Foot-Land - jeu de foot fun et convivial

Tu vas pas te taper une queue pour un match nul si ? L'OM a dominé tout le match en plus..
J'aime beaucoup les supporters qui se félicitent que Brandao ait reçu des bouteilles dans la tronche.. Vive le sport...
Pour le reste non, comme je l'ai dit, je ne suis pas dèg du tout. C'est un bon point de pris à l'extérieur. Et je redis que votre duo d'attaque fait peur, Chamakh et Cavenaghi peuvent dormir tranquille, leur succession est là.. mdr

Dernière modification par drogba2006 (30-08-2010 14:15:47)

Le trav doit être Brandao vu ce que tu as dit précédemment.
Pour le reste tu peux expliquer ces "surnoms" ? J'ai du mal à saisir.
Je remarque quand même qu'on dit que les supporters parisiens et marseillais sont débiles, mais au moins on respecte un minimum les joueurs de chaque équipe. Ce qui n'est pas le cas des Bordelais quand je lis tes posts..

Cf post suivant...

Désolé pour le double post... Problème de connexion... Petit emmêlage de pinceau...

Dernière modification par remasy2 (30-08-2010 15:54:27)

C'est pas la 1ère fois qu'on me fait ce genre de réfléxion.
Et des raisons pour justifier ma haine, je peux t'en donner, je sais si t'es demandeur, à toi de me dire.
Ensuite, je n'aime vraiment pas les Parisiens et les Lyonnais, vraiment pas ouaip. Mais pas autant que les Marseillais.
Tu peux aussi dire que je suis un idiot, c'est ton avis, mais c'est dans les gènes, c'est héréditaire. J'y peux rien.

Et pour te faire plaisir, parce queuuuuuuuuuuuuuuuuuuu!!!

Je suis du Sud, et je ne cautionne pas qu'on m'assimile à l'Om.

http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A … mp;h=156e2 Ces "surnoms" ne sont pas de moi.

FCGB - OM : Plus qu'un match


Rédigé par Julien, le 27/08/2010 à 11h08


En partenariat avec Girondins Analyse, Girondins 33 vous propose un article détaillant la rivalité entre Bordeaux et Marseille en vue du match de ce week-end. Un grand bravo à notre rédacteur Aymeric et à son acolyte Loic (Girondins Analyse) pour leur travail !

1ERE PARTIE : FCGB-OM : PLUS QU’UN MATCH

Ce dimanche au stade Jacques Chaban Delmas de Bordeaux, les deux derniers champions de France s’affrontent pour le compte de la 4ème journée du championnat de France. Auteurs d’un début de championnat poussif (une victoire pour deux défaites), les deux équipes restent des prétendants crédibles et déclarés aux premières places. Derrière cette affiche entre deux des plus grands clubs français il y a une rivalité très forte qui s’étend bien au delà du football. Une rivalité entre deux villes et un duel entre deux identités diamétralement opposées.

LES CLUBS : deux poids lourd du football français

Les Girondins de Bordeaux contre l’Olympique de Marseille, ce sont deux clubs mythiques du championnat de France qui sont face à face. Deux noms prestigieux. Deux places fortes qui « pèsent » 15 titres nationaux (9 pour l’OM, 6 pour les Girondins) et des centaines de matches européens.

Les deux clubs sont parmi les plus anciens de l’Hexagone (les Girondins de Bordeaux ayant été créés en 1881 et l’Olympique de Marseille en 1899) et possèdent tous deux une histoire trop riche à raconter. Bordeaux reste aujourd’hui le club français à avoir disputé le plus de rencontres européennes (166) avec en point d’orgue une finale de Coupe de l’UEFA perdue en 1996, tandis que Marseille du haut de ses 158 matches européens est le seul club français à avoir gagné la plus prestigieuse des Coupes d’Europe, la Ligue des Champions. Le sacre européen des Marseillais en 1993 arrivait comme le couronnement d’une période dorée pour le club, marquée par 4 titres de Champions de France consécutifs entre 1989 et 1992 et plusieurs beaux parcours européens. Malheureusement ce titre sera entaché quelques jours plus tard par une affaire de corruption qui coutera à l’OM la perte du titre de Champion de France 1993 (non attribué cette année) et une rétrogradation en D2. Marseille se relèvera et reprendra vite sa place dans les meilleures équipes françaises et ce malgré une période de 17 ans sans titre … qui est maintenant révolue après leur doublé Coupe de la Ligue-Championnat de 2010.

