Foot-Land - jeu de foot fun et convivial

Franck Dumas après la défaite de Caen à Valenciennes.

Franck DUMAS : « Je suis frustré car on doit mener au moins 1-0 (sur une occasion d’El-Arabi) avant d’encaisser l’ouverture du score. On a été trop suffisants en première période, en ne jouant que dans les pieds, sans profondeur. Je leur ai dit à la mi-temps, il y en a qui se battent et d'autres qui prennent les gens pour des cons. J’ai essayé de recadrer, car nous nous sommes mis tous seuls sous pression. On fait une bonne deuxième période. On a su revenir. On paye notre première mi-temps, avec un manque d'intelligence de jeu, c'est dommage. Ça me reste en travers de la gorge. Quand on a des opportunités, on se doit d’être plus efficaces, plus tueurs. On peut parler d’apprentissage de la Ligue 1 mais ça nous coûte cher car on peut ramener au moins un point ce soir. On ne peut pas être suffisants comme on l’a été en première période et se faire taper sur la tête sans se révolter. »

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Oups, message reçu 

Antonetti*. 

Il s'est calmé depuis qu'il est à Rennes, mais il en sort des bonnes des fois ^^.

Il gueule tout le temps toute façon.

Il gueule à tous les matchs mais c'est normal, il gueule sur les joueurs.
Mais les déclarations c'est en presse, mais pas des coup de gueule

kernok a écrit:

Il faut un topic spécial Antonneti.

Cet entraineur je le keaf tout simplement, j'aurai tellement aimé qu'il reste à Sainté après la remonté en Ligue 1, dirigeants incompétants.

http://www.youtube.com/watch?v=bV_W1aFgKxw

Guy Lacombe (entraîneur de Monaco) Suite à la defaite de Monaco contre Brest

«J'avais dit avant le match que Brest est une équipe difficile à manier. Je me suis fait chambrer quand j'ai dit que c'était une bonne équipe. On l'a vue. Elle est combative et généreuse. Ses joueurs sont généreux et se portent vite vers l'avant. Pour nous, tout vient de notre non-match à Lorient. A un moment, on ne peut pas galvauder le football comme on l'a fait. Désormais, il y a un manque de confiance, un manque d'engagement et de qualité aussi. Le problème, c'est qu'on ne prend pas de point actuellement. Cela fait deux fois consécutivement. Donc, ce n'est pas un accident. Il faut se le dire. Il y aura des choses à faire avec les joueurs. C'est une question de temps également. On passe une mauvaise période. Il faut courber l'échine et remettre tout le monde dans le bon sens. L'an dernier, c'était le genre de match où l'on tenait et où l'on pouvait marquer. Ce soir, il est dur de prendre un but. Mais c'est ensuite dans la technicité que l'on trouve la solution. Les joueurs ne l'on pas trouvée. Il y a un peu de fébrilité, un peu de manque de confiance. Mais ce qui m'ennuie le plus, c'est qu'on a deux ou trois ballons chauds qu'on doit mieux négocier. Si on ne le fait pas ce n'est pas le hasard.»

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AULAS LYON

Malgré un début de saison pour le moins compliqué, Jean Michel Aulas considère que le titre de champion de France était un objectif «toujours réalisable» pour son club. En marge de la présentation des résultats financiers d'0L Groupe mardi, JMA a considéré que «la place que nous occupons n'est pas celle que nous souhaitons, mais il reste 30 matches et il nous étonnerait fort que l'équipe en place ne nous permette pas d'atteindre notre objectif en championnat».

Un bilan sportif prévu pour fin octobre
Au lendemain de l'annonce de plus de 35 millions d'euros de pertes pour OL Groupe, dont dépend le club, des résultats sportifs sont indispensables: «Notre budget a été bâti sur l'hypothèse d'un podium en championnat et d'un quart de finale en Ligue des champions», a ainsi affirmé le Président de l'OL. Face à la situation sportive délicate et la question du maintien de Claude Puel au poste d'entraîneur, Jean Michel Aulas a confirmé qu'un bilan serait fait à la fin du mois d'octobre avant de prendre tout décision: «Joueurs et staff seront concernés par ce bilan. Il y a un staff avec un entraîneur qui a beaucoup de qualités mais qui déplaît à certains pour des raisons de résulats mais peut-être d'attitude ou de comportement». Affaire à suivre.

Dernière modification par CEP80 (06-10-2010 17:37:08)

Ce dimanche, lors de Stade rennais-Toulouse, le coach breton a incendié un supporter assis derrière le banc de touche. Le Mensuel s'est procuré l'enregistrement du plus gros coup de gueule d'Antonetti depuis son arrivée en Bretagne.



