Forum officiel du meilleur jeu de foot français
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pas mal de tricheur
Dernière modification par Dud..Incorporation (05-10-2009 16:50:35)
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Alors qu'un soir d'été
J'allais me reposer
Une prostitué m'a baisé
Elle avait des beaux nénés
Quand elle m'a sucé
Elle c'est étouffé
Que devais-je faire ?
Continuer à la sauté
9 mois plus tard un bébé est née
Il s'appella hé bien Hervé
A 13 ans il a enfin spermé
Il n'en revenais pas il été choqué.
Dernière modification par Charles-14 (02-10-2009 17:07:02)
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Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse,
Je vous rencontre au bois où ma flaneuse Muse
Entend venir de loin les cris facétieux
Des femmes en bonnet et des gars en messieurs
Qui leur donnent le bras en fumant un cigare,
Tandis qu'en un bosquet le marié s'égare,
Souvent imberbe et jeune, ou parfois mûr et veuf,
Et tout fier de sentir, sur sa manche en drap neuf,
Chef-d'oeuvre d'un tailleur-concierge de Montrouge,
Sa femme, en robe blanche, étaler sa main rouge.
Regardez-les passer, ces couples éphémères !
Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment,
Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières,
Font le même serment :
Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent
Avec étonnement entendent prononcer,
Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent
Et qui vont se glacer.
Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse
Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur,
Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse
D'un instant de bonheur ?
Amants, autour de vous une voix inflexible
Crie à tout ce qui naît : "Aime et meurs ici-bas ! "
La mort est implacable et le ciel insensible ;
Vous n'échapperez pas.
Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure,
Forts de ce même amour dont vous vous enivrez
Et perdus dans le sein de l'immense Nature,
Aimez donc, et mourez !
II
Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile
Quand un charme invincible emporte le désir,
Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile
A frémi de plaisir.
Notre serment sacré part d'une âme immortelle ;
C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ;
Nous entendons sa voix et le bruit de son aile
Jusque dans nos transports.
Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie
Pâlir au firmament les astres radieux,
Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie,
Leur lien pour les cieux.
Dans le ravissement d'une éternelle étreinte
Ils passent entraînés, ces couples amoureux,
Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte
Un regard autour d'eux.
Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ;
Leur espoir est leur joie et leur appui divin ;
Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe
Leur pied heurte en chemin.
Toi-même, quand tes bois abritent leur délire,
Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers,
Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire
S'ils mouraient tout entiers ?
Sous le voile léger de la beauté mortelle
Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt,
Le temps de l'entrevoir, de s'écrier : " C'est Elle ! "
Et la perdre aussitôt,
Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée
Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour.
Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée
Pour un être d'un jour !
Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles,
Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir,
Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles
Ne puissent t'émouvoir,
Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre
Tu dises : " Garde-les, leurs cris sont superflus.
Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ;
Tu ne les rendras plus ! "
Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ;
Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein.
Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre,
Va s'aimer dans ton sein.
Eternité de l'homme, illusion ! chimère !
Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain !
Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère,
Il lui faut un demain !
Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle
Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés,
Vous oubliez soudain la fange maternelle
Et vos destins bornés.
Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires
Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ?
Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères
En face du néant.
Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles :
" J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. "
La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles
Luiront sur vos tombeaux.
Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse
A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ;
La fleur que vous brisez soupire avec ivresse :
"Nous aussi nous aimons !"
Heureux, vous aspirez la grande âme invisible
Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ;
La Nature sourit, mais elle est insensible :
Que lui font vos bonheurs ?
Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle,
C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor.
Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle,
Et vous laisse la mort.
Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ;
Le reste est confondu dans un suprême oubli.
Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître :
Son voeu s'est accompli.
Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines,
Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus,
Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines
Vous jettent éperdus ;
Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre
Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas,
Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre
L'Infini dans vos bras ;
Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure
Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims,
Ces transports, c'est déjà l'Humanité future
Qui s'agite en vos seins.
Elle se dissoudra, cette argile légère
Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ;
Les vents vont disperser cette noble poussière
Qui fut jadis un coeur.
Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame
De vos espoirs brisés, de vos amours éteints,
Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme,
Dans les âges lointains.
Tous les êtres, formant une chaîne éternelle,
Se passent, en courant, le flambeau de l'amour.
Chacun rapidement prend la torche immortelle
Et la rend à son tour.
Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante,
Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea,
De la tenir toujours : à votre main mourante
Elle échappe déjà.
Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ;
Il aura sillonné votre vie un moment ;
En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme
Votre éblouissement.
Et quand il régnerait au fond du ciel paisible
Un être sans pitié qui contemplât souffrir,
Si son oeil éternel considère, impassible,
Le naître et le mourir,
Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même,
Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu !
Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime,
Et pardonnez à Dieu !
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Italie, Italie, ô terre où toutes choses
Frissonnent de soleil, hormis tes méchants vins !
Paradis où l'on trouve avec des lauriers-roses
Des sorbets à la neige et des ballets divins !
Terre où le doux langage est rempli de diphthongues !
Voici qu'on pense à toi, car voici venir mai,
Et nous ne verrons plus les redingotes longues
Où tout parfait dandy se tenait enfermé.
Sourire du printemps, je t'offre en holocauste
Les manchons, les albums et le pesant castor.
Hurrah ! gais postillons, que les chaises de poste
Volent, en agitant une poussière d'or !
Les lilas vont fleurir, et Ninon me querelle,
Et ce matin j'ai vu mademoiselle Ozy
Près des Panoramas déployer son ombrelle :
C'est que le triste hiver est bien mort, songez-y !
Voici dans le gazon les corolles ouvertes,
Le parfum de la sève embaumera les soirs,
Et devant les cafés, des rangs de tables vertes
Ont par enchantement poussé sur les trottoirs.
Adieu donc, nuits en flamme où le bal s'extasie !
Adieu, concerts, scotishs, glaces à l'ananas ;
Fleurissez maintenant, fleurs de la fantaisie,
Sur la toile imprimée et sur le jaconas !
Et vous, pour qui naîtra la saison des pervenches,
Rendez à ces zéphyrs que voilà revenus,
Les légers mantelets avec les robes blanches,
Et dans un mois d'ici vous sortirez bras nus !
Bientôt, sous les forêts qu'argentera la lune,
S'envolera gaîment la nouvelle chanson ;
Nous y verrons courir la rousse avec la brune,
Et Musette et Nichette avec Mimi Pinson !
Bientôt tu t'enfuiras, ange Mélancolie,
Et dans le Bas-Meudon les bosquets seront verts.
Débouchez de ce vin que j'aime à la folie,
Et donnez-moi Ronsard, je veux lire des vers.
Par ces premiers beaux jours la campagne est en fête
Ainsi qu'une épousée, et Paris est charmant.
Chantez, petits oiseaux du ciel, et toi, poëte,
Parle ! nous t'écoutons avec ravissement.
C'est le temps où l'on mène une jeune maîtresse
Cueillir la violette avec ses petits doigts,
Et toute créature a le coeur plein d'ivresse,
Excepté les pervers et les marchands de bois !
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La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.
Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.
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Tout n'est plein ici bas que de vaine apparence,
Ce qu'on donne à sagesse est conduit par le sort,
L'on monte et l'on descend avec pareil effort,
Sans jamais rencontrer l'état de consistance.
Que veiller et dormir ont peu de différence,
Grand maître en l'art d'aimer, tu te trompes bien fort
En nommant le sommeil l'image de la mort,
La vie et le sommeil ont plus de ressemblance.
Comme on rêve en son lit, rêver en la maison,
Espérer sans succès, et craindre sans raison,
Passer et repasser d'une à une autre envie,
Travailler avec peine et travailler sans fruit,
Le dirai-je, mortels, qu'est-ce que cette vie ?
C'est un songe qui dure un peu plus qu'une nuit.
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Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Ah ! Fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénument je vous le dise
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez
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Aux bords de ton lac enchanté,
Loin des sots préjugés que l'erreur déifie,
Couvert du bouclier de ta philosophie,
Le temps n'emporte rien de ta félicité ;
Ton matin fut brillant ; et ma jeunesse envie
L'azur calme et serein du beau soir de ta vie !
Ce qu'on appelle nos beaux jours
N'est qu'un éclair brillant dans une nuit d'orage,
Et rien, excepté nos amours,
N'y mérite un regret du sage ;
Mais, que dis-je ? on aime à tout âge :
Ce feu durable et doux, dans l'âme renfermé,
Donne plus de chaleur en jetant moins de flamme ;
C'est le souffle divin dont tout l'homme est formé,
Il ne s'éteint qu'avec son âme.
