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Je pourrais pas jouer ce soir mon frère a récupéré sa play, on jouera demain si tu veux j'ai toute la journée.
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Lucenzo a écrit:
Jo-- Anti Flic, on kick, toi tu flippes! On arrive sans cagoule ma couzine
Payes ta tête Gitan
Dernière modification par Kempes- (15-06-2011 21:25:46)
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ID des CJB :
Pseudo ID Jeux
Ruan ==> Ruan13 COD 6/7 MOH BBC2 MAG LP2
messi ==> ToXic-Sh0ut COD 4/6/7 BBC2 GTA4 MGS4 GT5 PES2011
Darky ==> Dark_Thumb COD 6/7, Fifa
Manaje ==> Grome61 COD 5/6/7 - FIFA11
Lewis- ===> Huugo_OL COD6/FIFA11/GTA IV
Sta-7. ==> AntOnin14o7 COD5/7 - Fifa 11 - GT5
Valounet ==> ValR67 COD 6/7 - Fifa 11 - GTA IV
Alexx- ==> SuperYellow- FIFA - LBP - Burnout...
wwedamien ==> wwedamien FIFA11 - COD7 - Top Spin 4
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Et moi ?
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Faut s'ajouter, on est pas tes chiens.
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Got' ==> Got326 COD 5/6/7 - Fifa 11 - GTA IV
Il est bien Top Spin 4, Damien ??
Parce que je me tâte à l'acheter ... ^^
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Ruan a écrit:
PFL ==> gamins
Savais tu qu'un gamin n'est pas en fait ce que tu crois ? En effet tu traites les autres de gamins mais tu en es certainement un. Tu aimes les jeux videos je crois, or c'est un truc de gamin... Momo Gamin en est l'exemple type... il n'était pas gamin, il avait seulement un rattata niveau 5 juste avant la première arène... Au bout du compte, la problématique de l'immaturité s'éloigne du psychologisme et de toutes ses implications sur le réalisme naïf, lequel tend à rattacher la subjectivité aux vécus de conscience, alors que seule l'intentionnalité importe dans le roman stendhalien. moi même je peux vous traiter de gamin mais qui suis-je pour vous juger ? only god can judge me non ? Voici un premier argument : Eh, les neuneus, les jeux Mario, dites vous, c´est pour les gamins. Excusez moi mais sur quoi jouez vous ? Sur une console, non ? Dites moi, dans jouer il y a une fonction ludique. Quoi qu´il arrive vous tapez sur des boutons. Très évolué admettons le. Mais vous etes déjà vous dit que le fait de jouer sur une console était dans ce cas un peu gamin...
Les jeunes, si vous voulez être adultes, prenez des actions en bourse, allez dans les pays sous développés et aidez la croix rouge. La on pourra dire effectivement que vous n´etes pas des gamins. Surtout retenez que le célèbre philosophe norvégien Jostein Gaarder, dans sa très générosité d'intellectuel européen, daigne reconnaître que l'Europe est responsable de la Shoah et va jusqu'à accorder au peuple juif le droit d'avoir un pays. Ce n'est pas une réaction de gamin ça mais si je déteste les juifs je pourrais dire que c'est un gamin.... Es tu toi même mature la question est ici?????
Hou, tendu le niveau !
Le niveau ??? niveau de vie, niveau de mon pokémon, niveau de l'eau, (ca)niveau ??? Tu postes toi même une phrase qui nous laisse sur plusieurs questions, que veux tu dire par là ?
L'hypothèse des niveaux de traitement repose donc sur l'idée que la trace mnésique est un produit des traitements perceptifs reposant sur un continuum, du plus superficiel au plus profond : plus le traitement est profond, plus la trace sera persistante.
Craik et Lockhart en viennent alors à proposer deux mécanismes possibles de la répétition : La répétition de maintenance qui garde les informations actives et la répétition élaborée permettant un traitement plus profond.
De nombreuses études utilisant le paradigme des tâches d'orientation (type d'apprentissage incident durant lequel on va orienter le sujet vers un traitement particulier du stimulus : graphémique, phonologique, sémantique, référence à soi…) montrent que les traitements profonds favorisent la mémoire, Craik et Tulving (1975) ayant montré par ailleurs que le type de traitement semble plus important que le temps de traitement.
