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Nastox a écrit:
Rien d'officiel sur les transferts au Barça en même temps ...
Ouai mais bon y'as des clubs ou il n'y a rien d'officile et le topic vie bien...
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Makaveli. a écrit:
C'est pas pour clashé ou quoi met le premier poste il me fait peur .
Après niveaux Barcelone , je suis aux bout si Victor Valdes par , mon idol .
Pourquoi il te fait peur ? Tu ferai mieux ?
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rooney_e_e_ledo a écrit:
ben y'a peut-être pas de supporters tout simplement.
Des supporters tkt il y en as .
messi.ol a écrit:
Makaveli. a écrit:
C'est pas pour clashé ou quoi met le premier poste il me fait peur .
Après niveaux Barcelone , je suis aux bout si Victor Valdes par , mon idol .Pourquoi il te fait peur ? Tu ferai mieux ?
Faire mieux ouep j'ai fais mieux mais je m'éttais pas à jours .
Dernière modification par Makaveli. (17-06-2009 13:06:27)
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Makaveli. a écrit:
rooney_e_e_ledo a écrit:
ben y'a peut-être pas de supporters tout simplement.
Des supporters tkt il y en as .
messi.ol a écrit:
Makaveli. a écrit:
C'est pas pour clashé ou quoi met le premier poste il me fait peur .
Après niveaux Barcelone , je suis aux bout si Victor Valdes par , mon idol .Pourquoi il te fait peur ? Tu ferai mieux ?
Faire mieux ouep j'ai fais mieux mais je m'éttais pas à jours .
Ouaip, peut-etre que pour toi le mieux est la couleur...que je ne vais aps tarder a mettre. Mais bon je pense que la mise a jour ratrappe la couleur pour le moment, ce qui n'etait pas ton cas...
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[size=4]LIGA -Phase aller-[/size]
http://www.youtube.com/watch?v=ID9C9ABqOSQ
[size=4]LIGA -Phase retour-[/size]
http://www.youtube.com/watch?v=nvOafiIBFvw
[size=4]CHAMPIONS LEAGUE
[/size]
http://www.youtube.com/watch?v=EVXbhB0ske4
[size=4]COPA DE REY[/size]
[center]http://www.youtube.com/watch?v=lI2z6_FOs_s[/center]
Met ça dans ta présentation Messi
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Merci Ted. pour ces vidéos, qui résume une belle saison riche en but, bravo Barcelone !
Yaya reste parmi nous, ces confirmé . Citation qui fait plaisir "Yaya est grand, très grand."
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J'adore le Barça!
Vive vous!
Merci !
Enfin mon joueur préféré, il est pas au Barça : il est à Liverpool FC : c'est Torres ( Fernando ).
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Cool.....................................J'adore ce Club...........................Merci....................Je vous remercie.
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de rien, ça m'fais plaisir.
cool le Barça
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cest normal
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1) Andrés INIESTA : le génie en pleine lumière
Enfin indispensable, Iniesta a réalisé une saison exceptionnelle associé au milieu avec Xavi. Le Manchego est le numéro 1 de notre Top 20 basé sur la moyenne des notes attribuées par les rédacteurs du FCB Clan.
Note moyenne : 6,67
Il était déjà sous l’ère Rijkaard un crack pour tous les observateurs attentifs du Barça et de fait l’un des joueurs les plus utilisés par le coach hollandais que ce soit en attaque (généralement à gauche, mais aussi à droite notamment avant l’arrivée dans l’équipe première de Messi) ou au milieu (généralement relayeur, mais aussi au poste de pivot devant la défense) voire en défense (comme lors de la fameuse et fumeuse expérimentation du 3-4-3 où il jouait plus ou moins latéral gauche). Bref Iniesta c’était déjà le joueur parfait, à la fois rapide et technique, dribleur et passeur. Couteau suisse génial, le Manchego ne se plaignait par ailleurs jamais de ne pas débuter une partie même quand cela était absurde (finale contre Arsenal en 2006), de même qu’il ne réclamait pas de poste fixe. Le joueur parfait donc. Et pourtant. Oui et pourtant.