Etendre son esprit, resserrer ses désirs,
C'est là ce grand secret ignoré du vulgaire :
Tu le connais, ami ; cet heureux coin de terre
Renferme tes amours, tes goûts et tes plaisirs ;
Tes voeux ne passent point ton champêtre domaine,
Mais ton esprit plus vaste étend son horizon,
Et, du monde embrassant la scène,
Le flambeau de l'étude éclaire ta raison.
Tu vois qu'aux bords du Tibre, et du Nil et du Gange,
En tous lieux, en tous temps, sous des masques divers,
L'homme partout est l'homme, et qu'en cet univers,
Dans un ordre éternel tout passe et rien ne change ;
Tu vois les nations s'éclipser tour à tour
Comme les astres dans l'espace,
De mains en mains le sceptre passe,
Chaque peuple a son siècle, et chaque homme a son jour ;
Sujets à cette loi suprême,
Empire, gloire, liberté,
Tout est par le temps emporté,
Le temps emporta les dieux même
De la crédule antiquité,
Et ce que des mortels dans leur orgueil extrême
Osaient nommer la vérité.
Au milieu de ce grand nuage,
Réponds-moi : que fera le sage
Toujours entre le doute et l'erreur combattu ?
Content du peu de jours qu'il saisit au passage,
Il se hâte d'en faire usage
Pour le bonheur et la vertu.
J'ai vu ce sage heureux ; dans ses belles demeures
J'ai goûté l'hospitalité,
A l'ombre du jardin que ses mains ont planté,
Aux doux sons de sa lyre il endormait les heures
En chantant sa félicité.
Soyez touché, grand Dieu, de sa reconnaissance.
Il ne vous lasse point d'un inutile voeu ;
Gardez-lui seulement sa rustique opulence,
Donnez tout à celui qui vous demande peu.
Des doux objets de sa tendresse
Qu'à son riant foyer toujours environné,
Sa femme et ses enfants couronnent sa vieillesse,
Comme de ses fruits mûrs un arbre est couronné.
Que sous l'or des épis ses collines jaunissent ;
Qu'au pied de son rocher son lac soit toujours pur ;
Que de ses beaux jasmins les ombres s'épaississent ;
Que son soleil soit doux, que son ciel soit d'azur,
Et que pour l'étranger toujours ses vins mûrissent.
Pour moi, loin de ce port de la félicité,
Hélas ! par la jeunesse et l'espoir emporté,
Je vais tenter encore et les flots et l'orage ;
Mais, ballotté par l'onde et fatigué du vent,
Au pied de ton rocher sauvage,
Ami, je reviendrai souvent
Rattacher, vers le soir, ma barque à ton rivage.
------------------------------------------
Les caresses des yeux sont les plus adorables ;
Elles apportent l'âme aux limites de l'être,
Et livrent des secrets autrement ineffables,
Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaître.
Les baisers les plus purs sont grossiers auprès d'elles ;
Leur langage est plus fort que toutes les paroles ;
Rien n'exprime que lui les choses immortelles
Qui passent par instants dans nos êtres frivoles.
Lorsque l'âge a vieilli la bouche et le sourire
Dont le pli lentement s'est comblé de tristesses,
Elles gardent encor leur limpide tendresse ;
Faites pour consoler, enivrer et séduire,
Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes !
Et quelle autre caresse a traversé des larmes ?
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J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline.
Dans l'âpre escarpement qui sur le flot s'incline,
Que l'aigle connaît seul et seul peut approcher,
Paisible, elle croissait aux fentes du rocher.
L'ombre baignait les flancs du morne promontoire ;
Je voyais, comme on dresse au lieu d'une victoire
Un grand arc de triomphe éclatant et vermeil,
À l'endroit où s'était englouti le soleil,
La sombre nuit bâtir un porche de nuées.
Des voiles s'enfuyaient, au loin diminuées ;
Quelques toits, s'éclairant au fond d'un entonnoir,
Semblaient craindre de luire et de se laisser voir.
J'ai cueilli cette fleur pour toi, ma bien-aimée.