Les difficultés de la théorie
1. Des auteurs ont souligné le raisonnement circulaire de l'hypothèse des niveaux de traitement notamment parce qu'il a été impossible de proposer des méthodes de mesure des niveaux de traitement indépendamment de la performance de la mémoire.
2. L'hypothèse du traitement approprié au transfert (transfer-appropriate processing) : cette hypothèse repose sur l'idée que la mémoire est meilleure si les processus utilisés lors du test sont appariés aux processus utilisés pendant la phase d'étude. Cet aspect serait plus important que le niveau de traitement des informations.
C'est ce qu'indique l'expérience de Morris, Bransford et Franks (1977.) Les sujets devaient effectuer lors de l'étude un traitement superficiel de type phonologique (tâche de rime) ou un traitement profond sémantique de mots. Lors du test, les sujets effectuaient soit un test de reconnaissance standard des mots parmi un ensemble de distracteurs, soit un test de reconnaissance de rimes (juger si des distracteurs riment avec les mots cibles étudiés).
J'attends maintenant une réponse argumentée de ta part... montres nous ta répartie.
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Justifies ta réponse comme au BAC !
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Pavey César...
http://www.youtube.com/watch?v=fpMMc0hhBvo
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messidu15 a écrit:
Pavey César...
http://www.youtube.com/watch?v=fpMMc0hhBvo
Pavey ? Je crois que ce mot n'existe pas.... et ensuite tu traites les autres de gamins... Moi au moins je sais écrire... Vaut mieux balayer devant sa porte avant de balayer devant celles des autres messidu15.
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Daninho a écrit:
messidu15 a écrit:
Pavey César...
http://www.youtube.com/watch?v=fpMMc0hhBvoPavey ? Je crois que ce mot n'existe pas.... et ensuite tu traites les autres de gamins... Moi au moins je sais écrire... Vaut mieux balayer devant sa porte avant de balayer devant celles des autres messidu15.
Et l'humour tu connais ? Montre moi le post où j'ai "traité" quelqu'un de gamin ?
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Lewis- a écrit:
Romy, Maiden, à vous !
Je vais l'achever, ce serait dommage.
Puis c'est un messin, faut pas abuser.
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Ruan ==> Ruan13 COD 6/7 MOH BBC2 MAG LP2
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wwedamien ==> wwedamien FIFA11 - COD7 - Top Spin 4
Got' ==> Got326 COD 5/6/7 - Fifa 11 - GTA IV
Maiden ==> Viktor_Troska_68 COD 5/6/7 MOH BBC2 Fifa 11 RDR ...
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messidu15 a écrit:
Daninho a écrit:
Non je ne le connais pas c'est qui ?
ok je te le montre...
ici:messidu15 a écrit:
La PFL c'est des gamins.
Lien ?
page 513
ici
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Lewis- a écrit:
Pour une fois que tu as l'autorisation de faire un pavé !
C'est dans la lutte historique elle-même qu'il faut réaliser la fusion de la connaissance et de l'action, de telle sorte que chacun de ces termes place dans l'autre la garantie de sa vérité. La constitution de la classe prolétarienne en sujet, c'est l'organisation des luttes révolutionnaires et l'organisation de la société dans le moment révolutionnaire : c'est là que doivent exister les conditions pratiques de la conscience, dans lesquelles la théorie de la praxis se confirme en devenant théorie pratique. Cependant, cette question centrale de l'organisation a été la moins envisagée par la théorie révolutionnaire à l'époque où se fondait le mouvement ouvrier, c'est-à-dire quand cette théorie possédait encore le caractère unitaire venu de la pensée de l'histoire (et qu'elle s'était justement donné pour tâche de développer jusqu'à une pratique historique unitaire). C'est au contraire le lieu de l'inconséquence pour cette théorie, admettant la reprise de méthodes d'applications étatiques et hiérarchiques empruntées à la révolution bourgeoise. Les formes d'organisation du mouvement ouvrier développées sur ce renoncement de la théorie ont en retour tendu à interdire le maintien d'une théorie unitaire qu'elle a trahie, quand une telle vérification surgit dans la lutte spontanée des ouvriers : elle peut seulement concourir à en réprimer la manifestation et la mémoire. Cependant, ces formes historiques apparues dans la lutte sont justement le milieu pratique qui manquait à la théorie pour qu'elle soit vraie. Elles sont une exigence de la théorie, mais qui n'avait pas été formulée théoriquement. Le soviet n'était pas une découverte de la théorie. Et déjà la plus haute vérité théorique de l'Association Internationale des Travailleurs était sa propre existence en pratique.