De son côté, le club au scapulaire a connu son époque la plus glorieuse au cœur des années 80 avec la conquête des titres de Champions de France 1984, 1985 et 1987 et des Coupes de France 1986 et 1987 (deux finales remportées successivement contre … l’Olympique de Marseille !) mais aussi grâce à un superbe parcours lors de la Coupe des Clubs Champions 1985 (future Ligue des Champions). Epopée brisée aux portes de la finale par la Juventus de Turin (défaite 3-2 sur l’ensemble des deux matches de la demie finale). Comme son rival phocéen, les Marine et Blanc connaitront leur moment de honte quand à la fin de la saison 1991 le club est rétrogradé en D2 suite à un déficit de plusieurs centaines de millions de Francs. Mais Bordeaux remontera en D1 dans la foulée et redeviendra Champion de France en 1999 (en ayant comme dauphin … l’Olympique de Marseille !).

Ainsi, sur les 30 dernières années, la rivalité sportive entre Bordelais et Marseillais est la plus soutenue. Cette rivalité a été entrecoupée par les passages en D2 des deux clubs et les années de méforme de l’une ou l’autre des équipes, mais reste vive ! Côté Bordeaux on se souvient des deux victoires en Coupe de France, des titres arrachés aux phocéens en 1999 et en 2009 et de la série d’invincibilité lors des Bordeaux-Marseille (qui dure depuis 1977). Côté Marseille, les victoires de 2010 sont mises en avant. Celle en Coupe de la Ligue avec une finale gagnée contre Bordeaux mais surtout la reconquête du titre de Champion de France alors que les Girondins avaient fait course en tête pendant plus de la moitié de la saison.

Bordeaux et Marseille, deux clubs qui parlent aux français, deux clubs que la France aime et qui aiment se détester. Selon les derniers sondages l’OM reste d’assez loin le club le plus populaire auprès des Français (20% des sondés se disent supporters marseillais), mais les Girondins eux sont 3ème (12% des interrogés se déclarent supporters bordelais) et bénéficient d’une côte de sympathie élevée. Enfin, Bordeaux et Marseille ce sont des clubs qui ont vu passer des dizaines de noms illustres : Tigana, De Harder, Chamakh, Huard, Pauleta, Gallice, Giresse, Dugarry, Ramé, Battiston, Kargu, Zidane, Lizarazu à Bordeaux ; Boli, Drogba, Andersson, Francescoli, Barthez, Skoblar, Deschamps, Magnusson, Waddle, Papin, Pelé à Marseille.

Remarquons que parmi ces noms certains ont fréquenté les deux clubs, notamment quand les transferts Bordeaux-Marseille et Marseille-Bordeaux étaient réguliers entre 1986 et 1991, au moment où les deux équipes se battaient pour les titres nationaux et où les deux sulfureux Présidents , Bernard Tapie à Marseille et Claude Bez à Bordeaux donnaient à cette rivalité des allures de vrai drame et se « chauffaient » mutuellement à coups de déclarations au parfum de scandales.

Incontestablement, Marseille et Bordeaux sont des clubs qui ne laissent pas insensibles. Leurs duels sont suivis par l’ensemble des amateurs de football. Quand deux grands clubs qui se rencontrent, c’est quand même la moindre des choses. Car l’Olympique de Marseille et les Girondins de Bordeaux sont deux grands clubs. Au fond, c’est bien là leur seul point commun. Car à Bordeaux et à Marseille les méthodes diffèrent, explications …

LES VILLES : Marseille la sulfureuse contre Bordeaux la belle endormie

La différence commence là, dans les villes représentées par ces deux clubs. Bordeaux –Marseille, c’est le Sud Ouest contre le Sud Est. Deux cultures et deux histoires différentes pour deux villes hautes en couleurs. Le pinard contre le pastaga, le ciel contre le marine, les pêcheurs contre les surfeurs. Honneur aux visiteurs, commençons par Marseille. La cité phocéenne compte environ 850 000 habitants ce qui en fait la deuxième ville la plus peuplée de France, son aire urbaine comprend près de 1.6 millions d’habitants et représente la troisième aire urbaine de France (derrière Paris et Lyon). Située aux bords de la mer Méditerranée, Marseille est un carrefour culturel entre la Provence, l’Italie, l’Espagne et l’Afrique. Cette position géographique amène à Marseille une population cosmopolite et un mélange des cultures unique en France. Ces ouvertures vers l’étranger lui permettent de bénéficier d’un riche patrimoine culturel. Marseille cultive son caractère fier et agité, le tempérament passionné des Méditerranéens et le climat avantageux qui y règne lui donne une image de ville festive et chaleureuse en mouvement perpétuel. Notons qu’en 2013 Marseille a été choisi pour être la Capitale Européenne de la Culture et ce au détriment de Bordeaux, Lyon et Toulouse.