Elle est pâle, et n'a pas de corolle embaumée,
Sa racine n'a pris sur la crête des monts
Que l'amère senteur des glauques goémons ;
Moi, j'ai dit: Pauvre fleur, du haut de cette cime,
Tu devais t'en aller dans cet immense abîme
Où l'algue et le nuage et les voiles s'en vont.
Va mourir sur un coeur, abîme plus profond.
Fane-toi sur ce sein en qui palpite un monde.
Le ciel, qui te créa pour t'effeuiller dans l'onde,
Te fit pour l'océan, je te donne à l'amour. -
Le vent mêlait les flots; il ne restait du jour
Qu'une vague lueur, lentement effacée.
Oh! comme j'étais triste au fond de ma pensée
Tandis que je songeais, et que le gouffre noir
M'entrait dans l'âme avec tous les frissons du soir !
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nono : À moins que tu sois Copée en personne, rien que le premier poème ne peut provenir de toi
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up et surtout merci aux imbéciles qui viennet pourri le post
je pense faire les recompense lundi ca fait trop long mercredi
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wanger a écrit:
nono : À moins que tu sois Copée en personne, rien que le premier poème ne peut provenir de toi
Post le tiens
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Suce-moi les noix
ou j'vais faire caca
ohlala, j'ai les ver
en parlant de ver,
voici le dernier.
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Mon Mari
Encore aujourd'hui après toutes ces années
Mon amour grandit sans cesse à tes côtés
Laisse encore mon coeur te parler d'amour
Laisse moi te dire je t'aime pour toujours
Quand je te regarde dans les yeux
Je vois en toi un coeur heureux
Si doux et si bon est ton coeur
Vivre avec toi c'est vivre le bonheur
Nous avons sû prendre le temps
De s'aimer tendrement
Se dire chaque jour et à chaque instant
Je t'aime éperdument
Mon amour pour toi est si grand
Laisse mon coeur te dire sincèrement
"Prend ma main et viens
Toi mon TheMancunien
Ensemble sur ce long chemin
Car dans tes bras c'est mon destin"
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Sérieusement et c'est par moi pas comme certains ..
Le jour ou je t'ai vu,
Mes yeux en était jaillissant,
Je n'avais jamais ressentis ça,
Maintenant on s'aime et ceux pour la vie,
jamais de fin je l'espère,
même la mort ne pourra rien y changer,
je t'aime et ceux POUR TOUJOURS.
Fait en 30s.
Dernière modification par Charles-14 (02-10-2009 23:13:31)
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up
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J'aimerait gagner
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Je vais glisser deux de mes poèmes ici, j'en ai choisis deux à l'arrache puisque j'en ai écris plus d'une vingtaine ^^
Vous pourrez remarquer que ce sont des poèmes à acrostiches (les premières lettres de chaque vers transmettent un message)
Ta santé et ton bien-être ont toujours passé avant tout.
Avec ce qui s'est passé cela semble pourtant un peu fou,
Vivre sans toi n'aurait cependant aucun goût,
Il m'était donc impossible de te laisser au fond du trou,
En somme rappelle toi que j'ai toujours cherché ton bonheur,
Priant pour que j'en sois partisans par ma bonne humeur.
Alors quand les nombreux problèmes sont apparu pour toi,
Si bien que tu n'arrivais plus à vivre de tout cela,
Souviens-toi que j'étais là tout le temps pour te soutenir,
Avec toute mes astuces j'essayais de te redonner le sourire.
Il ne pouvait y avoir un jour sans penser à toi mon cœur,
Tes douleurs me faisait souffrir à un point où certains meurent.
Avant tout je résistais à tout ce qui m'arrivait en interne,
Virus ou stress pour que rien n'apparaisse en externe,
Avant tout je cédais à tout tes caprices de princesse chouchouté,
N'y voyant aucun inconvénient si c'était ce bonheur que tu souhaitais.
Tout ce que tu attendais de moi je tendais à te l'offrir,
La plus belle des récompenses aurait été de me rendre le plaisir.
Avant tout j'aspirais à ce que tu oublis tout ces malheurs,
Même si les cicatrices étaient marquées au plus profond de ton cœur.
Ici je te montre que j'ai toujours fait passer ta vie en première loge,
Et que même après tout ce qui c'est passé je continue sur des éloges.
Ne vois-tu pas que mon seul plaisir était d'être avec toi ?