Au-delà de carences qu’il conservera sans doute jusqu’à la fin de sa carrière (manque de charisme, faible adresse devant le but, physique limité), il manquait finalement à Iniesta encore une chose : apparaître indispensable. Car au fond Iniesta n’a toujours été qu’un douzième homme au Barça sous Rijkaard. Il débutait certes la plupart des matches importants, mais il n’a jamais fait partie de l’équipe type, même lors de la dernière saison du Batave sur le banc. Devant, les « quatre fantastiques » se partageaient en effet trois places (les différentes blessures évitant toutefois à Rijkaard le moindre choix compliqué, Ronaldinho, Eto’o, Henry et Messi n’étant que rarement ensemble sur la même feuille de match). Au milieu, Xavi et Deco étaient les choix numéro un, tandis que Touré était indiscutable au poste de pivot. Iniesta jouait beaucoup avec Rijkaard. Iniesta jouait magnifiquement. Mais Iniesta n’était qu’un superbe mais éternel second choix.
Auteur d’un Euro somme toute moyen, où titulaire à droite du milieu à quatre de la Roja il brille peu, Iniesta revient dans un Barça amputé de Ronaldinho et surtout Deco, mais pas de Eto’o. La conséquence de tout ceci est très simple. Iniesta est dans le onze type de Guardiola. Et à un poste précis. Milieu relayeur, aux côtés de Xavi, l’indéboulonnable maître à jouer des Catalans, renforcé qui plus est par un titre (discutable) de meilleur joueur de l’Euro. En pivot, si Guardiola doute dans un premier temps de Touré, ce n’est pas pour y mettre Iniesta, tandis que le poste d’ailier gauche apparaît réservé à Henry à qui l’on promettait l’axe en cas de départ de Eto’o et en qui le nouveau coach croit très fort.
Iniesta et Xavi à la baguette au milieu, beaucoup sont sceptiques. Et pas à tort car cela n’a jamais marché sous Rijkaard. Manque de physique, manque d’impact à la récupération : les arguments ne manquent pas. Bref voilà une association sympathique pour jouer un Almeria au Camp Nou mais qui apparaît suicidaire contre un Séville à Sanchez Pizjuan. Et pourtant. Oui, et pourtant.
Quand Puyol soulève le troisième trophée de la saison, le plus prestigieux, celui de la Ligue des Champions, c’est au terme d’une finale assommée par la maîtrise technique d’un duo de relayeurs que le monde entier acclame et que tous les clubs ou presque jalousent : Xavi et Iniesta. Ce dernier a encore ébloui par sa maîtrise technique, son aisance dans la conduite de balle, sa capacité d’accélération et son vision du jeu. Plus personne ne songerait à critiquer son physique ou son manque de charisme. Iniesta n’a pas besoin de prendre tous les ballons de la tête ni de hausser la voix. Il se contente de jouer ; traduction : de caresser le ballon. Même son but contre Chelsea de 20 mètres, si décisif, si beau, si inattendu, dans les dernières secondes du temps additionnel, n’est qu’une caresse. Ce match est un symbole de la nouvelle dimension prise par le Manchego. Buteur, donc héros, Iniesta a surtout semblé manquer cruellement au milieu. Car il y est devenu indispensable. Iniesta demeure brillant en attaque. Mais c’est au milieu qu’on veut le voir. Et quand il n’y est pas là, il faut vraiment que l’équipe tourne bien pour que l’énorme grain de sable créé par cette absence n’enraye pas toute la mécanique.
Si l’on ne peut pas parler de Iniesta dépendance (le grand chelem lors du Tourmalet de fin d’année est accompli sans lui), on ne peut que souligner à quel point il a manqué lors de certains moments difficiles (on pense au passage à vide de février qui correspond à sa deuxième blessure). Iniesta n’est pas le patron. Mais personne n’imagine un onze sans lui, à moins d’y être contraint et forcé par ses blessures musculaires à répétition.