De son côté, Bordeaux compte environ 250 000 habitants et son aire urbaine en comprend près d’un million. Connue dans le monde entier pour son vignoble, Bordeaux renvoie une image de ville indépendante à la qualité de vie exceptionnelle. En effet, Bordeaux offre à ses habitants ainsi qu’à ses visiteurs un confort de vie et un large choix d’activités ; l’Océan Atlantique n’est pas loin, tout comme les montagnes pyrénéennes et les forêts des Landes. Sur un plan culturel Bordeaux bénéficie d’une reconnaissance mondiale : son territoire est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, son architecture classique fait office de référence tout comme la gastronomie du Sud Ouest. Mais les clichés ont la dent dure, surement parce qu’ils contiennent une grande part de vérité. Bordeaux, qui a longtemps été une ville très bourgeoise, c’est aussi une ville qui est qualifiée de sage, sans passion, renfermée sur elle-même. Héritage d’un passé prestigieux et tempérament assumé de la part des amoureux de la Belle endormie.

LES IDENTITES : la passion contre la raison

C’est souvent le sujet des railleries entre les supporters des deux camps. Les mauvaises langues phocéennes fustigent Bordeaux pour son manque de passion, sa frilosité dans le recrutement ou encore son prétendu manque d’ambition. Côté girondin, on qualifie péjorativement l’agitation marseillaise de cirque, on stigmatise les changements incessants de joueurs, d’entraineurs et de dirigeants de l’Olympique de Marseille et on se moque des nombreuses affaires extras sportives qui touchent le club et nuisent à sa stabilité. Derrière ces clichés il y a, là aussi, une réalité. Celle de la culture même des deux institutions. Chez nos rivaux marseillais ce fonctionnement, d’apparence chaotique, est presque naturel C’est dans les gènes de ce club de créer la polémique et d’être en ébullition constante. A l’image de la ville, le club olympien est un vrai volcan qui alimente la ferveur, parfois excessive, de ses supporters et des médias avides du moindre scoop. Marseille étant le club le plus titré, le plus médiatisé et le populaire du pays (l’un n’allant pas sans l’autre) les résultats sont impératifs, sinon l’agitation commence et les critiquent pleuvent de toutes parts.

C’est ce contexte tendu qui dicte la politique générale du club, on s’en rend bien compte lors des périodes de mercato : il faut du lourd pour l’OM et il en faut toujours plus ! Plus de noms, plus de joueurs talentueux, plus de stars, le public en a besoin pour croire en son équipe. Le club n’a pas le temps de raisonner à long terme et de s’appuyer par exemple sur la formation de jeunes joueurs locaux ou le recrutement de futurs champions. Conséquence de cette urgence permanente, Marseille « brasse » chaque année de nombreux joueurs au gré des résultats (et parfois mêmes des dirigeants et des entraineurs) avec une tendance marquée à recruter des éléments à forts caractères ainsi que des « noms » en France comme à l’étranger. En France, le club jouit d’une très forte côté de sympathie auprès des joueurs, beaucoup passent par Marseille, souvent pour des périodes très courtes car peu y réussissent, la plupart s’y cassent les dents. L’OM fait partie des clubs qui peuvent transformer un joueur en star (derniers exemples en date Drogba et Ribéry) ou réduire une réputation à néant (et là, la liste des « erreurs de casting » est trop longue pour dégager des noms).

Du côté des Girondins de Bordeaux, l’image tranquille et un peu nonchalante qui colle au club cache une organisation et une rigueur à toute épreuve. Bordeaux est un exemple de stabilité et d’efficacité. La passion, moins présente et moins démonstrative qu’à Marseille, reste forte, les joueurs la sente au quotidien. L’ambition est le fil conducteur du club, qui est l’un des plus réguliers de France en termes de résultats (en témoigne le nombre de participations européennes du FCGB). Sa politique, contrairement à celle de Marseille, est lisible et raisonnée. A Bordeaux on s’appuie sur un centre de formation performant qui sort presque chaque année des joueurs de haut niveau (Mavuba, Sané, Dugarry, Lizarazu, Cid, Sertic), dont une majorité se voit offrir leur chance en équipe première. Il en découle une forte identification de la part de la population locale, en effet les supporters se reconnaissent dans ces joueurs tels Alain Giresse, Marc Planus ou Marouane Chamakh qui incarnent à la fois le club et la ville de Bordeaux et qui en sont les représentants. A cette volonté de former des joueurs s’ajoute une capacité à détecter les talents et à les faire exploser ou les relancer au haut niveau. Ainsi des Zidane, des Tigana, des Ramé, des Alou Diarra sont arrivés jeunes en Gironde quand ils n’étaient que des espoirs ou des joueurs en quête de rebond, puis ils se sont imposés au club lui permettant de connaître des heures de gloire. Bordeaux procède de manière similaire dans son recrutement de joueurs étrangers, ceux-ci, parfois méconnus, arrivent en Gironde et y restent pour des périodes souvent supérieures à 3 ans, s’insérant dans des projets à moyen terme avant de quitter le club. C’est ce qu’à fait Pauleta par exemple, arrivé inconnu du grand public à 27 ans il explose à Bordeaux et devient le grand buteur que le club attendait.