Les premiers succès de la lutte de l'Internationale la menaient à s'affranchir des influences confuses de l'idéologie dominante qui subsistaient en elle. Mais la défaite et la répression qu'elle rencontra bientôt firent passer au premier plan un conflit entre deux conceptions de la révolution prolétarienne, qui toutes deux contiennent une dimension autoritaire par laquelle l'auto-émancipation consciente de la classe est abandonnée. En effet, la querelle devenue irréconciliable entre les marxistes et les bakouninistes était double, portant à la fois sur le pouvoir dans la société révolutionnaire et sur l'organisation présente du mouvement, et en passant de l'un à l'autre de ces aspects, les positions des adversaires se renversent. Bakounine combattait l'illusion d'une abolition des classes par l'usage autoritaire du pouvoir étatique, prévoyant la reconstitution d'une classe dominante bureaucratique et la dictature des plus savants, ou de ceux qui seront réputés tels. Marx, qui croyait qu'un mûrissement inséparable des contradictions économiques et de l'éducation démocratique des ouvriers réduirait le rôle d'un Etat prolétarien à une simple phase de législation de nouveaux rapports sociaux s'imposant objectivement, dénonçait chez Bakounine et ses partisans l'autoritarisme d'une élite conspirative qui s'était délibérément placée au-dessus de l'Internationale, et formait le dessein extravagant d'imposer à la société la dictature irresponsable des plus révolutionnaires, ou de ceux qui se seront eux-mêmes désignés comme tels. Bakounine effectivement recrutait ses partisans sur une telle perspective : «Pilotes invisibles au milieu de la tempête populaire, nous devons la diriger, non par un pouvoir ostensible, mais par la dictature collective de tous les alliés. Dictature sans écharpe, sans titre, sans droit officiel, et d'autant plus puissante qu'elle n'aura aucune des apparences du pouvoir.» Ainsi se sont opposées deux idéologies de la révolution ouvrière contenant chacune une critique partiellement vraie, mais perdant l'unité de la pensée de l'histoire, et s'instituant elles-mêmes en autorités idéologiques. Des organisations puissantes, comme la social-démocratie allemande et la Fédération Anarchiste Ibérique, ont fidèlement servi l'une ou l'autre de ces idéologies ; et partout le résultat a été grandement différent de ce qui était voulu.
Le fait de regarder le but de la révolution prolétarienne comme immédiatement présent constitue à la fois la grandeur et la faiblesse de la lutte anarchiste réelle (car dans ses variantes individualistes, les prétentions de l'anarchisme restent dérisoires). De la pensée historique des luttes de classes modernes, l'anarchisme collectiviste retient uniquement la conclusion, et son exigence absolue de cette conclusion se traduit également dans son mépris délibéré de la méthode. Ainsi sa critique de la lutte politique est restée abstraite, tandis que son choix de la lutte économique n'est lui-même affirmé qu'en fonction de l'illusion d'une solution définitive arrachée d'un seul coup sur ce terrain, au jour de la grève générale ou de l'insurrection. Les anarchistes ont à réaliser un idéal. L'anarchisme est la négation encore idéologique de l'Etat et des classes, c'est à dire des conditions sociales mêmes de l'idéologie séparée. C'est l'idéologie de la pure liberté qui égalise tout et qui écarte toute idée du mal historique. Ce point de vue de la fusion de toutes les exigences partielles a donné à l'anarchisme le mérite de représenter le refus des conditions existantes pour l'ensemble de la vie, et non autour d'une spécialisation critique privilégiée ; mais cette fusion étant considérée dans l'absolu, selon le caprice individuel, avant sa réalisation effective, a condamné aussi l'anarchisme à une incohérence trop aisément constatable. L'anarchisme n'a qu'à redire, et remettre en jeu dans chaque lutte sa même simple conclusion totale, parce que cette première conclusion était dès l'origine identifiée à l'aboutissement intégral du mouvement. Bakounine pouvait donc écrire en 1873, en quittant la Fédération Jurassienne : «Dans les neufs dernières années on a développé au sein de l'Internationale plus d'idées qu'il n'en faudrait pour sauver le monde, si les idées seules pouvaient le sauver, et je défie qui que ce soit d'en inventer une nouvelle. Le temps n'est plus aux idées, il est aux faits et aux actes». Sans doute, cette conception conserve de la pensée historique du prolétariat cette certitude que les idées doivent devenir pratiques, mais elle quitte le terrain historique en supposant que les formes adéquates de ce passage à la pratique sont déjà trouvées et ne varieront plus.