Sur l’ensemble de la saison sa régularité impressionne, bien que sa première partie ait été un peu chaotique. Après avoir sombré comme toute l’équipe à Numancia, le Manchego est sur le banc contre Santander. Et malgré quelques belles performances (notamment contre Gijon), il est loin d’être le meilleur une fois l’envol dans le jeu et les résultats de la Pep Team (moyenne de seulement 5,97 pour l’année 2008). Surtout, Iniesta se blesse contre Bâle début novembre au Camp Nou. Six semaines d’arrêt. Le Barça doit faire sans lui lors du Tourmalet. Ainsi c’est surtout son année 2009 qui a été stratosphérique. Quand il revient en janvier contre Majorque, il est d’entrée décisif et ne semble nullement à court de compétition. 6,44 de moyenne en janvier, 6,63 en février, puis 7,15 et 7,13 en mars et avril avant l’apothéose de mai avec 7,38 : Iniesta est sur son nuage. En 2009, il n’obtient aucune note en dessous de 5 et décroche cinq notes supérieures ou égales à 8, son match le plus aboutit étant celui contre Séville au Camp Nou remporté 4-0 où il joue quasiment en position de numéro 10.
Iniesta, un génie enfin dans la lumière en 2009. Ravir la première place de notre classement à Leo Messi en dit long sur l’excellence de ses performances et ce malgré des statistiques somme toutes modestes. Car avec seulement 5 buts en 41 matches, il peut faire mieux, bien mieux.
Ses cinq matches clés :
FCB 5-2 Lyon
FCB 2-0 Huelva
FCB 4-0 FC Séville
Chelsea 1-1 FCB
FCB 2-0 Manchester United
Statistiques (FC Barcelona.cat) :
Liga : 26 matches joués, 1995 minutes (dont 1860 comme titulaire), 4 buts et 9 passes décisives.
C1 : 9 matches joués, 816 minutes (dont 816 comme titulaire), 1 but, 1 passe décisive.
Coupe du Roi : 6 matches joués, 453 minutes (dont 430 comme titulaire), 0 but et 0 passe décisive.
Chronique du FCBclan
Dernière modification par Ted. (08-07-2009 13:11:28)
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2) Lionel MESSI : en route vers la légende
Enfin des trophées pour le canterano argentin encensé par le monde entier cette saison. Où s'arrêtera-il ? Suite
de notre Top 20 basé sur la moyenne des notes attribuées par les rédacteurs du FCB Clan.
Note moyenne : 6,58
Il sera élu ballon d’or en fin d’année, cela ne fait aucun doute. Et ce sera pleinement mérité. Ses statistiques sont éloquentes : 23 buts en Liga, 9 en Ligue des Champions et 6 en Coupe du Roi, soit un total de 38 (seulement quatre de moins que le total hallucinant de Cristiano Ronaldo la saison dernière). Mais la vraie statistique qui compte c’est finalement celle de ses matches joués : 51. Pour la première fois depuis son entrée dans l’équipe première, Messi a connu une saison vierge de toute blessure sérieuse. Sa réputation de joueur de cristal forgée en 2006 suite à sa déchirure contre Chelsea (qui le privera de la finale au Stade de France) et bien entretenue depuis par de multiples pépins physiques semble enfin l’avoir lâchée.
Les qualités de Messi ne sont plus à présenter. Révélé au grand public lors du fameux clasico de 2005 à Bernabeu (3-0), puis face à Chelsea en huitième de finale de la Ligue des Champions, Messi a confirmé lors des saisons suivantes tout son potentiel. Et après avoir surnagé pendant deux ans dans une équipe rongée par les déséquilibres et les méformes, il s’est cette année avec le triplé enfin débarrassé de l’étiquette de « looser » qui commençait à lui coller à la peau puisqu’il n’avait pas participé à la fin de l’épopée glorieuse de 2006 et avait depuis collectionné les déconvenues avec le Barça (mais aussi avec l’Argentine jusqu’à l’or olympique de Pékin).