Ne vois-tu pas qu'aujourd'hui encore ma vie ne passe plus par moi ?
Entre autre tu peux voir que j'ai perdu la vie en perdant mon amour ...
Et aussi, plus court ...
Mon cœur s'est arrêté de battre depuis une semaine,
On pourrait se dire en me lisant que c'est une rengaine,
Nos amours ont en effet trop souvent une triste fin,
Cependant comme j'aime à le dire, fréquemment en vain,
On peut aimer pour aimer ou aimer pour une vie.
Et c'est malheureusement la deuxième voie que j'ai choisis,
Une triste erreur au vu de la façon dont j'ai été recalé,
Rallié du côté des célibataires qui n'auraient plus qu'à chialer,
Bien que notre relation soit pour moi la plus belle de ma vie,
Au fur et à mesure que je respire je ressens ce qui m'a affaiblis,
Tes douces mains posées sur mon si fragile cœur,
Auquel tu as mélangé en soupçon regret et rancœur.
Une fois que j'ai été brisé, difficile pour moi de me relever,
Rire à nouveau comme si rien ne s'était passé,
Yin pour l'amour et Yang pour la tristesse,
Ton si doux souffle dans mon cou restera ma faiblesse.
Habitué au goût de tes lèvres et abonné à tes yeux,
Mon bonheur sans toi semble décidément trop frileux.
Et si beaucoup trop de gens disent que je me répète,
Désormais je me justifie en définissant ceci comme une requête,
Une action nécessaire pour m'aider à guérir,
Tant cette rupture me fait aujourd'hui trop souffrir.
Il me faudra beaucoup trop de temps pour cicatriser,
Et aujourd'hui je répète que je continue de t'aimer.
Nos cœurs sont brisés et je rêve de les rassembler ...
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la plupart son debile ses 4phrase et la vous sortez 50phrase que tous monde ses que ses pas de vous
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pierredu5930 a écrit:
Le silence est diamant dans cette nuit sans lune
Il faudrait que jamais rien n'y fasse de tache
Un instant je crois vivre au coeur de la lagune
Je vais chercher mes rêves mes dernières attaches.
Trouvé sur google.
Fabiio_ a écrit:
Mon Coeur . . .
Mon coeur lassé de tout, même de l'espérance,
N'ira plus de ses voeux importuner le sort ,
Prêtez-moi seulement le vallon de mon enfance
Un asile d'un jour pour attendre la mort.
Yépp vive mon Poeme
Pareil.
Giulydu54300 a écrit:
S’envoyer en l’air
Allez viens je suis prête, fait moi vibrer
Jouons aux manèges fait moi le tourniquer
Enclenche la première, et non la marche arrière
Accroche toi a mes aires bagues, voie j’ai ce qu’il faut
Viens accélère à toute puissance, woua je sens que ca monte
Ne t’arrête pas en route, ne joue pas la déroute
Je vais faire remonter le piston, pour volé comme dans l’avion
Je tire sur le manche, que la fête commence
Je vais sur gagner le grand huit ‘j’ai attrapé le pompon
Et ses repartit pour un tour gratuit, ca va tu tien le choc
Le tour va bientôt finir, tu viens de partir .
Encore
AST.Templeuve.A a écrit:
J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline.
Dans l'âpre escarpement qui sur le flot s'incline,
Que l'aigle connaît seul et seul peut approcher,
Paisible, elle croissait aux fentes du rocher.
L'ombre baignait les flancs du morne promontoire ;
Je voyais, comme on dresse au lieu d'une victoire
Un grand arc de triomphe éclatant et vermeil,
À l'endroit où s'était englouti le soleil,
La sombre nuit bâtir un porche de nuées.
Des voiles s'enfuyaient, au loin diminuées ;
Quelques toits, s'éclairant au fond d'un entonnoir,
Semblaient craindre de luire et de se laisser voir.
J'ai cueilli cette fleur pour toi, ma bien-aimée.
Elle est pâle, et n'a pas de corolle embaumée,
Sa racine n'a pris sur la crête des monts
Que l'amère senteur des glauques goémons ;
Moi, j'ai dit: Pauvre fleur, du haut de cette cime,
Tu devais t'en aller dans cet immense abîme
Où l'algue et le nuage et les voiles s'en vont.