Toutes les conditions de la liquidation du tsarisme envisagées dans le débat théorique toujours insatisfaisant des diverses tendances de la social-démocratie russe depuis vingt ans - faiblesse de la bourgeoisie, poids de la majorité paysanne, rôle décisif d'un prolétariat concentré et combatif mais extrêmement minoritaire dans le pays - révélèrent enfin dans la pratique leurs solutions, à travers une donnée qui n'était pas présente dans les hypothèses : la bureaucratie révolutionnaire qui dirigeait le prolétariat, en s'emparant de l'Etat, donna à la société nouvelle domination de classe. La révolution strictement bourgeoise était impossible ; la «dictature démocratique des ouvriers et des paysans» était vide de sens ; le pouvoir prolétarien des soviets ne pouvait se maintenir à la fois contre la classe des paysans propriétaires, la réaction blanche nationale et internationale, et sa propre représentation extériorisée et aliénée en parti ouvrier des maîtres absolus de l'Etat, de l'économie, de l'expression, et bientôt de la pensée. La théorie de la révolution permanente de Trotsky et Parvus, à laquelle Lénine se rallia effectivement en avril 1917, était la seule à devenir vraie pour les pays arriérés en regard du développement social de la bourgeoisie, mais seulement après l'introduction de ce facteur inconnu qu'était le pouvoir de la classe de la bureaucratie. La concentration de la dictature entre les mains de la représentation suprême de l'idéologie fut défendue avec le plus de conséquence par Lénine, dans les nombreux affrontements de la direction bolchevik. Lénine avait chaque fois raison contre ses adversaires en ceci qu'il soutenait la solution impliquée par les choix précédents du pouvoir absolu minoritaire : la démocratie refusée tatiquement aux paysans devait l'être aux ouvriers, ce qui menait à la refuser aux dirigeants communistes des syndicats, et dans tout le parti, et finalement jusqu'au sommet du parti hiérarchique. Au X° Congrès, au moment où le soviet de Cronstadt était abattu par les armes et enterré sous la calomnie, Lénine prononçait contre les bureaucrates gauchistes organisés en «Opposition Ouvrière» cette conclusion dont Staline allait étendre la logique jusqu'à une parfaite division du monde : «Ici, ou là-bas avec un fusil, mais pas avec l'opposition... Nous en avons assez de l'opposition.»
Voilà.
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Lu et approuvé par OSEF magazine.
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Daninho a écrit:
Ruan a écrit:
PFL ==> gamins
Savais tu qu'un gamin n'est pas en fait ce que tu crois ? En effet tu traites les autres de gamins mais tu en es certainement un. Tu aimes les jeux videos je crois, or c'est un truc de gamin... Momo Gamin en est l'exemple type... il n'était pas gamin, il avait seulement un rattata niveau 5 juste avant la première arène...
Voici une façon de se décrédibiliser au plus haut point. Sachant qu'un jeu Pokémon possède huit badges à acquérir (et je n'ose même pas aborder la version Argent/Or/Cristal développé par le célèbre programmeur japonais Satoshi Tajori), et donc l'importance d'un argument comme celui-ci où l'expression "première arène" m'a fait hérisser le poil, est totalement infondée et absurde dans un débat comme celui-ci.
Daninho a écrit:
Au bout du compte, la problématique de l'immaturité s'éloigne du psychologisme et de toutes ses implications sur le réalisme naïf, lequel tend à rattacher la subjectivité aux vécus de conscience, alors que seule l'intentionnalité importe dans le roman stendhalien.