Un grand joueur fait gagner son équipe. C’était déjà la cas avant pour Messi, mais ce le fut encore plus cette année. La plupart de ses buts ont valu de l’or, et quelques uns d’entre eux ont même fait honneur à son patronyme (Shaktar, Osasuna, Santander). Mais au-delà des buts, Messi a également affiné son jeu pour devenir plus collectif. Ses statistiques officielles en terme de passe décisives, bien que bonnes (10 en tout), sont trompeuses, car Messi, quand il est sur le terrain, est impliqué quasiment dans toutes les actions dangereuses. Avec Daniel Alves son compère du côté droit qu’il trouve les yeux fermés, il a régalé toute la saison de ses percées et autres combinaisons. En un contre un, il n’a pas de concurrent et constitue un cauchemar pour n’importe quel défenseur. Il n’y a que la prise à deux, trois voire quatre qui soit efficace. Ce qui libère des espaces pour ses camarades… Il vole sur un terrain, avec ses petites foulées et ses incessants changements de direction exploitant de façon chirurgicale la totalité de la surface de son pied gauche virevoltant. Et face à un gardien, c’est un diable capable de tout. Bref, un pur diamant.
Mais un diamant encore capable de briller davantage ! Messi a une marge de progression. Il manque encore un peu de régularité dans ses prestations avec une certaine propension à disparaître lors de matches importants. L’Argentin a connu des jours sans. Peu mais encore trop. Car quand il n’est pas dans son assiette, cela se voit beaucoup étant donné ses standards d’excellence. Toutefois même quand il n’était pas au top, il a souvent réussi à faire la différence. Car il ne lui suffit que d’une poignée de seconde pour être décisif et faire oublier qu’il était jusque là assez transparent sur le terrain.
Messi a particulièrement brillé à l’allumage de la machine catalane c'est-à-dire en octobre (7,33 de moyenne) et en novembre (7,40), avant de connaître un premier trou d’air relatif en décembre en se faisant discret contre Valence, Madrid et Villarreal. Après quelques jours de vacances en Argentine, il a ensuite réalisé un mois de janvier tout simplement époustouflant en enchaînant les grandes performances (7,45 de moyenne dont un 9 et deux 8 en cinq matches). Ce sera l’apogée de sa saison, la suite étant plus irrégulière mais tout de même de haute volée : 5,42 en février au moment où le navire catalan a tangué, puis 6,55 en mars, 6,21 en avril et enfin 6,80 en mai avec une prestation magique à Bernabeu. Buteur de la tête en finale de C1, Messi s’est même permis le luxe de faire mentir tous les observateurs de son match contre le deportivo en janvier qui étaient persuadés qu’il n’avait pas de jeu de tête (il y rate deux buts faciles en ne cadrant pas ses têtes).
Messi, qui a repris le numéro 10 de Ronaldinho et son flambeau de meilleur joueur du monde abandonné en boîte de nuit ou ailleurs, est déjà en haut de la montagne foot avec désormais en ligne de mire les étoiles. Et il n’a que 22 ans.
Ses cinq matches clés :
Atletico Madrid 1-3 FCB
Osasuna 2-3 FCB
Santander 1-2 FCB
FCB 4-0 Bayern Munich
Real Madrid 2-6 FCB
Statistiques (fcbarcelona.cat) :
Liga : 31 matches joués, 2634 minutes (dont 2491 comme titulaire), 23 buts et 5 passes décisives.
C1 : 12 matches joués, 985 minutes (dont 914 comme titulaire), 9 buts, 4 passes décisives.
Coupe du Roi : 8 matches joués, 470 minutes (dont 357 comme titulaire), 6 buts et 1 passe décisive.
Chronique: FCBclan
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3) XAVI Hernandez : l'apogée du maître
A 29 ans, le numéro 6 blaugrana a réalisé la meilleure saison de sa carrière et fait taire ses derniers détracteurs. Suite de notre Top 20 basé sur la moyenne des notes attribuées par les rédacteurs du FCB Clan.