Va mourir sur un coeur, abîme plus profond.
Fane-toi sur ce sein en qui palpite un monde.
Le ciel, qui te créa pour t'effeuiller dans l'onde,
Te fit pour l'océan, je te donne à l'amour. -
Le vent mêlait les flots; il ne restait du jour
Qu'une vague lueur, lentement effacée.
Oh! comme j'étais triste au fond de ma pensée
Tandis que je songeais, et que le gouffre noir
M'entrait dans l'âme avec tous les frissons du soir !
Les mecs, ne tentez pas si c'est pour tricher.
De toutes façons c'est grillés. Il le verras il a juste à faire copier/coller et mettre ça sur google.
Et je n'ai pas tout regardé, mais je ne me fais pas d'illusions.
Dernière modification par Antonin- (03-10-2009 13:58:57)
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Voici mon poème ( surement le seul créé et non trouvé sur Google.) :
Loin du coeur.
Quand je ferme les yeux,
Je vous vois
Et je ne sais pas pourquoi,
Pourquoi je ne peux pas vous oublier.
Quand le soleil brille
Je pense sans cesse à vous
Peut-être vous ne le savez pas
Mais je suis tellement amoureux de vous
Dites moi que faire
J'ai très peur de vous perdre
Dites moi que faire
Je ne veux pas être loin de vous
Je sais que c'est peut être juste un rêve
Je sais que je ne peux pas le réaliser
Donc pourquoi ?
Pourquoi je vis,
Si je ne peux pas être avec vous ?
Antonin
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Tu peux toujours taper mes poèmes, tu tomberas sur mon skyblog de mon côté
Et tout les poèmes de mon blog sont authentiques, donc j'ai pas de cas de conscience à avoir
Après il est vrai que certains sont facilement grillable, j'ai pas cherché loin, il suffit de taper le 1e vers sur google et ça peut déjà suffire à retrouver l'origine ...
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les mien son de moi
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Passe les moi direct,
sinon je te casse la tête,
tu sais ce qu'il te reste à faire,
sur la tête de ta mère ...
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Moi fait de moi !
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Moi aussi
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Jsuis vachement inspiré aujourd'hui :
Trois allumettes une à une
Allumées dans la nuit.
La première pour voir ton visage
Tout entier,
La seconde pour voir tes yeux,
La dernière pour voir ta bouche,
Et l'obscurité pour me rappeler
Tout cela,
En te serrant dans mes bras
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vavadu35 a écrit:
Jsuis vachement inspiré aujourd'hui :
Trois allumettes une à une
Allumées dans la nuit.
La première pour voir ton visage
Tout entier,
La seconde pour voir tes yeux,
La dernière pour voir ta bouche,
Et l'obscurité pour me rappeler
Tout cela,
En te serrant dans mes bras
ses de jacques prevert dsl grillé
http://francais.agonia.net/index.php/po … index.html
arretter un peu les ga sa devient ridicule ^^
Dernière modification par Dud..Incorporation (04-10-2009 15:47:30)
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Mais quand on se vera un jours ou l'autre
Mais quand tu sera la un jours ou l'autre
Je serai que ses toi parmis tant d'autre
Sans dire un mots . sans dire un mots
dud omg je crois que c'est Emmanuel Moire!! YEP emmanuel moire joue a foot land
adultes&sexy talalala
donc résultat (roulement de tambour)
en numéro 1 : Wanger
en numéro 2 : pierre nicolas
en numéro 3 : koopa
je vais vous MP pour vos cadeaux
ps vive la triche pour certains qui peuvent pas se casser les noix^^
Dernière modification par themancunien (05-10-2009 11:44:57)
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themancunien a écrit:
Mais quand on se vera un jours ou l'autre
Mais quand tu sera la un jours ou l'autre
Je serai que ses toi parmis tant d'autre
Sans dire un mots . sans dire un mots
dud omg je crois que c'est Emmanuel Moire!! YEP emmanuel moire joue a foot land
adultes&sexy talalala
donc résultat (roulement de tambour)
en numéro 1 : Wanger
en numéro 2 : pierre nicolas
en numéro 3 : koopa
je vais vous MP pour vos cadeaux
ps vive la triche pour certains qui peuvent pas se casser les noix^^
oui sa ses pour rire la mienne et la regarde ^^
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