape qui s’était terminée à Morzine et pris le Maillot Jaune. Pour retrouver trace d’une arrivée à Avoriaz, il faut remonter seize ans en arrière, en 1994. Le Letton Piotr Ugrumov, qui avait fini deuxième du Tour cette année-là, s’était imposé avant de remporter encore l’étape du lendemain.
HAUTE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Une descente finale qui peut faire mal
Après la première journée de repos, qu’il faudra bien digérer, c’est la grande étape des Alpes, avec le Col de la Colombière par le Reposoir, le col des Aravis, les Saisies et le col de la Madeleine. Il est imaginable que si Contador a perdu cinq minutes sur les pavés, il devra les grignoter un peu tous les jours. Mais ce n’est pas une arrivée en sommet, car elles auraient été trop nombreuses sur ce Tour. Nous avons préféré diversifier davantage pour éviter que les coureurs attendent les arrivées au sommet pour établir des écarts. Les favoris ne voudront peut-être pas attaquer pour ne pas se retrouver seuls dans la plaine. Il ne devrait donc pas y avoir de grosse bagarre. Mais ceux qui ne sont pas de bons descendeurs peuvent perdre le Tour dans le final.
MOYENNE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Le souvenir de Beloki
Sur cette étape, le Tour fête les 150 ans du rattachement de la Savoie à la France. La côte de Laffrey, à la sortie de Vizille, est très difficile. Le col du Noyer est aussi très compliqué. Mais cela ne veut pas dire que ce soit de la haute montagne. La descente est très sinueuse : rappelons-nous la chute de Joseba Beloki en 2003, quand il ne veut pas que Vinokourov lui reprenne trop de temps. Pour l’éviter, Lance Armstrong avait été obligé de couper à travers un champ.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Du répit pour les sprinteurs
Nous aurions pu tracer une étape dans les Préalpes, très dure encore, où des bagarres se seraient déclenchées. Mais cela n’aurait servi à rien. Les coureurs ont connu trois-quatre premiers jours importants, et là ils viennent de vivre quatre jours assez difficiles. Du coup, sur ce parcours, qui s’élance de Sisteron (avec sa citadelle) pour finir dans la Drôme, ne figurent pas, malgré le col de Cabre, d’obstacles qui devraient empêcher une arrivée au sprint.
Je ne le répèterai pas une fois de plus, Cavendish est LE grand favori de chaque étapes de plaine.
VALLONNÉE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Armstrong peut souffrir
C’est une étape longue, de plus de 200 kilomètres. Dans cette région, il fait vraiment chaud et la journée se termine par la Montée Laurent Jalabert, à Mende, ce qui n’est pas une mince affaire. Certains passages présentent même des pourcentages de 10 %. Cette côte (anciennement côte de la Croix Neuve) nécessite un démarrage sec et peut faire mal à des diesels comme Armstrong. Par rapport à Contador, qui est plus un puncheur, il peut perdre une trentaine de secondes. Il va y avoir une explication entre dix coureurs, dont ceux qui se retrouveront sur le podium aux Champs-Élysées.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Une occasion à saisir
Une nouvelle étape qui permettra à ceux qui n’aiment pas la montagne de respirer un peu. Elle est destinée aux baroudeurs, aux sprinteurs, à ceux qui n’ont pas encore gagné et qui regardent la carte en se disant qu’ils n’auront plus beaucoup d’autres occasions de se mettre en évidence. Car après, entre Ax 3 Domaines, Bagnères-de-Luchon, Pau, et le col du Tourmalet, il ne restera plus que Bordeaux et Paris. Et pour gagner sur les Champs, il faut aller extrêmement vite. Cette année, le parcours n’avantage pas vraiment les sprinteurs.
HAUTE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Une explication entre les gros
La deuxième semaine de course est déjà largement entamée et la fatigue se fait sentir. La course aborde les Pyrénées qui vont faire mal aux jambes. Là, c’est le final qui est dur. Le parcours est plat jusqu’au Port de Pailhères, à un peu plus de 30 kilomètres de l’arrivée. La montée vers Ax 3 Domaines suit immédiatement. De quoi faire des écarts. Après le Port de Pailhères, qui est très difficile, il restera une douzaine de gros bras qui vont s’expliquer. C’est une évidence : le Maillot Jaune peut changer d’épaule.
HAUTE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Du monde dans le caniveau ?
Il est sûr que certains vont perdre le Tour parce qu’ils ne sont pas suffisamment bons descendeurs. Du Port de Balès vers Bagnères-de-Luchon, les virages sont extrêmement délicats. Et le pied de Peyresourde n’est qu’à trois kilomètres de l’arrivée. Il n’y aura donc pas moyen de se refaire. Jusqu’à présent, le Port de Balès n’a été escaladé qu’une seule fois en 2007. Auparavant il n’était pas goudronné. Il l’a été spécialement pour les courses cyclistes. Ce col est magnifique, dur et pas très large. Une fois en haut, un bon descendeur peut creuser des écarts, je pense par exemple à Andy Schleck, car il s’agit d’une descente vraiment technique. Et surtout, il risque d’y avoir du monde « dans le caniveau ».