Tu abordes le roman stendhalien, laisse moi donc te parler (et te vanter les mérites par la même occasion) d'un célèbre littéraire nommé Ibrahim Doukouré ayant effectué une thèse sur l'immaturité dans le roman stendhalien dans une approche sémio-linguistique et phénoménologique. Sa réflexion s'est notamment organisée autour du présupposé théorique hjelmselvien qui admet la présence d'un isomorphisme entre forme d'expression et substance du contenu. Sa problématique, qui s'étend sur l'inachèvement et le refus du déterminisme, met l'accent sur la circulation de l'écriture en tant que sémiosis illimitée. Au bout du compte, je rejoins ses dires car l'immaturité s'éloigne du psychologisme et de toutes ses implications sur le réalisme naïf, lequel tend à rattacher la subjectivité aux vécus de conscience, alors que seule l'intentionnalité importe dans le roman stendhalien.
Daninho a écrit:
moi même je peux vous traiter de gamin mais qui suis-je pour vous juger ? only god can judge me non ? Voici un premier argument : Eh, les neuneus, les jeux Mario, dites vous, c´est pour les gamins. Excusez moi mais sur quoi jouez vous ? Sur une console, non ? Dites moi, dans jouer il y a une fonction ludique. Quoi qu´il arrive vous tapez sur des boutons. Très évolué admettons le. Mais vous etes déjà vous dit que le fait de jouer sur une console était dans ce cas un peu gamin...
Un célèbre sociologue grec nommé Karli Papoulakov a étudié l'influence de Mario dans la société actuelle et en a tiré des conclusions fortement intéressantes. On pourra notamment parler de l'inconscient humain imaginant sciemment les scènes contenues dans ce jeu. un détour par l’analyse bergsonienne des théories explicatives des faux souvenirs s’est avéré nécessaire en dépit de l’économie psychologique sur laquelle elle se fonde. C’est entre le normal et le pathologique qu’elles se situent pour la plupart, mais ce n'est pas le sujet ici, donc on ne s'attardera pas là-dessus.
Daninho a écrit:
Les jeunes, si vous voulez être adultes, prenez des actions en bourse, allez dans les pays sous développés et aidez la croix rouge. La on pourra dire effectivement que vous n´etes pas des gamins. Surtout retenez que le célèbre philosophe norvégien Jostein Gaarder, dans sa très générosité d'intellectuel européen, daigne reconnaître que l'Europe est responsable de la Shoah et va jusqu'à accorder au peuple juif le droit d'avoir un pays. Ce n'est pas une réaction de gamin ça mais si je déteste les juifs je pourrais dire que c'est un gamin.... Es tu toi même mature la question est ici?????
Damina Brito, célèbre économiste portugais ayant notamment travaillé en collaboration avec le sociologue Jean-Daniel de la Tronnerie a récemment mené une étude de psychanalise sur la perception de l'argent par l'individu de jeune âge pour en arriver à la conclusion suivante : les tenants de la spéculation soulignent qu'il s'agit d'un mécanisme indispensable à la société qui permet de diriger les capitaux vers les sociétés qui seront le mieux à même de créer de la valeur et donc de permettre la prospérité. L'économiste Jean-Yves Naudet écrit ainsi : « soutenir que les spéculateurs rendent un vrai service, ce n’est pas politiquement correct, mais c’est scientifiquement prouvé »7. À ce propos, il convient de distinguer les opérations de trading, qui ont peu d'impact sur l'activité des sociétés, des véritables opérations d'investissement. Ainsi, ces études montrent l'influence malsaine qu'aurait la bourse sur l'individu de bas âge et de l'influence que pourrait avoir une quelconque personnne sur celui-ci.
Daninho a écrit:
Valounet a écrit:
Hou, tendu le niveau !
Le niveau ??? niveau de vie, niveau de mon pokémon, niveau de l'eau, (ca)niveau ??? Tu postes toi même une phrase qui nous laisse sur plusieurs questions, que veux tu dire par là ?
L'hypothèse des niveaux de traitement repose donc sur l'idée que la trace mnésique est un produit des traitements perceptifs reposant sur un continuum, du plus superficiel au plus profond : plus le traitement est profond, plus la trace sera persistante.
Craik et Lockhart en viennent alors à proposer deux mécanismes possibles de la répétition : La répétition de maintenance qui garde les informations actives et la répétition élaborée permettant un traitement plus profond.