Dans l’équipe actuelle ce sont Fernando ou Wendel qui ont suivis cette trajectoire. Aujourd’hui, ce sont des « Bordelais d’adoption » qui s’impliquent dans la vie du club et sont parfaitement intégrés dans la ville et dans l’équipe. C’est cette stabilité qui caractérise le club et en fait une institution respectée. Quand un joueur vient à Bordeaux, il sait où il met les pieds et il se rend vite compte qu’il pénètre dans un cadre où tout est fait pour la réussite. Bordeaux est un club marquant dans la carrière d’un joueur et ce n’est pas un hasard si dans le staff actuel on retrouve des anciens joueurs de la maison bordelaise (Dropsy, Pavon, Battiston ou Trésor).

Supporter les Girondins de Bordeaux ou l’Olympique de Marseille, ce n’est donc pas simplement porter le maillot ou dire « allez untel ! » ou encore « untel, untel on t’en…. ! ».

Choisir son club c’est adhérer à une histoire, à une culture et à une philosophie. Ainsi, la rivalité Bordeaux-Marseille ce n’est pas uniquement le combat entre deux grandes équipes, c’est aussi l’affrontement de deux méthodes, de deux styles et de deux modèles de réussite. On peut même dire au final que cette rivalité OM-FCGB a plus de fondements que la rivalité (grandement créée par les médias) entre le PSG, club de la capitale qui n’a que 40 ans d’histoire, et l’OM, club phare de la province et chouchou des français.

Si le « classico » PSG-OM déchaîne les foules en France, la rivalité entre Bordeaux et Marseille est plus intime, plus profonde et a bien plus de raisons d’être et bien plus de saveur et de renom qu’un affrontement médiatico-géographique.

Je ne t'oblige vraiment pas à tout lire mais si tu pouvais en lire quelques extraits minimum, tu aurais une part de la réponse.
Et ce ne sont pas les seules raisons.

Donc tu aimes les Genevois ?

Moi je vois juste une grosse faute sur le "pas",inculte de Lorrain.

OK je viens de voir la vidéo, et j'ai plus ou moins compris le surnom de Gignac, OK.
Par contre qualifié Rémy de "myopathe" je vois pas trop le pourquoi : la myopathie est une maladie neuro-musculaire créant une dégénérescence du tissu musculaire. Quel est le rapport avec ses problèmes de coeur ? Eclaire-moi car là j'y vois pas clair du tout, et vu que tu reprends l'humour de ce con tu dois pouvoir m'aider à comprendre.

Ngog, t'es homophobe?

Drogba : Prend le cas Diawara.
T'as un échantillon minime de ce qui nous permet de vous haïr autant.

Et là, pour le myopathe, tu le fais exprès...
'Me prend pas non plus pour un con, tu sais très bien que s'il dit myopathe, il veut dire malade, pas "une maladie neuro-musculaire créant une dégénérescence du tissu musculaire."

rebellebob a écrit:

Ngog, t'es homophobe?

Drogba : Prend le cas Diawara.
T'as un échantillon minime de ce qui nous permet de vous haïr autant.

Et là, pour le myopathe, tu le fais exprès...
'Me prend pas non plus pour un con, tu sais très bien que s'il dit myopathe, il veut dire malade, pas "une maladie neuro-musculaire créant une dégénérescence du tissu musculaire."

En plus d'être pas drôle, le gros est con et utilise des mots dont il ne connait pas le sens. Arrête de regarder ce mec sérieux. Qu'il retourne à Guingamp et qu'il nous casse pas les couilles.
Diawara est venu à Marseille ? Et alors, c'est une raison pour s'insulter ? Il y a eu combien de transferts entre le PSG et l'OM ? Bien plus, et sérieusement je respecte beaucoup plus les Parisiens que tu ne le fais avec l'OM. Et pour Diawara, il a bien fait de venir : trois titres en un an, une augmentation salariale. Que demandez de plus ?

Loïc : laisse-le croire que Bordeaux est le meilleur club français et que tous les autres clubs c'est de la merde...

Dernière modification par drogba2006 (30-08-2010 20:06:00)

Pourquoi de tels paroles pour deux clubs minables ?

Dernière modification par Pied21-leretour (30-08-2010 20:13:45)