HAUTE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Le même enchaînement qu’avec Merckx
Nous avons été critiqués parce que le Tourmalet (le souvenir Jacques-Goddet sera attribué au sommet) serait trop loin de l’arrivée. Selon certains, il n’apportera rien au déroulement de la course. Seulement, ni Pau, ni le col du Tourmalet n’ont changé de place. Et tout dépend de la course. Les coureurs devront enchaîner Peyresourde dès le départ, Aspin, Tourmalet, Aubisque. Certes, l’Aubisque est à 60 kilomètres de l’arrivée, mais il y a 30 kilomètres de descente ensuite avant d’attaquer la vallée. C’est le même enchaînement (à cette nuance près que l’étape était arrivée à Mourenx) qu’en 1969 où Eddy Merckx avait réalisé un raid de 180 kilomètres. Nous avons voulu lui faire un petit clin d’œil.
HAUTE MONTAGNE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
La dernière grande bagarre ?
Après la deuxième journée de repos, à Pau, les coureurs vont pouvoir se lancer dans la dernière bagarre. Enfin a priori... L’an dernier, le Ventoux a accouché d’une souris, tout le monde s’était regardé. Sur cette étape, peut-être y aura-t-il une bagarre si Contador est deuxième à 30 secondes. S’il a cinq minutes d’avance sur le deuxième… Après l’ascension de Marie-Blanque, nous redescendons dans la vallée. Après seulement trois kilomètres sur le plat, nous attaquons immédiatement le Soulor. Et le Soulor, c’est long, long, long... pendant près de 25 kilomètres ! L’Aubisque est juste à-côté et nous redescendons pour aller chercher le Tourmalet. Au point culminant de ce Tour sera attribué le souvenir Henri-Desgrange.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
L’importance du classement par équipes
Le Tour, normalement, sera fini au sommet du Tourmalet. L’arrivée à Bordeaux devrait se disputer au sprint. Dans cette étape se joue souvent le classement par équipes, qui est important pour elles. Les gens se demandent parfois pourquoi telle équipe roule derrière les échappés. Elle le fait parce que devant, il y a deux coureurs d’une autre formation. Et l’avance additionnée de deux coureurs à dix minutes, cela fait vingt minutes au classement par équipes. La Caisse d’Epargne est très forte pour gérer ce genre d’efforts.
CONTRE-LA-MONTRE INDIVIDUEL - LE COMMENTAIRE SPORTIF
Un chrono pour ajuster
C’est le seul contre-la-montre de cette édition. Le parcours est tracé durant une quinzaine de kilomètres dans Bordeaux intra muros, avec des avenues, des maisons pour abriter les coureurs. Et d’un seul coup ils sortent de la ville, ils arrivent en pleine campagne, dans les vignobles puisqu’ils passent dans des hauts-lieux du Haut Médoc, par exemple Margaux. Ils sautent d’un château à un autre. Le final est magnifique. A priori, ce chrono ne servira qu’à affiner le classement, il ne permettra pas au dix-septième de prendre la première place. Le dernier contre-la-montre où le Maillot Jaune a changé de porteur la veille de l’arrivée, ce fut en 2006 lorsque Landis (3e alors derrière Sastre) a pris la tunique à Pereiro. Mais depuis l’Américain a été déclassé pour un contrôle positif.
PLAINE - LE COMMENTAIRE SPORTIF
L’étape en ligne la plus courte depuis plus de vingt ans
La dernière étape du Tour, avec son arrivée prestigieuse aux Champs-Élysées, sera également la plus courte, avec seulement 102,5 kilomètres. Il s’est parfois produit que certaines soient encore moins longues parce qu’il avait fallu les raccourcir à cause des conditions climatiques. Mais sinon, il faut remonter à 1989, lors d’une étape entre Bourg d’Oisans et Villard-de-Lans, pour en trouver une plus courte. Elle était de 91,5 kilomètres et c’est Laurent Fignon qui s’était imposé.Il avait alors cru que ses cinquante secondes d’avance sur Greg LeMond suffiraient pour s’imposer à Paris. Il allait lui manquer huit secondes.
Pour ce mag, je voulais mettre un favori a chaque étape. Je l'ai vaguement fait au début puis je me suis arrêter, plus de deux heures pour bouclé ce mag, c'est déja assez long.
Dernière modification par aurege (20-06-2010 20:33:16)
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La seul chose que j'espère, c'est que, comme l'an dernier, chaque étape se jouaient le lendemain d'une autre.
Se serai sympas de voir, en même temps, le Tour de France en vrai et le TDF de la cy-fed.
En tout cas, si sa marche comme sa, je le ferai en temps réelle quand se sera moi qui simulerai.
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Ce jeu est encore d'actualité ?
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Super mag Aurélien, ça va beaucoup nous aider ça !
J'espère que j'aurais les nouvelles bannières à temps, pour refaire tout le topic. J'ai cette idée depuis quelques temps, & j'attends les bannières pour commencer. ^^
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Tu sais faire des bannières, Hugo ?
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Ah non ça c'est bien l'une des seules choses que je ne sais et que je ne pourrais faire. Sorryyy.
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Le premier post a été relooké entièrement.
Les points aussi, je commence là, et voilà ce que ça donnera :
- II - a ) Team Columbia
- Année de création : 2008
- Nationalité :
- Classement UCI : 1
- Nombre de victoires : 10
- Identité : Mark CAVENDISH
- Nationalité :
- Type de coureur : Sprinteur
- Capacités : SPR : 38 / MON : 5 / CLM : 0 / RAE : 2 / MEN : 1 / ECH : 1 / VIT : 2 / DES : 1 / EDE : 0 / PAV : 0 /
- Classement UCI : /
- Nombre de victoires : 6
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