De nombreuses études utilisant le paradigme des tâches d'orientation (type d'apprentissage incident durant lequel on va orienter le sujet vers un traitement particulier du stimulus : graphémique, phonologique, sémantique, référence à soi…) montrent que les traitements profonds favorisent la mémoire, Craik et Tulving (1975) ayant montré par ailleurs que le type de traitement semble plus important que le temps de traitement.
Les difficultés de la théorie
Je rejoins l'avis de Daninho concernant cette partie. En effet, cette expression m'a tout d'abord intrigué pour ensuite m'intéresser un peu plus en détail à celle-ci. En effet, on peut clairement distinguer la présence d'une onomatopée, signe d'étonnement de la part de l'interlocuteur, suivie par un attribut du sujet et d'une inversion e celui-ci. Ceci souligne ainsi un problème concernant l'importance du geste de Jom02. Je t'invite ainsi à étudier la thèse de doctorat du Docteur Jonas Dysërinkà, celèbre en Grèce pour ses études en psychanalyse.
Daninho a écrit:
1. Des auteurs ont souligné le raisonnement circulaire de l'hypothèse des niveaux de traitement notamment parce qu'il a été impossible de proposer des méthodes de mesure des niveaux de traitement indépendamment de la performance de la mémoire.
2. L'hypothèse du traitement approprié au transfert (transfer-appropriate processing) : cette hypothèse repose sur l'idée que la mémoire est meilleure si les processus utilisés lors du test sont appariés aux processus utilisés pendant la phase d'étude. Cet aspect serait plus important que le niveau de traitement des informations.
C'est ce qu'indique l'expérience de Morris, Bransford et Franks (1977.) Les sujets devaient effectuer lors de l'étude un traitement superficiel de type phonologique (tâche de rime) ou un traitement profond sémantique de mots. Lors du test, les sujets effectuaient soit un test de reconnaissance standard des mots parmi un ensemble de distracteurs, soit un test de reconnaissance de rimes (juger si des distracteurs riment avec les mots cibles étudiés).
A ceci j'avancerai différents arguments :
-Le traitement de la performance de la mémoire humaine est tout à fait impossible scientifiquement. Eichenbaum montre en effet que le cortex périrhinal serait significativement impliqué de le processus de mémorisation explicite, alors que l'hippocampe aurait un rôle plus restreint de mise en relation des éléments perçus.
-Le courant cognitiviste classique regroupe habituellement sous le terme de mémoire les processus d'encodage, de stockage et de récupération des représentations mentales. Beaucoup de recherches sur la mémoire en psychologie cognitive consistent à repérer et à décrire ses différents composants. Pour ce faire, les psychologues se basent sur des résultats expérimentaux et sur les symptômes manifestés par des patients cérébrolésés.
-La notion de mémoire implicite et explicite généralise cette distinction à l'ensemble des natures de traitements d'information liés à la cognition humaine. Autrement dit, il existe des automatismes pour les informations verbales, imagées, sensitives et gestuelles autant qu'il existe des représentations mentales manipulables par la conscience et l'attention, sur lesquelles peuvent porter des décisions.
Par l'intermédiaire de cette énumération d'arguments, je te prouve ainsi que tu adoptes un discours faux et ayant une mauvaise appréciation de la conception réelle des choses.
Daninho a écrit:
J'attends maintenant une réponse argumentée de ta part... montres nous ta répartie.
Veuillez recevoir, Monsieur Daninho, mes salutations les plus distinguées.
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jom02 a écrit:
Lu et approuvé par OSEF magazine.
+1.
Je voulais une réponse au "pavé" de Daninho, Maiden.
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J'aurai bien voulu répondre mais là j'ai la flemme.
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Lewis- a écrit:
Je voulais une réponse au "pavé" de Daninho, Maiden.
Mais j'ai répondu !
Une chose m'étonne prodigieusement — j'oserai dire qu'elle me stupéfie — c'est qu'à l'heure scientifique où j'écris, après les innombrables expériences, après les scandales journaliers, il puisse exister encore dans notre chère France (comme ils disent à la Commission du budget) un électeur, un seul électeur, cet animal irrationnel, inorganique, hallucinant, qui consente à se déranger de ses affaires, de ses rêves ou de ses plaisirs, pour voter en faveur de quelqu'un ou de quelque chose. Quand on réfléchit un seul instant, ce surprenant phénomène n'est-il pas fait pour dérouter les philosophies les plus subtiles et confondre la raison ?