Note moyenne : 6,54
Xavi Hernandez est le joueur de l’effectif actuel du Barça qui a le mieux connu Guardiola en tant que joueur de 1998 (son arrivée dans l’équipe première) à 2001 (départ de Pep). Quoi de plus naturel, donc, que Pep, devenu entraîneur, fasse du natif de Terrassa la pierre angulaire de son onze. Surtout que c’est plus ou moins le rôle que Xavi a eu depuis le départ de ce même Guardiola, même s’il s’est souvent retrouvé dans l’ombre, que ce soit celles de tauliers comme Cocu ou Luis Enrique, ou de stars comme Rivaldo ou Ronaldinho.
Le départ de ce dernier, mais aussi de Deco, le véritable leader technique du système Rijkaard, ont poussé Xavi à prendre enfin pleinement ses responsabilités. Désormais vice capitaine, l’homme aux plus de 450 matches sous la tunique blaugrana s’est également appuyé sur la confiance emmagasinée lors de l’Euro et du triomphe de la Roja auquel il a pleinement participé au point d’être élu meilleur joueur du tournoi (presque par défaut toutefois tant aucune figure n’a véritablement émergé de la formidable machine collective hispanique).
De fait Xavi a livré une saison extraordinaire. Car au-delà de ses statistiques impressionnantes (23 passes décisives dont quatre à Bernabeu !), c’est bel et bien le Xavi d’avant sa grave blessure au genou de la fin d’année 2005 que l’on a retrouvé, et même mieux encore, tant il assume désormais un véritable leadership sur la pelouse et dans le vestiaire. Rampe de lancement incontournable des mouvements offensifs avec sa qualité de passe incroyable, régulateur éternel du milieu de terrain avec sa couverture de balle diabolique, et même buteur à ses heures perdues que ce soit sur coup franc (comme en finale de Copa) ou après une offrande d’un partenaire, la panoplie du maestro Xavi est désormais mondialement connue. Et ne comptez pas sur lui pour prendre ombrage de la nouvelle aura médiatique (bien méritée) de Iniesta.
Les critiques portant sur son manque d’impact physique et d’agressivité défensive se sont évaporées. Et après les remontada de Osasuna (il marque le but du 2-2) et de Santander (c’est lui qui met la tête sur la barre qui amène l’égalisation de Messi), sa soi-disante réputation de « Casper » dans les moments difficiles a également pris un sacré coup. Dans un football moderne qui ne semble jurer que par le volume de jeu, Xavi, par un archaïsme revendiqué, prêche la densité du jeu. Faire des passes, réussir ses contrôles, conserver le ballon, le donner, se déplacer, la palette de Xavi n’a en fait jamais semblé aussi moderne. Certains rendent le football magique par l’addition de gestes, parfois superflus, Xavi tend de son côté à le sublimer par la soustraction en atteignant une sorte d’épure du geste juste.
Cette saison couronnée d’un triplé restera comme la meilleure de sa carrière devant celle du premier titre de l’ère Rijkaard en 2004-2005. Epoustouflant lors de la réception de l’Atletico Madrid avec un 6-1 qui sera comme un déclic pour la suite de la saison catalane, Xavi obtient la moyenne exceptionnelle de 7,50 pour le mois d’octobre. La suite continuera avec de hauts standards et une régularité impressionnante. Quelques ratés très rares comme son match à Mestalla (sans doute son plus mauvais match de la saison) mais pas mal de chefs d’œuvre, notamment le Clasico à Bernabeu qu’il a survolé de toute sa classe, sans oublier la finale de la Coupe du Roi ou celle de la Ligue des Champions.
La saison d’un maître à son apogée.
Ses cinq matches clés :
FCB 6-1 Atletico Madrid
FCB 6-0 Malaga
FCB 4-0 Séville
Real Madrid 2-6 FCB
FCB 2-0 Manchester United
Statistiques (fcbarcelona.cat) :
Liga : 35 matches joués, 3106 minutes (dont 3074 comme titulaire), 6 buts et 16 passes décisives.
C1 : 12 matches joués, 1027 minutes (dont 992 comme titulaire), 2 buts, 6 passes décisives.
Coupe du Roi : 5 matches joués, 245 minutes (dont 181 comme titulaire), 1 but et 1 passe décisive.