« T’es revenu toi, gros connard ! T’es revenu ! Hé, gros con ! Tu paies ta place, et alors ? Tu crois que t’as tous les droits. Avant de repartir, tu vas voir... T’es revenu, connard ! » A la demi-heure de jeu de Rennes–Toulouse, ce dimanche, Frédéric Antonetti explose. L'entraîneur du Stade rennais tourne le dos au spectacle qui se déroule sur la pelouse du stade de la Route de Lorient. L’index pointé en direction d’un supporter, assis au dessus du banc de touche, le Corse exprime sa plus grosse colère depuis son arrivée en Bretagne. La plus médiatique, du moins, digne de celles collectés dans les best-of qui circulent sur la Toile.

« Quelqu’un de malsain »

Lundi matin, le coach rennais s’est expliqué dans L’Equipe : « Il est particulièrement pénible. C’est toujours le même et il mérite des gifles. Il ne vient que pour ça. J’appelle cela un gros con. Il est toujours au même endroit. Il me dit : "Moi, je paie". Je lui réponds que ça ne lui donne pas tous les droits. C’est vraiment pénible et intentionnel. En d’autres circonstances, je lui aurais mis un poing dans la gueule car il le mérite vraiment. C’est quelqu’un de malsain. »

http://www.rennes.lemensuel.com/actuali … -7027.html
(on peut ecouter sur le lien ci dessus ^^)

PUEL LYON MALAISE

Le foot déchaîne les passions, il faut l'accepter». Cette phrase fait référence à la défaite face à Saint-Etienne (0-1). Le match qu'il ne fallait pas perdre. «Quand tu perds le derby, il n'y a plus d'analyse nulle part, dans les tribunes comme dans les commentaires», explique Puel. Mais le problème est ailleurs. Désormais, «c'est la famille qui subit». «Mon fils aîné a connu ça à Lille, quand j'étais entraîneur, ma fille aussi. Cette fois, c'est le plus jeune qui découvre, regrette le technicien. Ils sont les enfants d'un entraîneur de grand club, avec ses avantages et ses inconvénients. Ils apprennent à prendre du recul et à être costauds».

«Avec Cris, c'est particulier»
En ce qui concerne Jean-Michel Aulas, Puel explique ne pas avoir «d'état d'âme», l'important étant d'être proche de ses joueurs et de les encourager. «Moi, je suis blindé», insiste-il. Et si «tout peut s'arrêter très vite», «les déclarations et les ultimatums» ce n'est pas pour lui. «Je ne changerai pas ma personnalité» poursuit Puel avant de s'exprimer au sujet de Cris et Lisandro : «Avec Cris, c'est particulier», avoue-t-il. Pas vraiment le grand amour à vrai dire. En revanche, si la relation avec Lisandro est bonne, le joueur en lui-même reste «lunatique».

Rien de méchant venant de la part de l'entraîneur. «Parfois je dis des choses de façon agressive ou dure, mais je ne mens jamais. Je suis trop carré», précise-t-il. Carré mais toujours disponible. Un entraîneur qui ne «ne lâche jamais», voilà comment il se définit. Un entraîneur avec «une constitution solide». Mais cela ne veut pas dire qu'un limogeage «ne va pas arriver».

Antonetti évoque le manque d’intérêt des médias envers le Stade Rennais

On connaît le franc-parler de Frédéric Antonetti, notamment lorsqu’il s’agit de défendre l’intérêt de son équipe auprès des médias.
Interrogé sur un sujet qui semble lui tenir à cœur, à savoir le « peu d’intérêt que génère la première place du Stade rennais », l’entraîneur rennais a répondu par l’interrogative hier en conférence de presse. « Sur une émission d’une heure, croyez-vous qu’on puisse consacrer cinq minutes à chacun des matches, puisqu’il y a dix matches ? Croyez-vous que cette émission intéresserait une majorité de gens ? Je connais la réponse », exposait-il auprès de l’AFP.
Puis de développer : « Moi, je me fous de Paris, de Marseille, de Lyon, je n’ai pas regardé d’ailleurs leur match mercredi. On a inventé le Clasico Paris-Marseille de toutes pièces. Dans les années 70-80, excusez-moi, mais Paris-Marseille ça faisait pschit ! Le mérite du football c’est qu’à un moment donné, tout le monde à son importance... L’autre jour, j’ai regardé Arsenal-Chelsea. Et il y avait deux joueurs formés à Bastia sur le terrain ! (NDLR : Alexandre Song et Michael Essien). Alors, ils ont le mérite d’exister ces petits clubs ou non ? »