Où est-il le Balzac qui nous donnera la physiologie de l'électeur moderne ? et le Charcot qui nous expliquera l'anatomie et les mentalités de cet incurable dément ? Nous l'attendons.
Je comprends qu'un escroc trouve toujours des actionnaires, la Censure des défenseurs, l'Opéra-Comique des dilettanti, le Constitutionnel des abonnés, M. Carnot des peintres qui célèbrent sa triomphale et rigide entrée dans une cité languedocienne ; je comprends M. Chantavoine s 'obstinant à chercher des rimes ; je comprends tout. Mais qu'un député, ou un sénateur, ou un président de République, ou n'importe lequel parmi tous les étranges farceurs qui réclament une fonction élective, quelle qu'elle soit, trouve un électeur, c'est-à-dire 1'être irrêvé, le martyr improbable, qui vous nourrit de son pain, vous vêt de sa laine, vous engraisse de sa chair, vous enrichit de son argent, avec la seule perspective de recevoir, en échange de ces prodigalités, des coups de trique sur la nuque, des coups de pied au derrière, quand ce n'est pas des coups de fusil dans la poitrine, en vérité, cela dépasse les notions déjà pas mal pessimistes que je m'étais faites jusqu'ici de la sottise humaine, en général, et de la sottise française en particulier, notre chère et immortelle sottise, ô chauvin !
Il est bien entendu que je parle ici de l'électeur averti, convaincu, de l'électeur théoricien, de celui qui s'imagine, le pauvre diable, faire acte de citoyen libre, étaler sa souveraineté, exprimer ses opinions, imposer — ô folie admirable et déconcertante — des programmes politiques et des revendications sociales ; et non point de l'électeur « qui la connaît » et qui s'en moque, de celui qui ne voit dans « les résultats de sa toute-puissance » qu'une rigolade à la charcuterie monarchiste, ou une ribote au vin républicain. Sa souveraineté à celui-là, c'est de se pocharder aux frais du suffrage universel. Il est dans le vrai, car cela seul lui importe, et il n'a cure du reste. Il sait ce qu'il fait. Mais les autres ?
Ah ! oui, les autres ! Les sérieux, les austères, les peuple souverain, ceux-là qui sentent une ivresse les gagner lorsqu'ils se regardent et se disent : « Je suis électeur ! Rien ne se fait que par moi. Je suis la base de la société moderne. Par ma volonté, Floque fait des lois auxquelles sont astreints trente-six millions d'hommes, et Baudry d'Asson aussi, et Pierre Alype également. » Comment y en a-t-il encore de cet acabit ? Comment, si entêtés, si orgueilleux, si paradoxaux qu'ils soient, n'ont-ils pas été, depuis longtemps, découragés et honteux de leur œuvre ? Comment peut-il arriver qu'il se rencontre quelque part, même dans le fond des landes perdues de la Bretagne, même dans les inaccessibles cavernes des Cévennes et des Pyrénées, un bonhomme assez stupide, assez déraisonnable, assez aveugle à ce qui se voit, assez sourd à ce qui se dit, pour voter bleu, blanc ou rouge, sans que rien l'y oblige, sans qu'on le paye ou sans qu'on le soûle ?
À quel sentiment baroque, à quelle mystérieuse suggestion peut bien obéir ce bipède pensant, doué d'une volonté, à ce qu'on prétend, et qui s'en va, fier de son droit, assuré qu'il accomplit un devoir, déposer dans une boîte électorale quelconque un quelconque bulletin, peu importe le nom qu'il ait écrit dessus ?... Qu'est-ce qu'il doit bien se dire, en dedans de soi, qui justifie ou seulement qui explique cet acte extravagant ?
Qu'est-ce qu'il espère ? Car enfin, pour consentir à se donner des maîtres avides qui le grugent et qui l'assomment, il faut qu'il se dise et qu'il espère quelque chose d'extraordinaire que nous ne soupçonnons pas. Il faut que, par de puissantes déviations cérébrales, les idées de député correspondent en lui à des idées de science, de justice, de dévouement, de travail et de probité ; il faut que dans les noms seuls de Barbe et de Baihaut, non moins que dans ceux de Rouvier et de Wilson, il découvre une magie spéciale et qu'il voie, au travers d'un mirage, fleurir et s'épanouir dans Vergoin et dans Hubbard, des promesses de bonheur futur et de soulagement immédiat. Et c'est cela qui est véritablement effrayant. Rien ne lui sert de leçon, ni les comédies les plus burlesques, ni les plus sinistres tragédies.