Chronique: FCBclan
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Vraiment peux de monde sur ce topic .
Le Barça sur Poulsen ? - 17:31
Alors que le Barça voulait recruter Javier Mascherano (Liverpool), Sport annonce que les Catalans doivent abandonner cette piste puisque le milieu argentin va prolonger. Du coup, le Barça se tournerait vers Christian Poulsen, ex milieu de Séville, aujourd'hui à la Juve.
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C'est l'information de la nuit en Espagne. Selon les deux journaux catalans El Mundo Deportivo et Sport, et selon les deux journaux madrilènes Marca et AS (ce qui est assez rare pour être souligné), Zlatan Ibrahimovic va jouer au FC Barcelone la saison prochaine. Catalunya Radio, média barcelonais souvent bien renseigné, annonce qu'un accord a été trouvé lors d'une réunion tenue jeudi soir à Milan entre Joan Laporta, président du Barça, et Massimo Moratti (son homologue à l'Inter) pour un transfert de 40 millions d'euros plus Samuel Eto'o et le prêt d'Aleksander Hleb pour une saison. L'attaquant camerounais, qui voulait quitter la Catalogne, aurait donné son accord.
Suite au refus de Valence de vendre son joyau David Villa, Barcelone s'était à nouveau tourné vers le buteur suédois (dont l'agent est le même que Maxwell, qui sera présenté ce vendredi à Barcelone) qui était l'une des priorités de Pep Guardiola. Selon une source proche du club, l'officialisation du transfert devrait se faire dans les prochaines heures.
l'equipe
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Makaveli. a écrit:
C'est l'information de la nuit en Espagne. Selon les deux journaux catalans El Mundo Deportivo et Sport, et selon les deux journaux madrilènes Marca et AS (ce qui est assez rare pour être souligné), Zlatan Ibrahimovic va jouer au FC Barcelone la saison prochaine. Catalunya Radio, média barcelonais souvent bien renseigné, annonce qu'un accord a été trouvé lors d'une réunion tenue jeudi soir à Milan entre Joan Laporta, président du Barça, et Massimo Moratti (son homologue à l'Inter) pour un transfert de 40 millions d'euros plus Samuel Eto'o et le prêt d'Aleksander Hleb pour une saison. L'attaquant camerounais, qui voulait quitter la Catalogne, aurait donné son accord.
Suite au refus de Valence de vendre son joyau David Villa, Barcelone s'était à nouveau tourné vers le buteur suédois (dont l'agent est le même que Maxwell, qui sera présenté ce vendredi à Barcelone) qui était l'une des priorités de Pep Guardiola. Selon une source proche du club, l'officialisation du transfert devrait se faire dans les prochaines heures.
l'equipe
C'est bon ça
Mais bon eto'o
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Oui je sais
Mais bon eto'o quoi,ca reste celui qui a marquer des buts cruciaux
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jobodan a écrit:
jom02 a écrit:
Oui je sais
Mais bon eto'o quoi,ca reste celui qui a marquer des buts cruciauxLE Barca fait une mauvaise affaire
Non! Tu veras Eto o je sais que c'est un tres tres bon joueur,un grand buteur,mais il ne s'entendait plus avec le président.
Mais Ibra au Barça sa va le faire c'est l'equipe parfaite pour lui
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Semc0 a écrit:
jobodan a écrit:
jom02 a écrit:
Oui je sais
Mais bon eto'o quoi,ca reste celui qui a marquer des buts cruciauxLE Barca fait une mauvaise affaire
Non! Tu veras Eto o je sais que c'est un tres tres bon joueur,un grand buteur,mais il ne s'entendait plus avec le président.
Mais Ibra au Barça sa va le faire c'est l'equipe parfaite pour lui
Moi je le sens bien Ibra, il est toujours plus fort que ses coéquipiers, au Barça il va pouvoir enfin jouer à son vrai niveau.
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Eto'o + Hleb + 40M !
C'est nawak ! Et l'arrière gauche de grande classe on l'attend toujours !
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