Voilà pourtant de longs siècles que le monde dure, que les sociétés se déroulent et se succèdent, pareilles les unes aux autres, qu'un fait unique domine toutes les histoires : la protection aux grands, l'écrasement aux petits. Il ne peut arriver à comprendre qu'il n'a qu'une raison d'être historique, c'est de payer pour un tas de choses dont il ne jouira jamais, et de mourir pour des combinaisons politiques qui ne le regardent point.
Que lui importe que ce soit Pierre ou Jean qui lui demande son argent et qui lui prenne la vie, puisqu'il est obligé de se dépouiller de l'un, et de donner l'autre ? Eh bien ! non. Entre ses voleurs et ses bourreaux, il a des préférences, et il vote pour les plus rapaces et les plus féroces. Il a voté hier, il votera demain, il votera toujours. Les moutons vont à l'abattoir. Ils ne se disent rien, eux, et ils n'espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l'électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des Révolutions pour conquérir ce droit.
Ô bon électeur, inexprimable imbécile, pauvre hère, si, au lieu de te laisser prendre aux rengaines absurdes que te débitent chaque matin, pour un sou, les journaux grands ou petits, bleus ou noirs, blancs ou rouges, et qui sont payés pour avoir ta peau ; si, au lieu de croire aux chimériques flatteries dont on caresse ta vanité, dont on entoure ta lamentable souveraineté en guenilles, si, au lieu de t'arrêter, éternel badaud, devant les lourdes duperies des programmes ; si tu lisais parfois, au coin du feu, Schopenhauer et Max Nordau, deux philosophes qui en savent long sur tes maîtres et sur toi, peut-être apprendrais-tu des choses étonnantes et utiles. Peut-être aussi, après les avoir lus, serais-tu moins empressé à revêtir ton air grave et ta belle redingote, à courir ensuite vers les urnes homicides où, quelque nom que tu mettes, tu mets d'avance le nom de ton plus mortel ennemi. Ils te diraient, en connaisseurs d'humanité, que la politique est un abominable mensonge, que tout y est à l'envers du bon sens, de la justice et du droit, et que tu n'as rien à y voir, toi dont le compte est réglé au grand livre des destinées humaines.
Rêve après cela, si tu veux, des paradis de lumières et de parfums, des fraternités impossibles, des bonheurs irréels. C'est bon de rêver, et cela calme la souffrance. Mais ne mêle jamais l'homme à ton rêve, car là où est l'homme, là est la douleur, la haine et le meurtre. Surtout, souviens-toi que l'homme qui sollicite tes suffrages est, de ce fait, un malhonnête homme, parce qu'en échange de la situation et de la fortune où tu le pousses, il te promet un tas de choses merveilleuses qu'il ne te donnera pas et qu'il n'est pas d'ailleurs, en son pouvoir de te donner. L'homme que tu élèves ne représente ni ta misère, ni tes aspirations, ni rien de toi ; il ne représente que ses propres passions et ses propres intérêts, lesquels sont contraires aux tiens. Pour te réconforter et ranimer des espérances qui seraient vite déçues, ne va pas t'imaginer que le spectacle navrant auquel tu assistes aujourd'hui est particulier à une époque ou à un régime, et que cela passera. Toutes les époques se valent, et aussi tous les régimes, c'est-à-dire qu'ils ne valent rien. Donc, rentre chez toi, bonhomme, et fais la grève du suffrage universel. Tu n'as rien à y perdre, je t'en réponds ; et cela pourra t'amuser quelque temps. Sur le seuil de ta porte, fermée aux quémandeurs d'aumônes politiques, tu regarderas défiler la bagarre, en fumant silencieusement ta pipe.
Et s'il existe, en un endroit ignoré, un honnête homme capable de te gouverner et de t'aimer, ne le regrette pas. Il serait trop jaloux de sa dignité pour se mêler à la lutte fangeuse des partis, trop fier pour tenir de toi un mandat que tu n'accordes jamais qu'à l'audace cynique, à l'insulte et au mensonge.
Je te l'ai dit, bonhomme, rentre chez toi et fais la grève.
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